La Maison Du Bonheur (6)

Les deux jeunes se lèvent et montent dans leur chambre. Nous les laissons partir sachant que dans peu de temps nous aussi seront en pleine action. Je regrette un peu de ne pas les suivre. J'aurais bien aimé profiter de leur cul mais je me dis que ce n'est que partie remise.

— Et avec Kristina, vous êtes restée en couple ou bien...

Emilie semblait obsédée par les histoires de Svetlana. Elle en voulait toujours plus.

— Ecoute ma chérie, promis je te raconterais toute ma vie sexuelle. Mais pour le moment je préfères ajouter des épisode plutôt que raconter les anciens.

Je ne pouvais qu'approuver. Je sortis mon sexe et demandais aux filles de venir me sucer. Emilie se pencha sur moi, me prit dans sa bouche mais Svetlana intervint. Elle l'attrapa par le bras. La tira vers elle et lui roula une pelle bien baveuse. Elle me regarda. Regarda ma bite dressée.


— C'est certain ça fait envie. Mais tout de suite je veux de la chatte. Si j'avais une culotte elle serait trempée. Avant que je m'occupe de toi avec Emilie on va se bouffer. Libre a toi de te branler mais tu as intérêt a bander quand je serais prête pour toi.

Cette fille était une bombe. Non seulement physiquement. Mais pour tout le reste. Emilie et elle s'embrassèrent , se caressèrent. Le peu de vêtement qu'elles portaient glissa sur le sol ou vola au travers de la pièce. Installé dans un fauteuil comme la veille au soir je profitais du spectacle.
Assises en face de moi, côte à côte mes deux belles se masturbais mutuellement. Cuisses écartés chacune jouait avec le minou de l'autre. Elles échangeaient de temps en temps un baiser.
La main d'Emilie quitta la sexe de Svetlana. Elle remonta doucement en caressant son ventre, ses seins, glissa sur ses lèvres puis brusquement poussa le visage de Svetlana vers son sexe luisant.

— Bouffe moi, suce moi, lèche moi, fait moi jouir avec ta bouche, hurla-t-elle.

Svetlana s'exécuta. Emilie était déchainée. Elle poussait des cris a chaque coup de langue de son amante. Elle me regarda droit dans les yeux alors que je me branlais en les regardant.

— Lâche ta bite et vient enculer cette salope.

Svetlana se tourna vers moi. Emilie lui prit le visage entre ses mains et replaça sa bouche sur sa chatte.

— Toi tu bouges pas de là et tu te laisse faire.

Je me plaçais derrière Svetlana, écartait ses fesses avec ma queue bien dure et me glissais dans son sexe chaud et humide. Même si j'avais envie de son cul, je ne voulais pas la prendre comme ça.

— Vous êtes beau mes amours. Je vous adore. Je suis votre petite pute. Baisez moi. Faites moi jouir. Tu aimes la baiser devant moi. Ça t'excite de la voir me bouffer.
Emilie n'était plus qu'un flot de parole. De mots crus. Elle dira après qu'elle éjaculais par la bouche. Que tout le sexe dans cette maison a ce moment là lui avait imprégné le corps et qu'elle ne contrôlait pas ses paroles.
Svetlana se tourna vers moi et avant qu'Emilie intervienne me demanda de l'enculer. Je quittais sa chatte. Ma bite bien lubrifiée par son jus. Elle trouva son chemin vers son petit trou sans problème. J'y entrais d'un coup et lui limais le cul pendant qu'elle faisait jouir Emilie.

— Fistes moi. Fistes moi salope.

De plus en plus chaude Emilie ouvrait grand son sexe de ses deux mains. Svetlana lubrifia ses doigts de sa salive et avec méthode fit entrer son poing dans la chatte d'Emilie. Elle la baisa de son poing. Provoquant une série d'orgasmes bruyant. Et humide. Les deux filles hurlèrent de plaisir et répandirent leur jus qui sorti en jet puissant de leur sexe. Le salon était inondé. J'ajoutais ma part en jouissant sur le fesses de Svetlana.

Les deux garçons regardaient le spectacle en souriant. Les cris des filles les avaient fait descendre. Ils vinrent nous rejoindre. Erwann embrassa sa soeur sur le front. La félicitant pour sa performance. Elle était rouge, essoufflées, dévastée de plaisir. Elle regarda son frère sucer son copain, avaler le foutre et se branler pour envoyer un jet de sperme sur le ventre de son amant. Elle se tourna vers moi

— Il suce bien mon frère, tu ne trouves, me dit-elle.
— Il faudrait que j'essaye, lui repondis-je.
— Tu vas l'essayer. Tu pourras même comparer avec moi. On va te sucer ensemble. Et tu vas nous baiser tous les deux.