Moi Et Mon Nounours : Chapitre 4

Moi et mon nounours : chapitre 4

Bonjour à toutes et à tous, me revoilà pour le 4ème chapitre, j'entends d'ici les "Wow il l'a sorti vite !" et oui, figurez-vous que ce chapitre sera passé en attente de publication AVANT la publication du chapitre 3 ! Et ce dû à une simple chose : ayant dû monter sur Lille pour raisons personnelles (nous habitons sur Paris, Romain et moi), j'en ai profité dans le train pour écrire un petit peu…Voilà, vous savez tout, bonne lecture !

"Lio, j'en veux plus…"

Je le regardais, comprenant à moitié ce dont il parlait, mais je crois que je refusais un peu de me l'avouer. J'y avais souvent pensé, voire même fantasmé mais je ne pensais pas à dire vrai que ça arrivait si vite…Eh oui, vous avez sûrement deviné, je parle bien de la sodomie !
Une petite pointe d'angoisse pointa en moi et je le regardais avec des yeux traduisant mon interrogation, je suppose, car il bafouilla des paroles indistinctes en rougissant :

"Heu, enfin…si tu veux pas, c'est pas grave…heu…enfin j'en ai envie…enfin voilà…je sais pas…mais je veux pas te forcer hein ! Mais dis oui, s'il te plaît…"

Le voir perdre son sang-froid naturel me fit sourire et me dit qu'il est aussi stressé que moi, voir plus…Ces derniers critères me font donc lui dire :

"Je veux bien…Mais fais doucement, j'ai jamais eu l'occasion de…Enfin voilà, quoi…
-Oui, ne t'en fais pas ! Je ferai attention !" me répondit-il, dans un grand sourire. Le fait que j'ai pris une douche avant de venir m'a sûrement aussi décidé et que je suis, je pense, relativement propre de ce côté là. Il me demande de me mette à quatre pattes et se place derrière moi. Il commence par caresser mes fesses, doucement… Comme quand on effleure un tissu pour en éprouver la douce caresse. Je gémis doucement quand je sens quelque chose de chaud et humide passer sur mes miches, sa langue, devinais-je… Il devient plus entreprenant et écarte de ses mains mes deux hémisphères, révélant impudiquement mon trou vierge à ses yeux.

Sans plus attendre sa langue glisse sur ma raie et je gémis face à cette caresse totalement nouvelle pour moi, qui la "subit" et lui qui la pratique. Je ne sais pas si le fait qu'il soit (était ?) hétéro y change quelque chose mais il a la langue agile, le coquin… Sa langue arrête de me faire du bien, et je sens son doigt effec de simples pressions autour de mon anus, se rapprochant de plus en plus de l'entrer. Ca y est, il est dessus…Grâce à sa salive, son doigt rentre facilement, un long gémissement sort malgré moi de ma bouche…Mes bras avants s'affaissent et je tombe contre l'oreiller qui était devant ma tête. De ce fait, ma croupe est encore plus relevée, et ce n'est pas pour déplaire à Monsieur, je pense. J'entends le bruit d'un emballage de préservatif qu'on déchire, et sent bientôt contre ma raie quelque chose de froid. Je devine que c'est du lubrifiant. Je sens bientôt sa queue, ou devrais-je dire son gland, qui fait des aller-retour de haut en bas dans le sillon de mes fesses. Bientôt, un petite pression se fait ressentir, et il vient me murmurer à l'oreille :

"Détends-toi, Lio…je vais être doux, mais décontracte-toi, ou ça risque de te faire mal…pendant qu'il disait ça, il commençait à pousser, doucement…Voilà, pousse doucement…voilà…tu vois, je rentre, tout doucement…dis-moi si tu as mal, j'arrêterai…"

Je gémissais, et faisait ce qu'il me disait de faire…Qu'est-ce que c'était bon ! Il me caressait le derche, doucement, comme on flatte un peu un animal, et je sentais contre mon oreille le rythme de sa respiration qui s'accélérait, il devait être sacrément excité ! D'un coup, son gland vu aspiré par ma cavité anale, et il poussa un soupir, de soulagement, de plaisir, de désir, je ne sais pas. Sa queue continua son chemin, centimètre par centimètre, et je sentis que sa queue était tout au fond quand son ventre toucha mon derrière. Sa queue me procurait un effroyable plaisir, on fond de mon conduit, était-ce ça, la prostate ? Et son plaisir qui rend fou ? Il me demanda s'il pouvait commencer à bouger, et lui répondis par l'affirmative.
Il commença donc des va et vient et je ne pus carrément pas m'empêcher de gémir tellement c'était bon, tellement je me sentais en communion avec cet être que j'aimais par dessus tout, j'avais l'impression que nous ne faisions qu'un… A en croire par ses gémissements à lui et sa respiration saccadée, je devine aussi que ça lui plaît beaucoup. Mais bientôt, la réalité nous ratt, et n'y tenant plus je jouis dans un orgasme foudroyant. Je sens mon anus se contracter, et cela l'achève, je sens sa queue faire des soubresauts dans mon conduit et se vider dans la capote.
Nous redescendons tout doucement de notre petit nuage et j'ai les pensées assez vagues… J'ai l'esprit cotonneux d'amour, du plaisir qu'il m'a procuré, et de la sensation de n'être qu'un avec lui…Nous sommes épuisés, essoufflés, pantelants. Il vient se lover contre moi et me murmure un doux "Je t'aime à l'oreille", au quel je répond un tendre "Moi aussi, Romain, comme un fou…"


Voilà, fin du chapitre 4, certes un peu court, mais je voulais finir le chapitre sur la douceur de ce passage de notre vie commune, et j'avoue que c'était certes un peu rapide (bien plus qu'aujourd'hui quand nous baisons, ment, nous avons plus d'expérience…) mais il est aussi rare que je retrouve cette impression de tendresse, et l'excitation de notre première fois. Certes il est toujours aussi tendre, amoureux, doux, intentionné mais il n'a pas ment le comportement qu'il a eu quand il a défloré ma fleur. Et vous, avez-vous retrouvé ça ?


Lio

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