Le Plus Beau Cul Du Village !

Le plus beau cul du village !
Je suis un jeune chômeur (hittiste) de 26 ans, j’habite un village reculé de la haute montagne de Kabylie. Je passais mon temps à flâner dans les ruelles de mon hameau. Tous les jours se ressemblaient pour moi, aucune perspective à l’horizon, et des fois je m’adonnais à des parties de Domino avec quelques vieux du village, histoire de noyer mon stress. Quant à ma détresse sentimentale je préfère ne pas en parler pour vous épargner les détails de ma souffrance. La seule chose qui me consolait de temps à autre, c’est quand je guette discrètement comme un voleur les silhouettes des femmes qui allaient chercher de l’eau à la fontaine du village. Mais cette consolation ne faisait en vérité qu’accen ma frustration. Je restais des heures à fantasmer sur quelques femmes qui me marquaient avec leur corps de rêve cachés par une simple robe traditionnelle qui leur rajoutait une dose de volupté.
Un jour d’été, j’étais resté sous un arbre pour me protéger des rayons du soleil qui étaient brûlants ce jour là, je chantais tout seul comme un fou, et tout d’un coup je voyais une silhouette de femme qui apparait à l’horizon. Elle avait l’air de quelqu’un qui se diriger vers moi, et quand j’ai reconnu cette femme, je n’arrivais pas à croire mes yeux, c’était Dalila, la femme que tous les jeunes du village draguaient. Elle était mariée et elle avait deux s, ce qui n’a pas empêché tout le monde de la regarder car son corps frôlait la perfection. En vérité on enviait beaucoup son mari qui travaille à Alger et rentre une fois par semaine pour passer le week-end au village.
-Bonjour Hamid, je t’ai vu de loin quand je suis passé voir ma tante Saadia me disait-elle
-Bonjour Dalila, oui en effet je suis là depuis plus de deux heures, il fait trop chaud alors je ne veux pas bouger d’ici, au moins je suis bien à l’ombre.
-Au fait je suis venu te voir si tu es en mesure de me rendre un service (ah wajegh ak meth zemredh)
-bien sûr je suis à ta disposition, en tout j’ai rien à faire de particulier (oulach oughilif aqli dagi malaka i thehwajedh)
Je voyais les yeux de Dalila scintillaient en apprenant ma disponibilité, elle m’esquissait un sourire presque timide et me disait :
-Tu sais j’ai un problème dans mon installation électrique à la maison, je ne sais ce qui arrive, tout à l’heure ça m’a fait peur quand j’ai vu des étincelles et tout d’un coup ça a sauté, et là je suis sans courant électrique.


Il est vrai que pratiquement tous les gens du village me consultaient pour de petites bricoles électriques, car l’électricité restait le seul domaine que je maitrisais.
Alors je me suis levé pour accompagner Dalila chez elle, les battements de mon cœur commençaient à augmenter la cadence, j’étais à la fois gêné parce que j’avais honte que les gens du village me voyaient avec elle et excité du fait que j’étais derrière cette belle dame aux formes très sensuelles, je la suivais comme un mouton et je ne ratais pas une seule occasion pour scruter les formes de ses belles fesses que je devais à travers sa robe bleue. A chaque mouvement dans sa démarche je voyais ses flancs qui tremblaient, cela m’a subitement rendu fou et ma bite commençait à subir les effets dans mon pantalon. Pendant le trajet, Dalila n’arrêtait pas de me parler de ce problème d’électricité qui ne m’intéressait plus en réalité, ce qui me préoccupait le plus c’est la méthode que je dois adopter pour arriver à baiser cette femme.
J’hésitais un instant une fois au pas de la porte de la maison à Dalila, j’ai fait le timide mais elle était là pour de mettre plus à l’aise
-Rentre ne sois pas timide tu n’es pas un étranger ( kechem ed ur tsedh hara kech machi da varani)
Je franchissais la porte d’entrée, et la sueur coulait à flot sur tout mon corps. Elle essayait de mettre plus à l’aise que jamais en me proposant de boire une boisson gazeuse pour me rafraichir, ce que j’ai refusé en me contentant juste d’un verre d’eau. Je voulais sérieusement en finir avec sa panne électrique pour passer à autre chose, alors je lui ai demandé de me montrer l’endroit où elle voyait des étincelles. Elle m’a fait conduire jusqu’à sa chambre à coucher, et là j’ai eu un frisson en voyant son lit sur lequel il y avait quelques sous vêtements. Ça a été un coup fatal pour moi, j’en pouvais plus, j’ai eu une subite bouffée de chaleur, ce qui n’a pas échappé à la vigilance de Dalila
-On dirait tu ne vas pas bien, tu es malade ? me demandait-elle
-Non ça va merci, c’est juste parce qu’il fait chaud aujourd’hui c’est tout moi je ne supporte pas la chaleur
Je voulais à tout pris passer cette rude épreuve et me concentrer sur mon boulot.
Je lui ai demandé de me ramener un tournevis, elle n’a pas tardé à me ramener toute une caisse à outils que son mari gardait dans une sorte de cagibi. Pendant que je bricolais les fils mal raccordés d’un interrupteur, Dalila restait à côté de moi à deux doigts de toucher mon corps, je sentais sa chaleur et cela a augmenté mon énergie lipidique. J’ai fini la réparation de son interrupteur et rétabli le courant électrique, ce qui a rendu Dalila toute contente.
Ma mission accompli je n’avais aucune raison de rester chez Dalila, j’ai fait semblant de vouloir partir mais elle était d’un autre avis, elle a insisté que je reste pour boire un café en guise de remerciement, une invitation difficile à décliner. On s’asseyait à table dans son salon, c’était un moment magique, je faisais face à Dalila. Elle me racontait ses galères quotidiennes pour accomplir ses tâches ménagères et préparer la bouffe à ses s avant qu’ils arrivent de l’école, tout cela ne me faisait ni chaud ni froid ce qui m’intéressait le plus c’est le cul à Dalila.
J’ai enfin décidé de prendre mon courage à deux mains, et de lui avouer ce qui me taraudait l’esprit
-J’ai envie de te dire quelque chose Dalila et j’espère que tu ne vas te fâcher ( vrigh am dinigh yiweth el haja m ur terfudhara )
-Mais vas y dis moi ce que tu veux, je ne vais me fâcher et pourquoi vis-je l’être ? (inid ayen ik ihwan ur refughara achughar ar arfugh ?)
- A vrai dire tu m’as tué depuis longtemps que je te drague, j’ai vraiment envie de te baiser mais j’ai honte de te le dire ( am dinigh tidets teneghidi yi ach hal yagui ik metsegevaragh vrigh akemqugh dachu sedh ha am dinigh)
J’avoue que j’étais tout rouge en lui annoçant ça avec des mots crus. Elle aussi n’a pas caché sa timidité et elle était même plus rouge que moi
-Tu sais Hamid c’est une chose très dure à accomplir comme ça, moi je suis mariée et j’ai peur (tezridh a hamid da lhaja i wa3ren cheghel a gui nekini zewjagh ugadagh)
-Mais tu n’as pas à t’inquiéter personne ne le saura je te le promets ( ur tsegad ur thes3idh wa izran amniyi)
Je me suis mis debout devant elle, et là je me sentais comme un fauve ma bite bandait comme un âne, toute la timidité qui me terrorisait est partie.
J’ai défait les boutons de mon pantalon et je sors ma queue toute dure et tendue.
-s’il te plait Hamid ne fais pas ça attend j’ai peur que quelqu’un nous trouve dans cette posture en plus je n’ai même pas fermé la porte à clé( arju a hamid tsexxilek ugadagh agh d affen akka yerna ur sekragh thaburt)
-vas fermer la porte ne t’inquiete pas tout va se passer très bien ( ruh seker taburt urtsagad kulech ad i3di aken ilaq)
Dalila s’est levé et partie fermer la porte, elle est était terrorisée par l’effet de surprise. Pendant ce temps là moi je me mis tout nu, Dalila ne croyait pas ses yeux, elle était figée. Je voulais l’aider psychologiquement à se détendre, je l’ai fait asseoir et je commençais à l’embrasser sur la bouche et le cou en lui chuchotant quelques mots coquins, là je sentais ses frémissements et elle commençait à se relâcher puis je me redressais encore une fois et je l’ai invitée à me sucer un peu
-Vas y Dalila suce moi un peu s’il te plait n’aie pas peur ( atedh yit chituh a Dalila ur tsegad)
Je lui ai tendu ma bite à hauteur de sa bouche, elle a hésité un moment puis elle a décidé de la gober je sentais la chaleur de sa bouche, cela a failli m’arracher le cœur. Puis je lui ai dit de se lever et de se mettre à 4 pattes, je ne tardais pas à lui soulever la robe et sa culotte rose et en voyant le cul si magnifique de Dalila, j’ai failli éjaculer sans même la toucher. En effet elle avait un cul bien fait tout blanc et dont le sillon est si profond. Je me mets dériére elle et je commençais à lui chevaucher sa chatte un peu poilue. Dalila ne pouvait plus retenir ses gimissement.
-Vas doucement Hamid s’il te plait (ruh s la3qel a hamid)
Je lui donnais des coups en faisant des va et viens de fou et je voyais la sève sortir de la chatte à Dalila, elle était toute mouillée, cela faisait une semaine qu’elle n’a pas baisé
-je te baise bien comme ça Dalila ? (i 3jevem aken ik metsequgh a dalila ?)
- oui continue mais fais doucement et surtout ne parle pas à haute voix s’il te plait j’ai peur que quelqu’un nous entende (I 3ejviyi aken I thetsequdh dachu heder s le3qel di le3nayek ugadagh Igh d selen)
Je m’agrippais aux flancs de Dalila et en regardant son trou de cul, je ne pouvais ignorer mon désir de la sodomiser.
Je tiens quand même à le lui proposer
-J’ai envie de te la mettre dans le cul ça te tente ? ( vrigh am tegregh ug qerqur teveghidh kemini ?)
Elle s’est contentée de hocher la tête en signe OK puis elle me disait :
- Par contre vas doucement s’il te plait Hamid j’ai bien peur que tu me fasse mal ( dachu ruh s le3qel a hamide di le3nayek ugadagh ayi teqerhedh)
-N’aie pas peur je vais te pénétrer tout doucement tu sentira pas la douleur ( ur tsegad am tegregh s le3qel ur sehesudhara k
Quand j’ai sorti ma bite de la chatte à Dalila j’ai failli ne pas retenir mon éjaculation. Je commençais à m’occuper de son anus en lui appliquant un peu de salive pour faciliter la pénétration de mon doigt. Je reconnais que le trou de cul de Dalila était tellement serré que j’avais même du mal à entrer mon index, puis doucement son muscle commençait à se relâcher, et là je me suis mis en position d’attaque derrière elle, le cul en l’air bien cambré je l’ai pénétré doucement, ma bite avait du mal à entrer au départ puis comme un tourbillon, je vois son anus qui avale toute ma bite. Je lui ai fourré la rondelle pendant une bonne dizaine de minutes, des minutes qui m’ont hissé au 7eme ciel.
Quand on a fini nos ébats, je me suis rhabillé pour partir, je regardais Dalila qui était assise sur la chaise comme s’elle était dans un rêve la tête un peu baissée, elle me soufflait son dernier mot
-S’il te plait je veux que ça reste entre nous (di le3nayak ad iqim geranegh)
-tu n’as pas à t’inquiéter ( ur tsegad)
Je sortais de cette maison la tête plein de bons souvenirs

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