Oeuvre De Charité
-- ATTENTION HISTOIRE FICTIVE POUR LECTEURS AVERTIS --
Des vacances payées. J'adore ce genre de plan. Je le trouve par un copain étudiant. Ses parents sont les gardiens d'une grande propriété près de Genève, "sur France" comme ils disent là-bas. Ils sont absents début août et la propriétaire exige un remplaçant. L'idée lui est soumise que ce soit moi. Elle tient à me faire passer un entretien. Il est concluant.
Elle préfère que je loge dans l'une des nombreuses chambres de la grande maison de maître. Ça la rassure. Il y aura des lumières allumées le soir, une présence, de quoi surtout dissuader de potentiels voleurs, sa plus grande hantise.
Je passe une grande partie de mes journées à bouquiner et parfaire mon bronzage intégral au bord de la piscine. De temps en temps, je visite la région avec la voiture mise à ma disposition. Mon séjour est parfait.
Un soir d'orage, la grande demeure se met à craquer et grincer de partout. Le vent s'engouffre sous les portes et la pluie tape aux carreaux. L'ambiance est assez flippante et je passe une bonne partie de la nuit à écouter cette vieille dame gémir.
Au réveil, je ne suis pas très frais et je ne réussis pas à émerger de la journée. Je compte me rattr la nuit suivante, mais malgré la fatigue, j'ai du mal à m'endormir. À cause de la chaleur, et c'est pleine lune. De la fenêtre de ma chambre, je la vois percer les chapelets de nuages accrochés aux sommets des collines.
Je suis un peu plus familiarisé avec les humeurs de la bâtisse et ses bruits. Mais celui-là, même si je ne l'ai jamais entendu, je le reconnais immédiatement. On vient de briser un carreau.
Je bondis de mon lit. Je suis debout, tétanisé. J'ai l'impression que mon cur va sortir de ma poitrine. Quand je retrouve mon souffle, je balaye du regard la pièce pour y trouver l'objet qui va me servir d'arme.
Je peux vous dire que contrairement à ce qu'on voit dans les films, dans ce genre de situation, on ne pense pas ment à enfiler quelque chose.
Je marche sur la pointe des pieds, rase les murs. C'est plus compliqué pour descendre l'escalier, qui peut me dénoncer à tout moment. Prudence
doucement
Je suis dans le vestibule. Là ! Dans le grand salon. Ils sont deux. Je les observe dans l'embrasure de la porte. Tout ce qui brille ou peut avoir de la valeur est fourré dans un grand sac sombre. Ils vont vers le bureau maintenant. Quoi faire ? Mon portable ?! Je l'ai laissé près de mon lit. Remonter ? Trop risqué ! Le téléphone sans fil du bureau ?! Si j'y arrive avant eux, je pourrai me planquer dans un coin pour appeler les flics. Les épais tapis absorbent le bruit de mes pas. Et merde, les voilà ! Je me cache derrière un grand canapé.
- Wouaou, quel cul, claironne celui qui vient de me découvrir. Je dois avoir fière allure, la rondelle aux quatre vents ! D'un bon, je me saisis du téléphone et tente d'atteindre une porte-fenêtre. Au-delà, c'est le grand jardin et je pourrai m'y dissimuler facilement. Mais son complice m'agrippe et me plaque contre une boiserie. Tous les deux me maintiennent maintenant fermement et me raconte les cochonneries qu'ils comptent me faire.
- Et
mais c'est que ça lui file la gaule à cette petite pute. Qu'est-ce que t'en dis, marmonne l'un ?
Pour toute réponse, il ouvre la braguette de son treillis et son dard se met à danser. Ils m'attnt par les cheveux et me forcent à me mettre à genoux. L'angoisse et l'excitation mêlées me plongent dans la confusion.
Leurs bites viennent taper contre mes lèvres. On m'ordonne de les ouvrir et de sucer. L'odeur est puissante et troublante. Le goût aussi. L'une puis l'autre puis les deux. Ils me les enfoncent tellement profondément que j'ai parfois des hauts le cur. Mais j'ai surtout des grands filets de bave qui mouillent ma poitrine. Ça dure des plombes. Ils me laissent finalement un peu de répit.
Je les retrouve instantanément avec la fessée que je reçois. Il pense que j'aime et remet ça. Je n'avais jamais essayé. Par manque de curiosité, tout simplement. La sensation est étrange. C'est un expert, qui ne tape ni n'importe où, ni n'importe comment, et qui sait surtout le plaisir que ça peut procurer. La trique que ça me colle le confirme. Les commentaires et les insultes pleuvent et ça m'excite encore plus. Me revoilà avec une bite dans la bouche. Il me pilonne au rythme des coups de son pote. Ils accélèrent. Ils ralentissent. Je suis en nage
et en feu. Je suis tellement secoué que je ne m'aperçois pas immédiatement que j'ai maintenant une queue dans le cul. C'est probablement aussi dû au fait que celui qui me lime la gueule a ses deux mains autour de mon cou et qu'il exerce des pressions savamment dosées. Il sert. Il relâche. Il sert encore. Je sens mon foutre qui coule le long de mes cuisses. Ils changent de place. Celui qui me raclait le fond de la gorge avec sa tige me ramone le fion à présent. L'autre ne fait que quelques va et vient dans ma bouche et me crache déjà sa purée, que je dois avaler, j'en ai l'ordre. Quand il retire sa pine, du sperme en sort encore. Je tends la langue et il glisse dessus, jusqu'au plus profond de moi.
Aux cris qu'il pousse derrière moi, il est en train de venir aussi. Tandis qu'il se redresse, je me retourne pour attr sa
- Putain les mecs, qu'est-ce que vous foutez ?
Lui, c'est celui qui faisait le guet dans la voiture, non loin du portail de service et qui commençait à s'inquiéter de ne pas voir revenir ses deux potes.
La scène n'a visiblement pas besoin d'explication puisqu'il est déjà en train de m'agiter son manche sous le nez. C'est qui ces trois mecs ? Avec des cagoules et sans un signe particulier, ça va faire chic à l'identification.
- Trois bons pilonneurs, monsieur le commissaire, c'est tout ce que je peux dire !
Le retardataire reprend le même circuit touristique que ses compères : visite de la grotte sacrée et offrande
en liquide.
Mes trois mages finissent par déguerpir et me laissent seul à ma révélation.
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