La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode N°224)
Histoire écrite par servlyon -
Lesclave servlyon avait déplu au Marquis dEvans, par son manque de réactivité aux sollicitations de son Maître. Une punition sévère savéra nécessaire aussi fut-il confier au maître-chien de la vénerie du château. Celui ci vint en fin de matinée chercher lesclave récalcitrant qui du le suive à quatre pattes jusquau fond de la cour, il passa devant les chiens dordre de grande vénerie tel que les poitevins, les fox-hound et les limiers qui jappèrent fortement sur leur passage. Une cage tout au bout du bâtiment était libre, cest là quon le fit entrer, une chaîne fut relié à son collier, et la porte claqua sans quon ne lui adresse aucune parole, le laissant seul à méditer sur son mauvais comportement.
Le maître-chien habitué a adopté les techniques de dressage adéquates de chaque animal avait là un spécimen particulier, mais il y était habitué car, de temps en temps, on lui confiait des esclaves qui avaient besoin fortement de réfléchir à leur condition.
Il sagissait ici dun débourrage adapté, qui doit rappeler à lesclave le respect des ordres, et apprendre des attitudes de soumission. Le maître-chien, qui était au service du Marquis depuis de nombreuses années savait comment sy prendre
Le reste de la journée lesclave eu tout le loisir de méditer à la faute quil avait commise, le soir venu il navait rien eu à manger, bien quil entendit quon avait nourri les cages dà côté ; il ne savait pas pour combien de temps il serait enfermé là, il méditait sur sa fâcheuse posture, le collier relier à lanneau du mur ne lui permettait pas de se lever, peu après pris par la fatigue il sendormi sur la paille le ventre vide
Le lendemain matin il fut réveillé par un claquement de porte, laide commis au maître-chien rempli les deux gamelles de servlyon lune deau et lautre dune espèce de bouillie de riz écrasé, et la porte se referma. Lesclave du Marquis avait faim et il fut contraint de manger comme il pouvait plongeant sa tête dans la gamelle car il navait pas dautre choix.
Le matin du troisième jour cest le maître chien lui même qui vint le chercher pour lemmener dans le hangar proche du chenil pour le laver au jet, après cela il lui lança sur un ton ironique :
- Pépette, dit il, (nom quil lui donna car étant lui même grand, très costaud et poilu, cela contrastait avec le côté androgyne du puni qui, de plus, était glabre), Pèpette tes contente dêtre propre ! Alors tu dois me remercier
Le garde dégrafa alors sa ceinture sans préambule ! Pépette compris ce quil devait faire, il sappliqua à sucer la queue se présentant devant ses yeux, mais il le fit de mauvaise grâce et en plus, il recracha la semence quand le maître-chien lui déchargea dans la bouche
ce qui déplu fortement au maître chien :
- Si tu veux un jour sortir dici, il faudra mettre plus de cur à louvrage !
Et il claqua la porte ! Il eu tout de même droit à une autre bouillie, la seule quil aurait dans la journée. Le soir le commis du maître-chien entra, il se fit sucer et ensuite encula pépette sans ménagement. Pépette ne savait pas sil était venu de son propre chef mais, par prudence, il se laissa faire par peur des éventuelles représailles.
Le quatrième jour fut identique au troisième, il dû satisfaire le matin le maître-chien et le soir son commis ! Puis tous les jours, il eu la visite des deux hommes, et en fin de semaine pépette sétant résigné sur son sort suçait, avalait et nettoyait les deux sexes proprement et sans révolte.
Jugeant que pépette avait bien compris la leçon quil avait voulu lui donner, Monsieur le Marquis dEvans, son Vénéré Maître, le fit libérer. Une fois lavé et rendu présentable on sortit pépette des communs du château, lui fit traverser la cour gravillonnée pour arriver en bas de lescalier dhonneur où on lui dit de patienter.
Le Marquis dEvans lui dit :
- Jespère quà lavenir je naurai pas à répéter deux fois avant de me faire obéir ! Je trouve que le nom de pépette te va à merveille, cest un nom qui convient bien à une servante et justement, jen ai besoin dune et tu vas être celle là ! compris pépette ?
- Oui, Maître, ce sera un honneur de Vous servir !
Maître Evans fit appeler la gouvernante Marie la cuisinière (voir la Saga) à qui il présenta pépette pour quelle le forme dans sa future fonction, cétait une femme brune à la tenue stricte en chignon, forte et grande au visage sévère, qui savait instruire les plus rétives bonnes à tout faire... Une femme à poigne qui était au service de Monsieur le Marquis dEvans depuis de très nombreuses années et qui connaissait bien ces exigences.
Elle pris donc en main pépette, tout dabord, elle le fit raser entièrement, lui fit mettre des bas et chausser des talons hauts et entreprit de lui apprendre à marcher avec. Les débuts furent difficiles, mais avec force et coups de badine petit à petit, il marcha de mieux en mieux, et les marques de ses fesses striées étaient le témoin du dur apprentissage
Puis la formation de la parfaite soubrette se poursuivi au fil des jours. Pépette avait bien lintention de bien se tenir et de progresser dans sa nouvelle fonction car il ne voulait pas, de nouveau se retrouver au chenil. Il acceptait sa situation la trouvant même en adéquation avec sa vraie nature.
La gouvernante tenait à ce quon ne lui fasse aucun reproche, aussi mit-elle un zèle particulier à former pépette dans son rôle de domestique. Outre le service de cuisine pépette dû apprendre à faire le service de table, le ménage, etc
Un jour le Marquis de Thorens était venu voir son ami Monsieur le Marquis dEvans, il resta à dîner et ce fut là, loccasion pour pépette de faire ces premières armes, son Maître voulant tester sa prestation.
Pépette appréhendait cette prestation, car il savait quaucune erreur ne lui serait pardonnée. Le soir venu, il sétait préparé comme on lui avait appris , il vérifia plusieurs fois sa tenue, vérifiant les moindres détails
Il avait dressé la table, les couverts bien positionnés afin que les armoiries du Marquis soient bien visibles, il avait épousseté la commode tombeau, la table demi-lune, le bureau de pente, le buffet de chasse, etc... Lheure du dîner approchait, pépette sentait une peur lui tenailler le ventre, à 20 heure il alla en cuisine chercher le premier plat, traversa le grand couloir et fit le premier service
il entendit le Marquis de Thorens complimenter son hôte sur loriginalité de son personnel
pépette se tenait prêt à chaque coup de sonnette de table, il faisait mille pas entre la cuisine et la salle à manger, veillant à ce quil ne manqua rien
Tout se déroula bien et pépette était de plus en plus décontracté se trouvant même bien dans son nouveau rôle, jusquà lheure du café où servant la tasse à Thorens, celui-ci lui passa la main aux fesses ! Surpris pépette en sursautant renversa le café sur la nappe et éclaboussa même les habits du Marquis de Thorens
Le Marquis dEvans qui navait jamais besoin de crier pour se faire respecter, mais furieux tout de même porta des réprimandes dune voix forte (sans crier) et froide avec des yeux réprobateurs. Puis Il se saisit de pépette, attrapant une cravache qui se trouvait sur la table bouillotte. Il renversa sur le ventre pèpette sur une table de proximité et lui cingla fortement les fesses de multiples coups de cravaches, le traitant dincapable de minable chien ! Heureusement pour pépette, Thorens sous-estima la faute de lesclave en disant quil était depuis le début du repas très excité par cette improbable soubrette ! Et proposa que pépette pour se faire pardonner le suce ! Le Marquis dEvans trouva lidée bonne et pépette du sexécuter sur le champ et pendant quil suçait Thorens, le Maître des lieux prit pépette par derrière après avoir terminer de lui rougir les fesses à la cravache.
Puis pépette termina le service, rangeant, nettoyant, balayant
Monsieur le Marquis dEvans et le Marquis de Thorens continuèrent à discuter de diverses choses comme si de rien nétait. Et lors du départ Thorens, celui-ci remercia son hôte pour cette soirée très réussie et complimenta le châtelain et lui dit quil aimerait trouver un domestique du même genre que pépette. Le Marquis dEvans souhaitant effacer la maladresse commise par pépette, proposa à Thorens de lemmener avec lui pour une quinzaine de jours, Thorens accepta et dit en riant quainsi, il ne pourrait pas parfaire son éducation nayant pas le grand savoir de son Hôte mais quil prendrai beaucoup de plaisir à humilier et à se soulager avec cet esclave!
En fin de soirée, pépette qui navait rien entendu de laccord des deux hommes fut surpris de lordre que Maître Evans lui donna de partir avec Thorens. Pépette était à la fois troublé et inquiet de quitter son Maître, mais il ne posa pas de question, il était là pour obéir, cest tout. La grosse berline limousine noir de Thorens savança et pépette parti très angoissé pour une destination inconnue, ne sachant pas ce qui allait lui arriver ni pour combien de temps, ni même sil reviendrait un jour chez son Maître le Marquis dEvans
(à suivre
)
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