Ma Femme, Son Amant , Soirée Échangiste Chez Lui

Ma femme, son amant, soirée échangiste chez lui
Après une première rencontre avec N., il nous invita chez lui pour une soirée libertine. Il avait invité trois couples et deux hommes. Nous étions attendus pour 20h00. Elle avait encore entre ses jambes le souvenir des assauts de N. et elle se réjouissait de recommencer.
Elle s’habilla soigneusement, jupe noire, courte et sexy, bas résilles, une veste bleue boutonnée sur le devant sans rien dessous, qui laissait voir la moitié de ses seins et une cravate jaune et verte nouée négligemment et disparaissant entre les deux globes de sa jolie poitrine.
Je l’avais rasée et lui avais planté un rosebud dans son anus. Je l’avais fait se pencher en avant pour constater l’effet de cette pierre rouge qui couronnait son cul et la préparait à la sodomie qu’elle ne manquerait pas de recevoir.
Dans la voiture, je lui demandai de bien écarter les cuisses et de se laisser palper la chatte, ce qu’elle fit très volontiers, avançant toute seule les fesses au bord du siège pour être plus accessible. Je soupesais le rosebud et le tournais dans son boyau pour assouplir le muscle. Elle se laissait faire et écartait encore plus les jambes quand je passais mes doigts sur son sexe déjà bien humide.
Je lui dis qu’elle avait carte blanche pour la soirée et qu’elle pouvait aller au bout de ses envies et de ses jouissances. Elle en fut ravie.
Nous arrivâmes bientôt chez N.. Je garai la voiture le long du trottoir. Les autres participants semblaient être déjà arrivés. En longeant les maisons cossues de cette banlieue d’une ville alsacienne, je jetai un regard sur les fenêtres allumées, me demandant si ces gentils bourgeois se doutaient qu’un de leurs voisins accueillait des libertines pour les baiser comme des chiennes et organisait des soirées qui devenaient très vite orgiaques. Je pensai que les cris des femelles ainsi malmenées devaient bien s’entendre, surtout en été, quand les fenêtres étaient simplement basculées pour laisser s’échapper la chaleur des ruts.


Elle avait pris ma main et était comme toujours un peu tendue quand elle allait se donner à d’autres.
Nous empruntâmes le chemin des initiés et par une porte dérobée, nous nous trouvâmes bientôt dans la cuisine. Effectivement, tout le monde était là. N. nous présenta et nous présenta aussi sa nouvelle compagne et tout ce petit monde se mit à plaisanter et à papoter autour du bar américain sur lequel débouchait la porte de la cuisine vers le salon. Les bulles coulaient à flot et des petites choses délicieuses à grignoter étaient à disposition des convives. Le salon auquel on accédait par une marche qu’il fallait descendre était plongé dans la pénombre, éclairé seulement par quelques bougies orange. Des matelas étaient posés sur le sol entre les deux canapés en coin. Un lit armoire était ouvert dans la pièce attenante qui communiquait par un large porche avec le salon, tout de cuir noir. Peu importe la pièce où l’on se trouvait, on pouvait voir les deux endroits ainsi préparés.
Elle s’entretenait avec une convive, assise en face d’elle de l’autre côté du bar, lorsque N. se plaça derrière elle. J’étais debout juste à côté. Il l’entoura de ses bras au niveau de ses seins et les dessina sous la veste bleue. Il les soupesait doucement dans ses mains et les pressait légèrement. Il l’embrassa dans le cou et elle pencha la tête sur le côté pour qu’il puisse accéder librement à son cou et continuer sa caresse. Elle posa alors sa main sur la nuque de N. et lui caressa la tête. Entretemps, il avait passé une de ses mains entre leurs deux corps et il touchait ses fesses. Il glissa sous la robe et je vis sur son visage que ses doigts sentirent qu’elle n’avait pas de culotte. Il découvrit presque immédiatement le rosebud et ne put retenir une petite exclamation de surprise. Il annonça aux autres qu’elle était empalée sur son jouet. La main qui venait de toucher le rosebud passa devant, tout en restant sous la jupette noire et il dut lui palper la moule, car elle poussa son bassin en avant en écartant un peu les jambes.
Il avait maintenant accès à sa vulve.
Il continua de lui lécher le cou et de lui mordiller le lobe de l’oreille. Les autres regardaient ce spectacle, fascinés par la rapidité avec laquelle N. s’était jeté sur sa proie qu’il devait manifestement avoir attendue. Et la proie était consentante au-delà du possible.
Sa caresse contre la vulve se fit plus précise et elle écarta encore plus les jambes, collant son dos contre le ventre de son amant, appuyant ses fesses contre le renflement que faisait le sexe de N. dans son pantalon de cuir noir.
Soudain, il lui murmura quelque chose à l’oreille que je ne pus entendre et ils passèrent derrière moi, sous les yeux amusés des autres libertins. Il la dirigea vers le patio de l’entrée et ouvrit une porte qui menait au sous-sol. Elle devant et lui derrière, sa main posée sur l’épaule droite de ma femme. Je la vis donc disparaître avec un amant vers des réjouissances plus que probables, me laissant seul avec les autres, sûre de son plaisir et totalement confiante en mon acceptation de la situation.
La compagne de N avait été entreprise par un des deux hommes et ils s’étaient allongés sur les matelas entre les canapés. Un autre couple les rejoignit bientôt sur les matelas avec l’autre homme et ils formèrent un trio très entreprenant. La femme était fine et musclée et son mari un grand gaillard très bien bâti. Très vite elle s’empala sur l’étalon et son mari lui enduisit l’anus de lubrifiant pour la prendre en sandwich. Elle renâcla tout d’abord, puis s’ouvrit et se laissa enfiler dans le cul pendant que son amant du moment lui envahissait la chatte. Elle l’embrassait voracement et encourageait les deux hommes avec des mots crus pendant qu’ils la baisaient copieusement. La compagne de N. suçait avidement son partenaire et je restais assis au bar, sirotant un jus de fruit, et faisant la conversation au couple qui était, pour le coup, resté seul. J’invitai la femme à danser. Elle accepta d’abord et, à peine eûmes-nous commencé à danser sur la musique très langoureuse que N.
avait programmé pour la soirée, qu’elle me repoussa des deux mains en faisant non de la tête. Au moins c’était clair. Dans les soirées que nous fréquentâmes ensuite chez N. , nous n’eûmes plus aucun contact avec ce couple.
Je brûlais de curiosité de voir ce qui se passait un étage plus bas. Je descendis au sous-sol en suivant la lumière rougeâtre qui venait d’une porte entrouverte. La pièce était éclairée par une lampe de chevet posée sur une petite table. Immédiatement à droite, contre le mur, un ordinateur portable était installé sur un bureau étroit. La webcam était allumée et dirigée sur le lit. Ils étaient là tous les deux dans une grande intimité. Elle était à quatre pattes et tenait la barre du lit en fer à deux mains, la bouche ouverte, les yeux fermés, gémissant de bonheur. N. était derrière elle et la prenait en levrette à grands coups de hanche, un pouce enfoncé dans son anus qu’elle ouvrait en grand en poussant son cul vers le haut. Il la besognait lentement et avec puissance, lui faisant remonter dans la gorge ses petits cris et ses rauques de plaisir.
Autour d’elle, des sextoys étaient éparpillés et avaient manifestement servi, car ils étaient luisants, de cyprine ou de lubrifiant. Elle tendait sa croupe et avait pris le rythme de son amant, allant à la rencontre de sa queue et tortillant ses fesses pour le sentir encore plus. Il retira son sexe de sa vulve, appuya sur son dos pour baisser la hauteur de ses trous et retirant son pouce de son anus, il le remplaça avec sa queue en s’enfonçant d’un coup entre les globes charnus. Elle pencha son buste encore plus en avant, caressant ses seins sur le drap et murmurant des oui, vas-y qui stimulèrent son étalon et l’encouragèrent à être plus rude. Il l’encula alors dans une chevauchée sauvage, la secouant dans tous les sens et avançant son bassin au maximum pour la pénétrer le plus profondément possible. Ils grognaient de contentement et elle avait ce qu’elle voulait, une longue pénétration, puissante, sans fin, où elle pouvait compter sur l’endurance de son partenaire pour aller chercher son plaisir très loin et longtemps.

Entretemps, la compagne de N. nous avait rejoint avec un des hommes. Elle était debout collée à lui et frottait ses fesses contre le ventre de ce mâle ravi de cette aubaine. Elle dit qu’elle voulait mater et avait ouvert largement ses cuisses pour que sa chatte soit accessible. Son amant la caressait sans vergogne, ouvrant son sexe et cherchant le clitoris avec un doigt. Je m’agenouillai devant elle et léchai sa vulve qui sentait l’urine fraîche. Elle regardait, fascinée par le spectacle de cette blonde échevelée qui se faisait sauter sous ses yeux par son compagnon et semblait y prendre un plaisir extrême. N. arrêta de plonger dans son cul et la retourna. Puis il ôta le préservatif et guida la bouche de son amante vers sa queue. Elle le suça avidement et le prit bien au fond de sa gorge, léchant ce dard qui venait de lui labourer l’entrecuisse et massant doucement ses grosses couilles dans sa petite main. Elle malaxait avec un plaisir évident et suçotait le gros gland, l’entourant et le pinçant doucement de ses lèvres fermées et savourant à l’avance l’aiguillon qui ne tarderait pas à la pénétrer à nouveau. La compagne de N. n’était pas restée inactive et a vite dirigé la queue de son amant vers sa fente et il la prenait de derrière, debout contre elle, pendant qu’elle se caressait les seins en jouissant du spectacle de la femme suçant son homme à elle.
Je ne pouvais pas me défaire non plus de ce spectacle et m’approchai du lit pour caresser le fessier tendu et offert de ma femme. Elle tourna la tête, enregistra ma présence et revint à son occupation, ne manifestant pas de plaisir particulier à sentir mes doigts fouiller son humidité pour tester le degré de son plaisir. N. lui releva la tête, l’embrassa longuement sur la bouche et leurs langues jouèrent l’une de l’autre. Puis elle se coucha sur le dos, ouvrit ses cuisses en grand et l’attira sur elle pour qu’il la baise encore. L’infatigable étalon ne demandait pas mieux et il s’allongea de tout son corps sur ma femme.
Tous les autres libertins venaient voir où ils en étaient et tous repartaient vers le haut pour s’adonner à leurs ébats. La compagne de N. finit aussi par partir, la main de son amant entre les jambes qu’elle serrait en montant les marches de l’escalier une à une pendant qu’il la palpait sur son con gras et rebondi.
N. et ma femme étaient maintenant près de l’orgasme et il se mit soudain à souffler fortement pendant qu’elle levait ses jambes très haut pour qu’il aille au plus profond de son con, gémissant et l’encourageant par des mots qui le firent bientôt jouir. Elle eut également un orgasme violent et ils retombèrent pantois l’un à côté de l’autre, comblés et momentanément épuisés. Ils échangèrent quelques tendresses et nous remontâmes ensemble dans le salon où les autres s’en donnaient à cœur joie.
Elle avait eu son compte, mais, après une coupe de champagne, elle goûta encore la queue de l’homme qui avait entrepris la compagne de M. et se laissa encore prendre, avec moins de plaisir certes, mais contente de sentir sa moule remplie par une fort belle bite, et elle se laissa aller à son désir d’être une vraie chienne baisée par tous ses trous.
La soirée s’acheva pour nous et nous quittâmes bientôt les lieux pour rentrer vers un repos bien mérité et pour un ultime coït. Elle ne tarissait pas d’éloge sur N. et son endurance et s’avoua rassasiée de sexe, repus de plaisir et prête à recommencer. N. ne tarda d’ailleurs pas à nous réinviter.

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