La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode N°1456)
chienne Kajira (devenue chienne Cataleya) au Château (suite de l'épisode N°1426)
Il ne me fallut pas longtemps avant davoir envie de jouir. Cette envie était vraiment intense mais je me devais de me retenir malgré les fortes stimulations clitoridiennes qui me faisaient mouiller énormément à faire couler ma cyprine de femelle en chaleur. Pendant que je me branlais la chatte comme le Noble me lavait appris, un des hommes présents, je ne sais pas lequel car jai toujours les yeux bandés, prit possession à nouveau de ma cavité vaginale par de virils et puissants coups de reins sauvages, dans une pénétration des plus bestiale. Quand il en eut assez de me besogner de la sorte, il me fit mettre à quatre pattes pour me prendre, cette fois, en levrette et par lanus, comme la chienne que je suis mais sans me branler. Il senfonça sans préambule, dabord dun coup sec et profond allant jusquà la garde, à la hussarde. Ensuite, il resta immobile, bien planté en moi au fond de mon cul alors que son torse était lover et épousait la forme de mon dos, ses bras passaient sous mes aisselles pour que ses mains viennent empoigner fermement mes seins pendants dans le vide. Ainsi prise sous sa virilité profonde et statique, il se mit à me pincer mes tétons et à les étirer quand il commença à bouger ses reins pour me ramoner mon fondement anal. Il accéléra de plus en plus vite pour de nouveau me besogner et ainsi il mencula profondément le cul de sa grosse et épaisse queue raide, gorgée de plaisir, dure comme un mandrin. Jeu un peu de mal à me détendre dès son intromission sans vergogne car je sentais que sa verge était vraiment de bonne taille et cest pour cela que dès quil prit possession de mon cul par cet assaut viril, sec et profond, jeu du mal à retenir un cri de douleur
- Tiens la pute, pour tempêcher de crier, suce ma grosse bite et fais moi bien durcir dans ta bouche de salope de chienne, dit un autre homme en menfonçant sa queue demi-mollassonne dans ma bouche
Je devais me concentrer pour ne pas émettre de cris, de douleur comme ceux mélangés au plaisir de me sentir ainsi remplie et de me faire défoncer le cul dans cette copulation animale, dans cette saillie des plus bestiale, pendant que lautre homme me baisait la bouche et me prendre aussi en gorge profonde en envahissant ma cavité buccale comme un vagin.
Je sentais donc mon cul douloureux se dilater assez pour que la douleur se transforme en plaisir et que je sente cette excitation à me faire prendre ainsi montée... Lautre homme que je suçais avec ardeur se retira de ma bouche pour se planter dans ma chatte trempée, dégoulinante. Pour ne pas laisser ma bouche vide, un autre homme senfonça en moi sans attendre. Jétais alors prise par mes trois trous de putain en chaleur et quand un homme avait éjaculé dans une de mes cavités corporelles, un autre le remplaçait aussitôt, servant ainsi juste de trous à remplir pour se vider les couilles. Jétais offerte en gang bang sauvage par le Maitre, à ses hommes de main. Durant tout le temps où ils se sont occupés de mon cul, de ma bouche et de ma chatte, je nai pas eu lautorisation de jouir, et cest ce qui fut le plus difficile, car se retenir dans de telles conditions si excitantes à se faire prendre, cela tient tout simplement de la prouesse, telllement jétais mille fois à la limite dorgasmes explosifs !... Une fois quils en ont eu fini avec moi, je fus conduite par les six hommes dans une des salles de bain
On minstalla dans la douche et on exigea que je me place assise au sol, adossée contre la paroi, les cuisses largement écartées et la tête levée, la bouche grande ouverte.
- Et garde ta bouche grande ouverte pour nous servir de chiotte, la pute, pendant que mes amis ici présent se vide la vessie sur ton corps de catin. Et une fois finie de boire, salope, tu viendras bien me nettoyer et me refaire bander
Jai encore envie de sentir ta bouche sur ma queue, la chienne.
Je mexécutais donc encore en silence, même si jeus le plus grand mal à les boire car ils pissaient visant prioritairement dans ma bouche durant de longues minutes sans sarrêter. Et pendant quon murinait dessus, en même temps, javais reçu lordre de me caresser le corps, de me masser et de me souiller ainsi encore plus avec leur pisse de mâles. Ce fut donc un véritable massage à lurine !... Une fois que tout le monde eut fini de se vider dans ma bouche et sur mon corps nu et avachi, je me redressais à genoux et je me mis donc à sucer de nouveau lhomme qui avait parlé. Je mappliquais à lui donner le maximum de plaisir avec ma bouche qui avait le goût fort de lurine chaude. Je suçais, aspirais, léchais sa hampe et ses couilles. Cet homme, à un moment, prit lui-même le contrôle de la fellation pour imposer son propre rythme. Je nétais pour lui, toujours et encore, quun simple jouet pour se vider les couilles et la vessie, un simple objet quil use et à sa guise. Je sentais que son plaisir montait de plus en plus sentant grandement sa queue gonflée. Ce traitement dura de longues minutes quand dans une dernière gorge profonde, il se vida dans un puissant râle jouissif via un flot saccadé de sperme épais et chaud au fond de ma gorge, ce qui me fit déglutiner, à la limite de l quand il plaqua ma tête contre son bas-ventre en la maintenant fermement.
- Oui salope Cataleya, qui y a-t-il ?
- Merci Monsieur Walter de me permettre de mexprimer. Puis-je avoir votre autorisation daller pisser en bonne chienne, pour ne pas souiller mon enclos de ma pisse, sil vous plait ?
- Depuis quand, tu nas pas pissé la chienne ?
- Depuis plusieurs heures
- Ah OK. Alors suit-moi, à quatre pattes bien sûr
Je suivis donc le Majordome du Maitre jusquau jardin pour uriner. Cétait pour moi toujours difficile de faire mes besoins dehors et sans intimité. Mais lenvie était la plus forte et ma dévotion aussi. Et puis ma condition servile ne mautorisait plus à avoir une quelconque intimité qui, de fait, ne mappartenait plus
Il ne me fallut pas longtemps pour que je pisse comme une chienne accroupie au beau milieu de la pelouse. Une fois finie, Walter me conduisit dans le Chenil du Maitre avec mes autres surs et frères de soumission qui dormaient depuis déjà un long moment. Je ne savais pas quelle heure il pouvait être, ni combien de temps jallais pouvoir dormir. Je repensais à toute la soirée passée et à ce magistral gang-bang que Maitre venait de me faire vivre
Et épuisée je mendormis en quelques instants
Plusieurs jours passèrent sans que je puisse voir le Châtelain, mais jétais très occupée par mon entreprise entre réunions, visites à domicile dans de luxueuses maisons et surtout javais toute la réception gastronomique dun mariage vanille à préparer.
- Bonjour Ma chienne endormie. Je fus surpris ce matin à Mon réveil de ne pas te trouver dans le Chenil, mais rassure-toi Walter Ma tout expliquer en Me précisant que tu avais son autorisation de dormir ici. Et Je tenais en personne à venir te féliciter pour ta dernière performance en gang-bang, Ma belle pute. Alors garde les yeux fermés pour le moment et savoure cette douce récompense. Tu es même autorisée à jouir comme la grosse salope que tu es, mais uniquement quand tu narriveras plus à te retenir. Je veux donc que tu te retiennes le plus possible
et Je veux pouvoir aussi profiter de tes trois orifices qui Mappartiennent entièrement, Ma catin...
(A suivre
)
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