Collection Folle Du Cul. Maryse Et Monsieur X (1/4)
Depuis octobre 2014 où je me fais plaisir à écrire des histoires érotiques mes moments préférés ce sont ceux lorsquun ou une lectrice me rapporte leur propre expérience.
Il y a ceux que vos écrits rappels des souvenirs de leur vie récente ou bien plus ancienne.
Il y a ceux qui fantasment sur ce quils auraient pu faire dans la même situation.
Ceux qui ont rêvé de trouver leur compagne dans des situations qui, hélas, resteront des rêves.
Maryse qui ma contacté après lun des textes des jours derniers mest apparue très intéressante.
Maryse avait mis une adresse Mail.
Ça ma permis dapprofondir sa personnalité.
La possibilité déchanger par Mail facilite la prise de renseignements.
Les commentaires sur HDS sont bien utiles, mais dans ses premiers Mails rapidement jai assez de matière pour commencer à écrire.
Rapidement lâge de Maryse me disant quelle est retraitée me semble intéressant.
Cest la première fois quune dame de la région dÉtampes était presque de mon âge.
Comme disent les Suisses ou les Belges, lapproche de ses septantes égrainait déjà le tic-tac de la pendule de nos vies et nous rapprochait.
Maryse ma dit la croqueuse de vie quelle était et est encore, oui, même à son âge.
Maryse, mère et grand-mère, proche dêtre arrière-grand-mère, a vécu ce que certains disent une vie de débauche et de sexe sans aucun tabou.
Une femme à quelques mois de ses soixante-dix printemps me dévoilait les choses les plus intimes que sa vie dintermittente du spectacle comme dit à notre époque, lui avait apporté.
Des tromperies, des amants surtout dans ce milieu avec comme point dorgue des aventures éphémères avec des acteurs célèbres.
La vraie vie pour certaines salopes qui mécrivent me parlant de fantasme ou de rêves alors quelles veulent ressentir par des mots ce quelles ont ressenti tout au long de leur vie.
Pour Maryse, lors de son mariage à 21 ans, sa vie sexuelle était déjà fort avancée.
Mais nous en parlerons dans la suite des épopées de la vie de ma nouvelle amie dans de prochains textes.
En ce temps-là, vu le nombre dannées en arrière, on peut dire que plusieurs créneaux souvraient aux femmes.
Vierge, jusquau dernier moment, avec le risque que leur nuit de noces soit un vrai fiasco.
Lalcool aidantes, entre lallène de chacal et le nombre de grammes ingurgités par ceux avec lequel elles venaient de lier leur vie, les belles se retrouvaient avec leurs seuls doigts pour se donner du plaisir.
La masturbation, déjà connue de la plupart dentre elles depuis leur puberté avec leurs doigts leur apportant du plaisir grâce à leur clitoris, devenait leur palliatif
Dautres dans le même état de virginité et dalcool du mari se tournent vers un amant dès le premier soir.
Souvent le témoin du marié rongeant son frein depuis que son copain lui a présenté celle qui serait sa compagne sert de remplaçant.
Maryse se classait dans celle qui avait déjà connu le loup doù la catégorie de mon écrit dans la collection « folle du cul. »
Cest au moment des enchères de sa jarretière, que sa première aventure de salope est arrivée ce soir-là.
Quand vous connaîtrez le début de sa vie sexuelle et la découverte de son corps, vous verrez que jusquà ce moment là sur la scène, elle avait été raisonnable.
La mise aux enchères de la jarretière était fréquente dans ces années daprès-guerre.
Les gens souhaitaient se divertir évitant de penser aux années noires quils venaient de traversée.
Maryse était née après la guerre, elle et moi nous faisons partie des années « baby-boum. »
Pourquoi baby-boom terme franglais ?
Certainement car des femmes de vie légère après avoir fricoté avec lennemie avaient complété leur tableau de chasse avec les libérateurs américains, anglais ou de rare fois française.
Parmi ces Français, il y en avait qui était venu des colonies étant de diverses couleurs.
s et boom, que lon peut traduire par explosions des naissances en France.
Mais donnons la parole à Maryse pour quelle vous raconte mieux que quiconque son aventure et les suites qui vont suivre.
Bonjours je mappelle Maryse et je remercie Chris, de me prêter sa plume.
Le jour de mon mariage, je suis montée sur scène tenant la main de Jean, témoin désigné pour monter les enchères de ma jarretière.
Lorchestre payé par ma belle-mère jouait un morceau passe-partout.
Il ma aidé à masseoir sur une chaise de côté en rapport du public afin quau nombre de billets, je monte où descende ma jarretière.
Rapidement jai vu monsieur X mettre des billets dans le chapeau que Jean promenait.
Tout le long de mon récit, jappellerai, ce monsieur étant le personnage principal de mon aventure, monsieur X.
La cinquantaine, moi 21, il était voisin de ma belle-mère dans son immeuble.
Cétait le président des copropriétaires et était connu pour être une espèce de prêteur dargent vu sa grande fortune.
Je lavais croisé quelquefois depuis que jétais avec Claudio.
Il était à notre mariage invité par ma belle-maman étant des voisins de longue date.
Gueule avinée et embonpoint dépassant la comorbidité, il a monté les enchères à coups de francs en service dans ces années-là.
Cétait la lutte entre lui et le même genre de porc dont jusquà ce jour jignorais lexistence que je vais voir venir marracher ma jarretière.
Je ten supplie Jean, arrête de faire entrer les billets dans ton chapeau lorsque Robert, un copain placera son dernier billet.
Mais je sais que cest impossible, ce sera le dernier homme ou la dernière femme généreux qui lemportera.
Hélas, à ce que je vois, avec Claudio nous aurons beaucoup de pognons, mais les deux derniers sont ces vieux barbots.
Dernière possibilité de surenchérir, un, deux trois gagnés.
Monsieur X, voulez-vous me suivre auprès de Maryse qui va vous faire plaisir en vous permettant dôter sa jarretière, avec vos dents pour respecter la tradition.
Il est arrivé à ma hauteur, cétait la première fois que je le voyais de si prêt.
Visage aviné, avec ce quil avait ingurgité pendant le repas, rien danormal, mais ses cest à ce moment que je découvre ses yeux de vieux sadique, il me fait un peu peur.
Avec du mal, il sest agenouillé et a approché sa bouche de ma jambe.
Jai le temps de voir ses chicos jaunis, souvent il se balade dans limmeuble avec un mégot aux lèvres.
Jai ses cheveux crasseux au-dessous de mon nez, ce monsieur X est un homme à la limite de linnommable.
Comme il est placé, je vois sa main se glisser dans lintérieur de ma fourche.
Il sait que les gens dans la salle sont dans limpossibilité de voir son geste.
Jaurais voulu faire quelque chose, mais à part un esclandre, je subis.
Son doigt ou ses doigts viennent en contact de ma chatte et une fraction de seconde sur mon clito.
Il me caresse très rapidement tout en ayant sa bouche bavant sur ma jambe quand il tire ma jarretière vers mon mollet.
Un instant, je ferme mes yeux, un petit frisson traverse mon corps.
Quand il me libère de son emprise, se relevant difficilement avec ma jarretière dans les dents, je me crois libérée.
Voilà qui est fait, les jeunes mariés vous remercient de votre générosité.
Que la mariée rejoigne son mari pour ouvrir le bal.
Nous avons là encore été contraints à suivre la tradition.
Jusquà ce que je sois obligée de faire ce que le chef dorchestre me demande.
Voici un slow, que la mariée rejoigne le monsieur qui a gagné sa jarretière, il a bien mérité ce petit moment de plaisir.
Piégé, comme je lai dit à Chris71 quand je lui ai évoqué ma vie, jétais loin dêtre bégueule sur le choix de mes amants et il vous contera cela dans les prochains jours.
Vous êtes vous déjà retrouvé dans les bras de Balou, son ventre me permettant davoir mes seins loin de sa poitrine.
Mais il veut sentir le plus en plus de moi après mon clito et il me serre me faisant sentir lenvie qui semble lenflammer.
Il profite de sa position dominante pour me glisser dans loreille, ce qui va devenir le poison qui va régir sa vie.
Vous savez, madame Maryse, je suis toujours au service des jeunes et des gens.
Jai été surprise que monsieur X mappelle tout au long de nos rapports « madame Maryse et me vouvoie.
Si vous en avez besoin, je suis en mesure de vous prêter de largent.
Pour vous, je vous ferais une fleur, nous trouverons des arrangements.
On va faire attention, merci de la proposition.
Vous semblez dubitatif, je vais vous donner un exemple.
Regardez votre belle-mère, comment croyez-vous quelle finance la noce de son fils.
Elle est bigote sur les bords, mais elle a compris, elle vient souvent chez moi pour me faire les remboursements.
Je pourrais vous raconter la salope quelle est dans un pieu et sur mon pieu.
Monsieur X vient carrément de me dire quil saute ma belle-mère contre des remboursements et que si je sais en faire autant, je pourrais avoir de largent à des taux préférentiels.
En un mot, il veut faire de moi une pute.
Merde, ma belle-mère est une pute bien quelle ait rendez-vous avec son curé tous les dimanches.
Heureusement, quavec Claudio nous sommes raisonnables.
Mais qui peut dire « jamais » lavenir nous le dira...
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