Collection Vengeance. Je Sacrifie Ma Vertu Pour La Dette De Mon Mari (4/5)
Marie, je te prends pour épouse dans le bon et le mauvais jusquà ce que la mort nous sépare.
Cest les mots que Jean prononce le jour de nos noces.
Mais je bande, fait quelque chose !
Ce cri de désespoir, je le pousse lorsque Jean le vicomte de la Bal veut me prendre, au premier jour de mes noces.
Jignore les usages dans la bourgeoisie ancienne, moi fille dun ouvrier spécialisé de la banlieue parisienne qui plus est, vendeur de lhuma tous les dimanches matin.
Suis-je déjà vicomtesse ou dois-je attendre la disparition de ma salope de belle-mère pour avoir droit à ce titre.
Je dis « salope » sans aucune retenue depuis tout à lheure ou le Duc notre voisin, monstre suite à de graves brulures, mais homme dexception depuis quil ma déflorée de partout.
La pute de vicomtesse et son putain de fils venant taper à la porte de mon intimité ma vendu au duc, comme le faisaient les nobles sur leur terre lorsque lune de leurs jeunes servantes convolait avec un autre serviteur.
Je veux bien te soulager en te masturbant, cest le maxi que je peux faire pendant plusieurs jours.
Je saurai être patient, jignorais que le duc était si bien monté, mais tu as eu raison de te faire casser le cul pour 100 000 .
Vite fait bien fait, il éjacule sur les draps, jai limpression dépargner mon amant cocufiant le cocu en me refusant à lui.
Hélas, pendant combien de temps.
Lidée de me venger est profondément ancrée en moi, je me demande si je vais appeler papa pour lui expliquer la situation et ce que lon a fait subir à sa petite fille chérie.
Certes, un obstacle à cet appel au secours, mon père a enfilé ma belle-mère la vicomtesse dans les chiottes de la salle des fêtes de la commune ou la fête a eu lieu.
Sinon, le connaissant il est capable de débarquer au manoir et de tout casser avec une équipe de gros bras du service dordre de sa section agissant lors de manifestations.
Cest le lendemain que je reçois un appel sur mon portable, qui peut bien m'appeler en ce début daprès-midi alors que je suis nue sur mon lit, mon mari semblant sêtre absenté.
Mon regard se pose sur la table de nuit ou en toute confiance javais posé le chèque.
Il brille par son absence.
Le fumier, il maura tout fait, mais qui puis-je, je suis une faible femme.
Madame Marie venez me retrouver au fond de votre parc, prenez le chemin à gauche en sortant du manoir, vous arriverez à une fontaine, je vous y attendrais.
Jai vu votre mari et votre belle-mère partir en voiture, les connaissant, ils vont au casino.
Je me lève, je suis seule, mes 100 000 vont vite être englouties dans le puits sans fond que sont ces accros aux jeux.
La voix me dit quelque chose sans pouvoir y mettre un nom.
Je prends dans mon armoire de quoi me vêtir, jai amené mes effets, il y a une semaine avant mes noces.
Je trouve la fontaine facilement, je comprends quand je vois lhomme devant moi les fesses appuyées sur la fontaine.
Le mur entre la propriété du Duc et notre manoir est écroulé laissant voir une brèche facilement franchissable.
Arsène est celui qui ma convoqué, mais pourquoi !
Bonjour madame marie, vous devez être étonné de vous avoir demandé de venir me rencontrer.
Cest lair enjoué du duc ce matin quand je lui ai apporté son petit déjeuner qui ma convaincu de venir vous rencontrer.
Depuis son accident, cest la première fois que je le vois ayant repris goût à la vie.
Je vais être direct, je vais vous débarrasser de ces cafares.
Comment ça, que voulez-vous dire ?
Jétais un ami avec Léon, le vieux monsieur qui a tout perdu lorsque ces serpents se sont attaqués à lui.
Je moccupais du duc, mais de Léon aussi.
Du duc, depuis plusieurs générations, mon aïeul au moment de la révolution a caché son aïeul dans son propre château avant de tout lui resti lorsque les émeutes contre les nobles se sont calmées.
Jai un fils qui est en formation dans une école hôtelière en Bourgogne et qui viendra me rejoindre, pour prendre ma suite.
Un matin, jai vu des papiers dans la salle à manger, jai su quils avaient réussi à lui faire signer un viager.
Ils sont venus sinstaller dès sa mort dans les mois qui ont suivi.
Vous savez de quoi il est mort.
Dois-je le dire, le médecin a conclu à un décès par épuisement.
Jignore quel est votre niveau sur les pratiques sexuelles, celle qui se dit vicomtesse le pompait le plus souvent possible.
Ce sont des supputations, vous lavez vu !
Dans son dernier soupir, je voyais quil voulait parler, jai mis mon oreille près de sa bouche, il disait en boucle « oui, pompes moi vieille salope, oui pompes moi vieille salope »
Si cest exact, ça confirme ce que jai vu lorsquelle se faisait sauter lors de ma soirée de noces dans les toilettes de la salle des fêtes.
Jai un plan, vous allez recevoir une visite surprenante.
Ce dernier propos tenu, il passe le mur écroulé et disparaît de ma vue.
Cest dans la matinée du lendemain, que ma belle-mère vient me prévenir que des gendarmes demandent à me voir.
Javais entendu sonné, sans plus minquiéter, jétais en train de regarder mon compte sur Internet.
100 000 , plus le solde précédent, mon chèque a bien été encaissé, je me sens riche, même si jai promis à mon mari de lui rendre cette argent.
Je vais voir ce quils me veulent.
Bonjours madame, voulez-vous me suivre à la gendarmerie.
Pouvez-vous me dire ce que j'ai fait pour être interpellé ainsi, je veux un avocat ?
Vous laurez, cest la loi, mais nous avons simplement une question à vous poser.
Je vais avec ma femme.
Ce que nous pouvons vous dire, cest que nous avons reçu une lettre anonyme, vous auriez soutiré 100 000 à un vieillard en vous prostituant !
Suis les Marie, je moccupe de lavocat, soit sans crainte.
Je sens nettement le rétropédalage de ma belle-mère quand le gendarme parle des 100 000 .
Je vois quelle est au courant de largent soutiré à François pour crédibiliser loffrande de mon anus à mon amant.
Nous arrivons dans les locaux, une gendarmette est là semblant être la cheffe.
Est-il vrai quun homme vous a remis un chèque de 100 000 pour votre participation à une opération de prostitution ?
Je vais faire une demande de contrôle de votre compte en banque.
Je me sens piégée, rapidement ils vont savoir que jai soutiré cet argent à leur maire, mettant dans lembarras mon amant, mais qui est le seul à pouvoir me disculper.
Jattends lavocat envoyé par ma belle-mère pour vous répondre.
On me fait attendre sur un banc dans un couloir face au bureau de celle qui a commencé à me poser des questions.
Jentends le téléphone sonner et une effervescence autour de moi.
Ils partent tous, même leur chef, sans que jaie vu la queue du moindre avocat.
Que fait ma belle-mère ?
Longue attente avant son retour, seule.
Madame, suivez-moi, il est arrivé un gros problème pour votre mari et sa mère !
Je suis anxieuse, pas pour ma belle-mère et mon mari, mais tout va trop vite pour moi.
Madame, soyez forte, votre mari et sa maman se sont suicidés, ils se sont pendus au lustre de la salle à manger.
Ils ont laissé une lettre pour expliquer leur geste, les services spécialisés sont sur place.
Nous montons les marches, François est là et depuis la porte dentrée grâce à une glace, je vois deux corps allongés sous des toiles.
Passons toute la procédure où je suis hors de cause, jétais à la gendarmerie lorsquils se sont pendus.
Les 100 000 , François les justifie par lachat de meubles que je lui aurais proposé au soir de mes noces dans la salle des fêtes pour aider mon mari dans une sinécure où il se trouvait.
Je vis dans lappartement au-dessus de celui de François.
Il a fait la proposition lorsque jai dit que jétais dans lincapacité de vivre dans la même maison que celui que je venais dépouser et qui était mort auprès de sa mère.
Dans ce village, qui pour le contredire, je sais maintenant que le Duc est adulé de tous.
Bien sûr, je sais que la disparition de ceux qui mont contraint à coucher avec lui doit être loin dêtre naturelle, mais tout semble parfait à la justice qui classe la pendaison en suicide.
Je redeviens une femme libre certainement bien aidé par Arsène qui a réalisé le crime parfait, aucune trace dADN suspect autres que ceux de la vieille pute et son enfoiré de fils...
Comments:
No comments!
Please sign up or log in to post a comment!