J'Ai Ouvert Les Yeux... La Suite

Le soir à la maison Antoine ne m’a pas reconnue tout de suite, transformée physiquement et mentalement.

- C’est toi Mariette ? D’où sors-tu ainsi grimée ?
- Aujourd’hui, je suis allée à l’hyper marché et je me suis acheté du maquillage, je ne te plais pas ?
- On dirait une pute !
- C’est ce que je suis devenue mon cher, je me suis faite ramonée la moule par Yvan un super mâle
- Arrête de parler comme ça, tu ne sais pas ce que tu dis, tu es ivre ?
- Et ça ??? C’est quoi ??

J’ai relevé ma jupe, j’ai gardé sur moi mon string neuf amidonné de foutre séché

- Vient toucher et sentir ma chatte si tu ne me crois pas ?

Tremblant des pieds a la tête, il avance une main entre mes cuisses, j’écarte ma culotte pour lui montrer l’état de ma chatte

- Va-y enfonce un ou deux doigts y’a de la place maintenant que je me suis faite bourriquée par un véritable âne
- Salope, tu as fait ça ? Qui c’est cet Yvan ?
- Ta va faire sa connaissance ce soir, car je le refais ici même devant toi, toutes ces années tu m’as menti sur le plaisir que pouvait espérer une femme avec ta petite biroute, mon amant va arriver d’une minute à l’autre, je vais me préparer et je te conseille de ne pas te défiler

Robe courte et mini slip c’est ainsi que j’attends mon ‘mec’ qui arrive à l’heure trop heureux de la bonne aubaine

- Alors c’est lui le mari à la p’tite bitte ?
- Qui êtes-vous pour me parler ainsi ?
- Je suis Yvan celui qui va baiser ta femme, mais avant montre moi ta pine que je vérifie si ta femme ne m’a pas mentis
- Allez Antoine obéis avant qu’il ne se fâche, ensuite, tu me déshabilleras pour m’offrir à mon amant
- Houlalala ! C’est pire qu’a quoi je m’attendais ! Regarde la mienne, même quand je ne bande pas elle fait le triple de la tienne mon pauvre vieux !
- Antoine, demande à monsieur s’il veut bien me baiser, dépêche, toi sinon je repars illico avec lui
- …….

Monsieur Yvan ? Voulez-vous baiser ma femme devant moi avec votre grosse queue ? Regardez sa poitrine et ses cuisses, elle est belle n’est-ce pas ? Je lui retire sa culotte ? Elle mouille pour vous, avec moi Mariette n’a jamais réagi comme ça
- Parce que tu n’as jamais été capable de la baiser comme je vais le faire ! Mais avant je vais lui bouffer la mouniche chose que tu ne lui as jamais fait, assied-toi sur cette chaise et admire le travail

Posée sur le coin de la table cuisses ouvertes Yvan s’approche entièrement à poil, Antoine regarde cette verge énorme qui se balance de droite à gauche, je me laisse tomber en arrière afin qu’il puisse fourrer sa langue profondément dans ma vulve trempée, il me lape bruyamment, je réponds en geignant, mon mari se lève pour voir de plus prés comment il s’y prend, mon clitoris est aspiré, des doigts pénètrent vigoureusement mon vagin, je jouis en hurlant si fort qu’Antoine prend peur

- Vous êtes fou ? Lâchez- là, vous lui faites mal !
- C’est le mal que tu aurais dû lui faire depuis des années, maintenant elle va me sucer le poireau et avaler mon foutre
- Mais ce n’est pas sain !
- C’est bon pour le teint ! Huuuummmm ouuuuuiiiiii suces moi salope !
- Soyez poli ma femme n’est pas une salope !
- Comment appelles-tu une nana qui offre son cul à un inconnu dans un parking ? Et puis ta gueule a la fin ! … hoooo je vais décharger ….haaaaaaaaaaaaaaaaa

Avec application, j’avale la purée de cet homme jusqu’à la dernière goutte et fixant Antoine dans les yeux, je me pourlèche les lèvres

- Tu veux m’embrasser chéri ?
- N’y pense même pas
- Alors Yvan va me bourrer la moule
- Finalement, c’est vrai, tu es une grosse salope !
- Tu n’as qu’à t’en prendre à toi ? Regarde de bien prés, tu vas voir ma chatte absorber sa grosse bitte
- En même temps, je vais préparer le cul de votre femme au cas où...
- Vous n’allez quand même pas la sodomiser ?
- Je vais me gêner !! Partout ou il y a un pucelage à prendre Yvan est là
- Vous n’êtes qu’un porc, finissons en, baisez-là

Yvan plonge deux doigts dans mon vagin, mon mari à un début d’érection lorsqu’il entend les bruits mouillés, j’en rajoute en braillant comme une biche blessée

- Hhahhhaaaaajhaaaa baise-moi ! Baise- moi !!!!!
- Patience ma belle, laisse ton mari se repaitre de ce qu’il n’a jamais pus faire a ta moule
- J’avoue que je n’ai jamais pu la tripoter comme ça avec mes doigts courts
- P’tits doigts, p’tite bitte ! Regardez, je prends ma queue d’une main et avec l’autre je lui ouvre la vulve
- Laissez ! C’est moi qui vais écarter ses lèvres, enfoncez-lui votre trique comme elle le désire je suis résigné, faites là hurler de joie, je vais me masturber, ensuite c’est juré je lui nettoierais le vagin avec ma langue
- À la bonne heure ! Regardez mon gland repousser ses petites lèvres …. Ça force... haaaaa quel pied ! Cette salope contracte ses muscles sur ma hampe pour me faire décharger plus vite
- Défoncez là
- Je lui mets jusqu’aux couilles, j’étire son vagin autant en largeur qu’en profondeur, elle est vachement bonne votre rombière
- Je suis heureux qu’elle vous plaise

Je ne reviens pas de la volte-face de mon mari, il semble prêt à accepter cet homme en tant qu’amant officiel de sa femme, je me projette en avant sans aucune pudeur à la rencontre de cette bitte qui me fait tant de bien, Yvan à du mal à me tenir dans son angle de tir, aussi, il se contente de se maintenir entre mes cuisses, en évitant que sa queue soit repoussée hors de ma moule en furie, Antoine n’en croit pas ses yeux, il se masturbe avec deux doigts en attendant visiblement que ma chatte se remplisse de foutre
Dans un effort surhumain Yvan me colle à lui, sa queue projette violemment le sperme sur mes muqueuses déclenchant une hystérie en moi, je braille, je pisse, je jouis ….

- Vite ! Retirez-vous Yvan je veux déguster le sperme encore chaud qui sort de son ventre, si vous voulez bien nous laissez seuls maintenant, mais revenez demain pour la sodomie …..

Antoine a dégusté avec application le coulis de nos jus mêlés, je lui maintiens la bouche sur ma fente, pour la première fois de notre union, il m’a fait jouir avec sa langue, il a hurlé de joie tandis que sa queue évacue quelques gouttes de sperme