La Maison Du Bonheur (5)

— Alors, on baise…

Erwann et Fabien étaient prêt à répondre à cette invitation de Svetlana. Mais Emilie les fit s'asseoir.

— Attendez les garçons. Je voudrais que Svetlana nous raconte sa première fois avec une fille.

Un peu déçus ils reprirent place et écoutèrent le nouveau récit de la slovaque.

— Je connaissais Kristina depuis des années. Nos parents étaient amis. Mon père travaillait avec le sien. Dans les ministères. Quand on est entrée en fac de langues ils ont pensés que nous pourrions partager un appart à Kosice. Nous étions d'accord toutes les deux.
"Avant Kristina il m'était arrivé d'embrasser des filles. J'avais trouvé ça sympa mais je n'étais jamais allé plus loin. J'aimais ma bite et même si l'idée ne me déplaisait pas je n'avais pas poussé l'expérience plus avant.
"L'appartement était sympa. Un peu ancien mais fonctionnel. Nos chambre se faisaient face. Elles étaient séparée par un salon. Un petit couloir desservait la cuisine et la salle d'eau. Nos fenêtres donnaient sur la rue et j'aimais bien le soir fumer accoudée à la fenêtre, regardant les gens passer
"Kristina et moi nous entendions bien. La colocation était bien organisée. Chacune respectait l'autre, ses affaires, son intimité.
"Il faisait de l'orage cette nuit là. Je dormais bien. A peine dérangée par les premiers coups de tonnerre. J'ai entendu la porte s'ouvrir et Kristina s'est jetée dans mon lit. "J'ai peur de m'orage, dit-elle. J'ai toujours eu peur. Je peux rester avec toi ?"
"Je lui ai dit oui. Elle s'est allongée contre moi. Elle m'a prit la main, s'est collée a moi. Au travers du tee-shirt qui me servait de chemise de nuit j'ai senti ses seins contre mon dos. Elle dormait nue. Le matin elle traversait le salon à poil et n'enfilais des vêtement qu'après avoir bu un café
"Je me suis tournée vers elle. Je l'ai embrassée. J'ai posée ma main sur ses seins. Elle n'a pas bougé.

Je me suis collée a elle. Nos seins pressés les uns contre les autres. Le tonnerre grondait. Des éclairs venaient éclairer la chambre. A chaque fois Kristina sursautait. A chaque fois je l'embrassais. Avec un peu plus de fougue. Ma main descendais vers son sexe. Le mien était chaud comme la braise. Je le sentais dégouliner. Kristina ne disait rien. Elle se laissait faire. Se soumettais a mes envies.
"J'attendis un nouveau coup d'orage pour glisser un doigt en elle. Elle sursauta et émit un petit cri. Je la masturbais. Sa chatte était toute mouillée. Mes doigts glissait sans problème. Nos bouches étaient collées. Kristina roulait sa langue sur la mienne. L'orage s'éloignait et nos désirs gonflaient.
"Je me débarrassais de mon tee-shirt. Kristina me suça les tétons. Ils étaient bien dur et bien sensible. Ses doigts se glissèrent entre mes lèvres humide et me branlèrent. Toutes les deux la main dans la chatte de l'autre nous nous fîmes jouir.
"L'orage n'était plus qu'un souvenir. Kristina ne s'en était pas rendu compte. Je descendis et goutais a mon premier sexe de femme. Elle était douce. Juteuse comme un fruit s'été bien mur. Ma langue glissait sur ses lèvres en buvant tous les sucs au gout suave. C'était ma première fois mais j'avais le sentiment d'avoir toujours fait ça. Je lui suçais le clito. Le mordillais. Le titillais de ma langue. Kristina se tortillait de plaisir. Elle se tendit et son corps explosa dans un orgasme. Mon minou était tout aussi trempé que le sien. Je me levais, la pris par la main et la conduisis dans le salon. Je m'installais sur le canapé, cuisse écartée. Elle se pencha sur moi et me lécha.
"J'avais déjà connu des langues sur mon sexe. Mais des langues de mecs plus virile, plus conquérantes, plus brutales. Celle de Kristina glissait sur moi. Jouait avec mon sexe. Laissait monter le plaisir. Elle était douce. Sensible. Pour elle aussi c'était une première. Elle aussi découvrait le gout d'une chatte. Elle aussi semblait avoir toujours fait ça.
Elle savait où aller, où lécher, où sucer. Elle savait écouter mon corps. Ses vibrations. Ses contractions. Je jouis dans sa bouche.
"Nous sommes ensuite allée dans sa chambre. Nous nous sommes endormies serrées l'une contre l'autre.
"Pendant tout le reste de cette année nous avons dormi toutes les nuits ensemble. Seules ou accompagnées."

Je bandais ferme. Emilie s'était glissée une main dans la culotte et se caressais. C'est Erwann qui rompis le silence.
— Cette fois ci vous faites ce que vous voulez mais Fabien et moi on va niquer.

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