La Femme De Ménage À Mon Boulot (1)
Je mappelle Eric, jai 26 ans et je travaille dans une petite entreprise dune cinquantaine de personnes. Il y a une quarantaine de personnes qui travaillent à la production et nous sommes une dizaine dans les bureaux. Je fais partie de ces quelques gens de bureaux car je travaille pour le service commercial. Le patron veut que lon puisse répondre à tout moment aux demandes des clients, il a donc instauré des horaires décalés pour la partie relation clients. Jai donc un collègue qui commence de bonne heure le matin alors que de mon côté je commence tard mais par conséquent je finis tard (aux alentours de 20h). Comme tout travail en horaire décalé il y a des avantages et des inconvénients mais je ne me plains pas car le salaire est correct. Et puis jaime bien cette ambiance le soir. Le patron est parti donc les gens sont plus détendus et on avance vite dans son travail. Latmosphère est cool et on peut prendre le temps de discuter avec les rares personnes encore présentes.
Le soir cest aussi lheure pour Valérie, la femme de ménage, de faire son boulot (parfois ingrat au vu de toute la poussière quon ramène de latelier jusque sur la moquette des bureaux). Valérie est super sympa et pas trop mal foutue. Une jolie brune dune cinquantaine dannées avec des courbes quon devine bien entretenues. Avec ses vêtements de travail ce nest pas toujours très sexy mais il y a un petit truc chez elle qui me fait fantasmer. Ah ! Vous me direz : le fantasme de la femme de ménage et en plus cougar
ouais, cest du déjà-vu. Et bien ça allait devenir du vécu mais je ne le savais pas encore.
Comme je disais, Valérie est super sympa, toujours souriante et elle a toujours quelquechose à raconter. Au début cétait un simple bonjour entre nous mais petit à petit nous en sommes venus à discuter un peu. Nous avions des points communs et on se trouvait daccords sur tout un tas de choses. Mes parents venaient de divorcer et elle avait vécu un divorce difficile quelques années plus tôt alors ce sujet revenait souvent entre nous.
Nous prenions le café ensemble dans mon bureau, elle laissait son manteau sur ma chaise quand elle faisait les vitres à lextérieur, elle venait me demander de laide pour des bricoles
Je passe au réfectoire pour me préparer un café et Valérie était là en train de passer le balai. Visiblement elle souffrait dune épaule.
« Ca va ? » lui dis-je.
« Moyen. Je ne sais pas ce que jai mais mon épaule me fait mal. »
« Peut-être un faux mouvement. »
« Sans doute. Ca devrait aller mieux avec un massage et une bonne nuit de sommeil. »
« Tu veux que je te masse ? »
« Tu sais faire ça ? »
« Je ny connais pas grand-chose mais je peux essayer. On verra bien si ça te soulage. »
Elle me tourne le dos et je pose mes mains sur ses épaules. Je suis tout contre elle et je sens son parfum qui vient me chatouiller les narines. Je commence à masser doucement, elle me dit le point exact qui la gêne et jinsiste à cet endroit.
« Tu ten sors pas trop mal. En plus tu as les mains chaudes mais il faut arrêter car quelquun pourrait nous voir. »
« On ne fait rien de mal. »
« Oui mais tu sais bien que les rumeurs vont très vite. »
Elle séchappe et sort du réfectoire en me laissant en plan. Je me rends compte que jai un début dérection. Laurait-elle sentie ? Est-ce que quelquechose serait en train de naître entre nous deux ? Elle est carrément plus âgée que moi, jai comme une pulsion pour tenter ma chance, tant pis pour les conséquences.
Trois jours plus tard elle arrive dans mon bureau. Je ne suis pas débordé de boulot alors on discute. Je prends des nouvelles de son épaule et elle me répond que ça ne va pas beaucoup mieux. Mon petit massage lui a fait du bien mais ce nétait pas suffisant. Cest elle qui se jette à leau :
« Tu veux quon se voit après le boulot ? Comme ça tu pourrais me masser plus longuement.
« Eh
bien oui, si tu veux. »
« Daccord, alors on se retrouve sur le parking du supermarché tout à lheure. »
Ce nest pas très romantique comme rendez-vous mais cest seulement pour faire un massage. Je mimagine bien des choses mais je ne veux pas me précipiter avant dêtre sûr de ce que veut Valérie. Je me fais peut-être des idées alors je ne voudrais pas passer pour un guignol en faisant un geste déplacé.
Je repère sa voiture garée au bout du parking, il est tard et il y a peu de voiture. Elle me fait signe de la rejoindre, je monte côté passager. Latmosphère est tendue et jai limpression dêtre un ado qui va voir une fille pour la première fois. Nous discutons un peu
« Ca va ? Ca ne va pas te faire rentrer trop tard chez toi ? Tu as les mains chaudes, cest très agréable. »
« Je nai pas dheure pour rentrer chez moi, je ne suis pas à 1h près. Allez montres moi ce muscle douloureux.»
Elle me tourne le dos et je pose mes mains sur ses épaules. Jai à peine commencé quelle enlève un bouton de son chemisier et quelle me demande de masser directement sur sa peau. Je masse lentement son cou et je me penche pour voir la naissance de ses seins. Je dirige mes mains vers ses épaules, je fais semblant dêtre gêné par son soutien-gorge dont je fais glisser les bretelles sur ses bras. Elle ne bronche pas et le soutien-gorge ainsi détaché est moins tendu me permet presque de voir ses tétons. Je tente de descendre vers ses seins quand :
« A mon tour de te masser maintenant. »
Je suis un peu surpris et déçu. Jai dû aller trop loin. Elle ne ma pas mis dehors alors je crois avoir encore un petit espoir. Jenlève ma veste, je me tourne et Valérie me masse. Aïe, elle sy prend très mal. Cen est presque douloureux au point que jécourte assez vite cette séance de .
Nous sommes assis côte-à-côte et nous discutons encore de tout et de rien. Elle pose sa main sur mon genou et elle remonte un peu vers ma cuisse. Je prends ça pour un signal, je la regarde dans les yeux et je me penche vers elle.
« Euh
ça ne te gêne pas ? »
« Quoi ? »
« La différence dâge. »
Pour toute réponse je lembrasse à nouveau dun long baiser langoureux. Jen profite pour caresser sa cuisse et peloter ses seins. Je détache un autre bouton de son chemisier mais je me prends une tape sur la main.
« Doucement. Pas le premier soir. On verra ça une autre fois. A demain. » et elle me met gentiment dehors.
Je ne me souviens plus comment je suis rentré chez moi tellement mon cur battait fort dans ma poitrine. Cette fois pas de doute possible, nous irons plus loin tous les deux. Cest nouveau pour moi daborder une femme beaucoup plus âgée que moi. Je me sens comme un petit garçon devant un professeur ; intimidé mais désireux davancer et dapprendre.
Le lendemain jattends le passage de Valérie toute la journée. Enfin la voilà alors quil est presque 18h. Elle entre dans mon bureau avec un grand sourire, elle se dirige droit vers moi et pose un baiser rapide sur mes lèvres. « On se retrouve tout à lheure comme hier » dit-elle en séchappant. Que ces dernières heures furent longues ! Je me précipite sur le parking pour la rejoindre. Je monte dans sa voiture et nous nous embrassons longuement.
« Allons chez moi ça sera plus confortable que ma voiture. »
Mon cur palpite, jai déjà une bonne idée de ce qui va se passer : je vais faire lamour avec une femme mûre. Je ne connais pas son âge exactement mais je men fiche car je vais vivre un de mes fantasmes.
Nous voilà chez elle, on sassoit sur le canapé pour prendre un café. On dirait quelle hésite à aller plus loin alors je caresse sa cuisse et je remonte jusquà son entrejambe. Je la renverse sur le canapé et je déboutonne son pantalon.
« Allons dans la chambre » dit-elle.
Je la suis jusquà son lit, elle laisse la lumière éteinte car elle na plus un corps de jeune femme.
Je ne suis pas très fier de ma performance alors je méclipse assez vite. Un vague « aurevoir » et je rentre chez moi pas très satisfait. Peut-être que jattendais trop de cette rencontre, je me suis fait un film ; tout ça pour finir un peu comme un pétard mouillé. Cest le comble : Valérie avec sa bonne cinquantaine dannées a assuré et moi le jeune homme fougueux et plein dardeur je nai pas été à la hauteur.
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