La 1Ère Fois Que J'Ai Vraiment Fait L'Amour

Un été je suis parti en vacances avec une amie, une amie de cette amie, et la mère de mon amie : Carole. Carole était clairement dans la cinquantaine, mais elle entretenait son corps et son apparence. Elle s’habillait avec classe (tailleur ajusté, escarpins) et paraissait toujours très soignée (sa longue chevelure était toujours coiffée, souvent attachée en arrière).

Classe mais aussi sexy. Sans avoir l’air d’être sexualisée, elle était excitante. Son regard, sa tenue, sa maturité à la fois bienveillante et respectable m’électrisaient. Sa poitrine refaite , à la hausse, devait également participer à mon état quand j'étais près d'elle. Bref, une femme d’âge mur, qui inspire chez un jeune homme des sentiments ambigus.

Nous étions donc en vacances, dans le sud, à faire un voyage en voiture, de camping en camping. Un après-midi, alors que nous n’avions pas de route a faire, les deux jeunes femmes voulurent aller en ville faire des courses et je suis resté avec Carole. Celle-ci a voulu aller se baigner et m’a invité à aller avec elle. Je ne l’avais jamais vue en maillot mais au cours du voyage, elle avait tendance à porter des vêtements légers d’été mais aussi assez près du corps. Je me doutais que le spectacle devait être charmant.

Je la suivais donc. Nous primes la voiture pour rejoindre un coin très isolé. Nous laissâmes nos vêtements à la voiture pour ne porter que nos maillots que nous portions en dessous. Et la je l’ai vue dans toute sa splendeur. Une créature de rêve toute droit sortie d’une image d’Épinal érotique. Elle ressemblait à une divinité grecque du charme et de la beauté : grande, très élancée avec une forte poitrine, une blonde sublimée par la lumière du soleil, en bikini et escarpins. Son maillot deux pièces n’était pas discret, mais le haut semblait très tendu par sa poitrine et le bas était un slip avec la couture au niveau de la raie des fesses (ce qui avait pour effet de mouler merveilleusement son derrière).



Elle connaissait le chemin donc je la suivais jusqu’à la rivière. Je ne sais pas si j’hallucinais ou pas, mais elle semblait rouler des fesses en marchant. La vue de tout son corps était un ravissement.
Nous sommes arrives à une micro plage (2 ou 3 mètres de large à peine) exposée au soleil et donnant sur la rivière. Vu mon état d’excitation je me suis précipité dans l’eau pour cacher mon érection déjà totale. Je me suis assis dans l’eau pour l’attendre et c’est là que tout a commencé. Elle se tenait droite sur la plage et m’a dit :

- Victor, je veux que cette baignade privée soit l’occasion pour nous de mieux nous connaitre.

Sans attendre de réponse, elle défit son haut de maillot, libérant sa forte poitrine, et retira son bas, en se penchant en avant. Puis elle s’avança vers moi telle une déesse. Lentement, nue mais toujours distinguée. Elle arriva près de moi, s’accroupit devant moi ; jetais encore assis, le bas du corps dans l’eau, et défit le nœud de mon maillot et me l’ôta. Elle se releva, s’avança d’un pas vers moi et mis ses jambes de chaque cote de mon corps ; son pubis était presque au niveau de mes yeux à quelques centimètres. Enfin elle s’assit sur mes cuisses, saisit mon pénis en érection et le pointa vers son vagin.
Elle se pénétra avec mon sexe, très lentement.

Plus elle descendait sur mon sexe, plus ses yeux et son visage exprimaient du soulagement. Elle penchait sa tête en arrière et soupirait fortement quand je fus entièrement en elle. Elle enroula ses jambes autour de mon bassin et ses bras autour de mon cou.

- Fais moi l’amour avec tendresse.

Toujours abasourdi par l’événement, je me suis quand même mis à bouger mon bassin afin de faire bouger mon pénis en elle. Sa poitrine, certes refaite et un peu trop grosse, était comprimée contre mon torse. Je malaxais ses sein, tantôt fermement mais lentement, tantôt doucement mais rapidement.
Le rythme de mes mouvements augmentait à mesure que mon excitation augmentait, malgré la contrainte de l’eau.
Elle me chuchota à l’oreille :

- Doucement s’il te plait, doucement, je veux faire durer ce moment.
- Carole, vous êtes trop excitante pour que ca dure ainsi. Allons sur la plage pour continuer, répondis-je en répondant à ses baisers.
- Tu es jeune, et vigoureux. Je veux d’abord que nous jouissions ensemble.

Elle me tenait serré contre elle. Je malaxais son sein d’une main et titillait son anus de l’autre. Elle montais dans les aigus de plus en plus. Je sentais la sève monter et c’est ensemble que nous avons joui ; collés l’un contre l’autre, en s’embrassant. Je ne pouvais pas être plus proche d’elle physiquement et plus intime avec elle à ce moment là.

Nous avons repris notre souffle. Nous nous caressions tendrement. Mon érection disparaissant, mon sexe est sorti du sien et elle s’est levée. Elle est partie nager, toujours nue. Ses mouvements de jambes étaient magnifiques. Elles s’écartaient et se rejoignaient à chaque fois. Je ne pouvais regarder qu’elle. Elle était radieuse et riait gentiment de mon désarroi. J’étais debout, et apparemment elle attendait que je sois prêt à recommencer. La voir nager me redonnait de la vigueur et une fois que je bandais a nouveau, elle est sortie de l’eau et s’est allongée sur la plage. Je me suis approché d’elle et assis directement entre ses jambes. Son corps était chaud grâce au soleil et je le serrais fort en l’embrassant.

Sans plus attendre, je lai pénétrée en missionnaire, mais toujours doucement. Je faisais des mouvements aussi amples et lents que possible, soulevant mon bassin très haut pour ensuite le coller au sien. Elle savourait ce moment : ses yeux étaient fermés et ses bras tendus de part et d’autre d’elle en les étirant. Elle était tellement belle. Jai sorti mon sexe puis j’ai placé mon gland sur son anus et je l’ai prise doucement. Elle aimait ca et m’encourageait à poursuivre, lentement. Ses mollets serraient mon cou et elle criait plus qu’elle ne gémissait.
Elle extériorisait tout le plaisir qu’elle recevait, sans gène et ça la rendait très désirable. Nous avons finalement joui à nouveau, elle tout de suite après moi.

Nous sommes restés dans les bras l’un de l’autre un certain temps à se caresser et s’embrasser. Puis il était temps de rentrer ; nous sommes retournés dans l’eau pour effacer toute trace de notre ébat, et nous sommes retournés sur la plage. J’ai pris la serviette et j’ai séché délicatement ses cheveux, son visage, sa poitrine, son bassin et ses jambes. Je l’ai faite s’assoir sur une souche pour lui sécher le pubis et lui faire enfiler son maillot. Je lui ai fait écarter les jambes mais la douceur de l’intérieur de ses cuisses a attiré ma bouche et je me suis mis à lécher ses cuisses, puis les plis de l’aine. Sa vulve était magnifique et je l’ai léchée comme une glace délicieuse et enivrante. Elle se crispait de plaisir sur ma tète puis elle a joui une dernière fois. Je lui ai remis son maillot. Nous sommes rentrés à la voiture et avant de rejoindre les filles, je lui ai dit a quel point ce moment tendre et intime avec elle m’avait chaviré. Elle a souri et m’a embrassé.

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