Leslie La 20

Leslie LA20 – Laure, le journal intime - Encore trop bon, suite

J’étais envahie de désir par ce qui se passait, j’étais là, les jambes bien écartées, une main posée entre elles et l’autre caressant Claire qui jouissait sous mes doigts et je peux dire qu’à cet instant j’étais trempée.
En voyant mon air étonné, Claire a souri et a passé ses doigts dans ma chatte pour constater que j’étais vraiment trempée. Alors elle m’a dit :
- C’est bon, hein ?
Le frisson qui m’a parcourue au contact de ses doigts lui a suffi comme réponse.
C’est vrai que c’était bon, puis elle a rajouté :
- Je vais te faire belle avant qu’Henri s’occupe de toi !
Quel programme !

C’est donc installée, bras et jambes largement écartés, afin qu’elle puisse ôter tout poil superflu, partout, que je me suis laissée épilée intégralement.
Je me détendais en me laissant aller en sentant les mains de Claire s’occuper avec attention à mon sexe, ses mains douces qui étendaient la crème sur mes lèvres, attentives pour que tout se passe bien, sans le moindre mal. Son souffle sur mon mont de Vénus à chaque fois qu’elle devait s’approcher pour un poil réticent…
Puis me sortant de cette torpeur qui m’avait envahie, elle m’a dit :
- C’est fini !
Le miroir portable de coiffeur qu’elle m’a tendu, m’a permis d’admirer le travail.

De ma toison taillée court, il ne restait plus rien, la fente de mon sexe était retombée en enfance, entièrement nue entre les jambes, ma chatte ainsi débarrassée de ses poils était maintenant disponible aux regards, offerte dans une indécence totale, j’étais nue complétement jusque dans ma raie du cul…
C’est vrai que cette peau fraîchement épilée était d’une douceur, d’une douceur…
Claire a voulu être la première me gouter, alors elle s’est accroupie devant moi et elle s’est mise à me lécher avidement.
Sa langue glissait sur mon clitoris gonflé à bloc.

Une sensation de chaleur m’envahissait puis elle allait chercher mon anus du bout de sa langue, me faisant frisonne.
Puis sa langue chaude a écarté mon être et a pénétré dans mon vagin on ne peut plus offert, sa vengeance était vraiment terrible.
Sentir sa langue parcourir mon clitoris et ses doigts à l’entrée de mon vagin a suffi à me faire éclater…

Mais ce n’était pas fini, elle a pris une de mes mains et l’a posée sur mes seins, puis a pris l’autre qu’elle a mise sur mon pubis et elle m’a seulement dit :
- Écarte !
Alors je lui ai offert mon sexe entièrement ouvert, sa langue s’est activée et, sans attendre j’ai joui, lorsqu’elle m’a percé l’anus d’un doigt.
Quand nous sommes retournés retrouver Henri, j’ai su à son regard lubrique posé sur moi, que je lui faisais de l’effet, mais calmement il m’a demandé :
- Un peu de champagne ?
Claire nous a servi trois coupe et installée face à Henri, j’ai dégustée ma coupe en lui offrant un spectacle, me laissant aller j’ai d’une main écarté légèrement mes lèvres pour lui offrir la vue de l’intérieur de mon intimité, tandis que mes doigts sur mon clitoris me fassent jouir devant lui.
- Vous êtes fantastique, me dit-il.
Claire s’est rapprochée de moi et elle a passé sa jambe au-dessus de moi en appui sur le dosseret du fauteuil, ce fut à mon tour de profiter du spectacle, ses longues jambes de part et d’autre de ma tête, avec au sommet sa petite chatte, alors tout doucement, elle est descendue lentement, ses lèvres offertes s’approchant des miennes tendues, mais elle s’est arrêtée juste au-dessus, à portée de ma langue.

Dans l’état où j’étais, sans me poser de questions, je me suis donc ruée sur sa moule qu’elle m’offrait, sous les yeux attentifs d’Henri. Je l’ai, léchée, sucée avec ma langue devenue folle, j’ai aspiré son clitoris, la faisant gémir, ses mains enfouies dans mes cheveux, pressant ma tête contre son sexe.
Mes mains se sont jointes à ce ballet infernal, l’écartant, la pénétrant, elle m’avait montré qu’elle aimait le toucher anal, alors je ne lui ai pas laissé le temps de se pénétrer elle-même et ma langue est allée l’envahir tandis que mon nez s’imprégnait de ses odeurs intimes.
Je l’entendais gémir, crier, puis elle a pris fermement ma tête entre les mains, m’a reculée un peu et a crié, les yeux en feu :
- Regarde, je jouis !

Devant moi, à quelques centimètres, je voyais sa chatte se dilater et de longs jets en sortir. Sa jouissance m’inondait le visage. Elle éclatait en jets puissants et chauds. Extraordinaire !
Puis elle est venue m’embrasser longuement pour partager le goût de l’amour, et Henri s’est levé pour venir vers nous en disant :
Maintenant, que notre belle petite vicieuse est prête, je vais m’occuper d’elle.

Claire, m’a prise par la main et m’a fait coucher sur sa table basse du salon, mes pieds de chaque côté, mes fesses au bord les jambes bien écartées.
Je me retrouvais ainsi, offerte au regard d’Henri, dans une position indécente, la chatte certainement ouverte à tous ses désirs.
Claire s’est mise à m’embrasser doucement et très rapidement elle s’est agenouillée devant moi pour me masser doucement le sexe. L’effet ne s’est pas fait attendre et, malgré l’inconfort de la situation, j’ai senti mon vagin s’humecter.
D’un doigt elle a vérifié que je ne restais pas indifférente à ses caresses et après m’avoir doigté la vulve, elle s’est tournée vers Henri pour lui faire sentir l’humidité de son majeur.
Il semblait satisfait et a hoché la tête, alors Claire a englouti le membre d’Henri afin de lui donner la raideur nécessaire à une pénétration et en un rien de temps Henri présentait un membre parfaitement raide et gonflé de désirs.

Henri s’est placé entre mes cuisses et d’une main Claire m’a écartée la chatte, tandis que l’autre tenait fermement le membre viril de son homme, elle a présenté nos deux sexes et le sexe d’Henri est entré en moi.
Enfin, je sentais le membre viril d’Henri au plus profond de moi, une sensation nouvelle m’envahissait, pour la première fois je sentais parfaitement un pubis masculin au contact direct avec ma vulve entièrement libérée des poils et je sentais la fine toison d’Henri caresser mon clitoris et mes lèvres offertes et surtout je sentais parfaitement ses testicules s’écraser au bas de ma vulve, en haut de mon ouverture anale et ce, à chaque fois qu’il poussait son membre en moi.
Claire me tenait toujours écartée, le regard posé sur ces deux sexes qui entraient en parfaite harmonie. De temps à autre Henri émettait une instruction et Claire orientait son pénis dans tel ou tel recoin de mon intimité. Pour couronner le tout, elle m’a enfoncé son index dans l’anus pour guider plus aisément son homme.
Je devenais folle, ne sachant plus comment me tenir et me laissant totalement aller…
J’avais envie de crier, de lui dire de me baiser à fond, de prendre aussi mon cul et de me défoncer sans relâche jusqu’à perdre conscience…

Henri n’a pas accéléré le rythme, il me baisait consciencieusement, imperturbable, guettant toutes mes réactions et le comble, c’est qu’au moment où je commençais à sentir le plaisir monter en moi, il s’est retiré !
Il s’est relevé et sans un mot à disparu…
Claire m’a fait signe de me relever, je n’en revenais pas et j’ai dit à Claire :
- Mais, il n’a pas joui ?
Claire a répondu :
- Il trouve a dû trouvé que tu n’étais pas encore prête, ton vagin n’est pas assez souple et musclé pour atteindre le plaisir ultime.
- Mais pourtant j’allais jouir !
- Pas assez fort.

Je ne comprenais pas. Il faut dire que depuis toujours je faisais plus l’amour par instinct et non pas suivant des règles établies et je n’y avais jamais prêté attention. En fait je vivais que des petits frissons, mais comment atteindre le grand frisson, Claire me voyant étonnée me dit :
- Va te coucher, demain je t’expliquerais et nous arrangerons tes petites faiblesses. Tu devras faire comme moi, un peu de musculation.
Pour me prouver ses dires, elle a largement ouvert les cuisses, puis prenant ma main elle s’est enfoncée un de mes doigts dans son vagin, et là j’ai senti son intimité se resserré sur mon doigt, le presser de ses muscles intimes. Et là j’ai compris…
Elle m’a embrassé et m’a dit :
- A demain !
Et je suis partie me coucher…

A suivre…