Call Girl, Suite

Nous nous étions entendus : sa femme vient avec lui demain. Cette fois mes honoraires sont doublés. Il en est d’accord. Nous nous retrouvons toujours au même bistro sur la place de la Comédie. Je le reconnais vaguement : j’ai en mémoire un homme aux cheveux gris mais nu. Là il est habillé avec une femme d’une trentaine d’années un peu plus que moi. Elle me plait déjà. Ce ne sera que ma deuxième fille. J’espère ne pas la décevoir.
Cette fois pas de baise en vitesse : nous allons au restaurant avant. Alors, là, restaurant de classe, le plus réputé de la ville. Je n’ai pas droit, pas plus que sa femme à un menu normal : aucun prix pour nous. Repas fabuleux. Pour finir, le vin plus vieux que le champagne : blanquette de Limoux.
Dans le taxi qui nous mène à l’hôtel, il est entre les deux femmes. Il reçoit des baisers de nous deux. Même la chauffeuse du taxi nous regardent l’air envieux.
Dans la chambre, il ne bouge pas : nous nous arrangeons les deux femmes. Elle commence à me chercher dès l’entrée. C’est elle qui en me déshabillant m’embrasse sur la bouche. J’aime. Nous sommes pratiquement enlacées quand enfin il vient nous voir. Elle ne le veut pas encore. A nous les filles de commencer : elle est là pour ça, pas pour sa queue. Sa main passe sur ma chatte, elle s’y incruste. Je me laisse faire avec plaisir : je mouille. Elle est garce en me caressant ainsi sans que je réponde. C’est bon. Je me laisse faire. Elle se met derrière moi, je sens ses seins sur mon dos, mes fesses contre son bas ventre. Et ses mains, ah, ses mains qui passe devant, sur mes seins, encore, puis sur le ventre. Enfin elle arrive sur la figue. Deux doigts suffisent pour la suite. Ils caressent en tournant mon clitoris. Mes jambes ne suivent pas, je vais tomber. Elle me retient, je suis contre elle abandonnée.
Et lui qui nous regarde en se mettant lentement nu. Il bande en nous voyant. Mais il nous laisse faire. Ce n’est que pour sa femme qu’il est là avec moi.

Je ne sais comment j’arrive à passer une main derrière moi. Je la frôle un peu. Je ne peux rien lui faire à mon grand regret. J’aimerais me coucher avec elle.
Elle se met accroupie, sa bouche près de ma raie. Elle l’écarte, je sens sa langue venir chercher mon petit trou. Elle va me lécher le derrière. Hier je l’ai donné à son mari, elle le veut aussi. Qu’elle le prenne, j‘aime ça. Elle change sa main de place en venant toujours sur la chatte, en passant par derrière. Mais sa langue n’oublie pas son but. Je la sens bien maintenant. Je la veux sur mon cul. Elle lèche doucement, elle s’enfonce en moi : je jouis.
Lui est couché sur le dos, il attend tranquillement. C’est pour ça qu’elle me laisse un instant pour aller s’assoir sur lui, la queue dans son con, sans doute. Elle m’attire vers elle, je dois écarter les cuisses. Je me donne à sa langue.
J’ai déjà été léchée par une fille, jamais comme elle le fait. C’est de la catégorie supérieure, sur surfin. Je crois que je suis en arc de cercle, le ventre contre elle, le dos plié, la tête en arrière. Je prends un plaisir monstrueux. Dire que je me fais payer pour ça. Elle jouit autour de la queue de son mari, je vois du sperme sortir de son étui à bite. Il lui faut un final digne.
Nous nous allongeons en 69. Elle est dessous. Je mène cette danse entre filles seules. Je sens ses seins, comme elle doit sentir les miens sur son ventre. Et sa chatte encore garnie de semence d’homme. Un coup à dégouter beaucoup de femmes, pas moi. Ma langue commence par le bas, par le périnée : je lèche en montant. Son vagin est plein de semence. Je la déguste avec sa cyprine. C’est bon les deux mélangés. Elle me guide en tenant la tête. Le clitoris est bandé, elle a encore envie. Je la fais jouir avec ma bouche et un puis deux doigts dans le petit trou. Elle me rend la même chose heureusement.
Et lui qui recommence à bander. Sans nous quitter, avec sa femme nous lui prenons la bite. Il bande bien. Il se relève, vient sur nous.
Je le sens derrière moi. Il me caresse les fesses. Je sais ce qu’il voudrait. Placée comme elle est, c ‘est sa femme qui le guide vers mon petit trou. Elle garde sa langue sur mon con. Et la bite du mari est sur le cul. Je vais avoir les deux cotés utilisés. Je ne me dérobe pas. Je sens la queue sur le cul. Il attend un peu, comme pour m’impatienter. Enfin, il me libère. Il entre doucement, trop doucement. C’est bon, allié à la langue de son épouse.
Cette bonne épouse tient à ce que son mari soit comblé. Elle passe son autre main autour de ma cuisse, plonge vers le cul de son compagnon. Elle y met aussi des doigts, elle l’encule comme il doit lui faire. Et lui de gémir comme une fille que l’on fait jouir plusieurs fois.

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