Désirs Partagés
Comme chaque matin, jouvris le magasin à sept heures. Je faisais ma mise en place, du pain, des viennoiseries et des pâtisseries en guettant lheure. Depuis plusieurs semaines, un homme, la quarantaine venait chercher ses croissants et son pain. Il me plaisait beaucoup, ses yeux étaient coquins, son sourire ravageur, son visage avait un petit quelque chose dindescriptible qui faisait chavirer mon cur. Sous son tee-shirt, je devinais un torse musclé, comme je les adore. Le col en V me laissait apercevoir sa toison, rien quen fermant les yeux, je pouvais deviner le reste. Il avait aussi une chaine en or autour du cou, au bout de laquelle était accrochée une très jolie croix.
La sonnette retentit, je levais la tête, cest lui qui entrait. Oh quil me plaisait ! Et de plus en plus à chaque fois. Jaurais voulu le lui dire, faire le premier pas, mais comment ? Non, je ne pouvais pas, pas aujourdhui, pas maintenant.
Il me passa sa commande, sa voix était sensuelle, je savais ce quil prenait évidement, mais je naurais pas eu le plaisir de lentendre ME parler. En le servant, je lui fis de très beaux sourires, ne sachant que lui dire. Au moment de lui rendre la monnaie, nos mains se sont effleurées, nos regards se sont accrochés. Je ne sais pas combien de temps cela dura, mais je me sentais bien, noyée dans ses yeux, il était peut-être en train de lire en moi, et de voir toutes les choses qui me traversaient lesprit à son sujet. Il me tenait toujours le bout des doigts, mon cur battait très fort. Un client entra, et nous reprîmes nos esprits, il saisit sa monnaie dans ma main, me sourit avant de partir. Je me sentis vide dun coup car il me faudra attendre jusquau lendemain pour le revoir. Que le temps allait être long
Vers 18h45, je faisais le ménage du magasin, avant la fermeture complète quinze minutes plus tard, mon patron était déjà parti, comme très souvent, il avait une grande confiance en moi, et me laissait la responsabilité de la fermeture.
Jentendis la sonnette, surprise ! Mon bel inconnu était là. En un éclair, il mavait rejoint derrière le comptoir, jétais planté-là ne sachant que dire, ni que faire. Il me plaqua contre le miroir et membrassa fougueusement, ma tête tournait, jétais comme ivre, mais lalcool ny était pour rien. Je lui rendis son baiser, je sentais ma cyprine coulée dans ma culotte. Après quelques instants, je me libérai de son étreinte, saisis les clés de la boutique, baissa les rideaux et éteignis les spots, seuls le néon de la vitrine à chocolat restait allumé. Une fois terminé, je ne savais plus si javais bien fait. Je ne le connaissais pas du tout, même son prénom métait inconnu.
Voyant mon hésitation à revenir vers lui, cest lui qui vint à moi. Jétais toujours côté clientèle, il se mit à genoux, glissa ses mains le long de mes jambes sous ma robe, caressa chaque centimètres de ma peau, il montait et descendait sa peau sur la mienne, je me sentais planer, ses gestes allaient me faire défaillir, pourtant, il navait pas encore touché mon intimité. Elles remontèrent jusquà mes fesses, quil empoigna, me fit tourner pour quelles soient face à lui et passa sa tête sous ma robe. Je sentais son souffle glisser sur mon épiderme, sur ma croupe, ses doigts se faisaient délicats, à la recherche de lieux inconnus, fasciné par ces nouveaux territoires à conquérir. Il insista sur mon fessier. Il y déposa des baisers, inspirait ma peau, comme pour simprégner de mon parfum. Il sortit sa tête, me fit tourner face à lui et me regarda, fou de désir, comme pour un signe dapprobation. Je lui souris, incapable de dire le moindre mot.
Ses mains reprirent le chemin de mon postérieur, il jouait avec lélastique de mon string, comme hésitant à le retirer, mais ce nétait pas du tout le cas. Il reprit position sous sa tente érotique, pour ne rien louper de ce quil allait faire. Il caressa délicatement la dentelle, quelques poils passaient à travers, ce qui accentuait mes sensations, il déposa des baisers à la frontière de mes cuisses et de ma culotte, soufflant aussi un air léger et brulant de désir.
Il effleura délicatement ma toison, puis ressortit sa main. Jétais déçue quil sarrête en si bon chemin, mon plaisir était pourtant grandissant. Il ne maurait pas fallu longtemps pour exploser de tout mon corps.
Mais il reprit ses attouchements sur le tissu ajouré, en descendant vers le clitoris, je sentais mon miel coulé, jétais vraiment très excité. Il toucha mon gland, un spasme me parcouru et descendit vers mon vagin. La dentelle de mon string nétant pas collé à ma peau, il put facilement glisser un doigt en dessous, titillant mes petites lèvres.
Oh ! Que cétait bon ! Puis dun seul coup, il laissa son index entrer dans mon tunnel intime. Rehaussé par mon coulis, les caresses étaient cent fois plus excitantes, je gémissais tant cétait bon. Je contractais mon vagin pour plus de sensations, il le faisait et venir, après quelques minutes il en entra un second, allant toujours plus profondément.
Au bout dun bon moment, il retira ses doigts, quil glissa en remontant de mes fesses vers mon dos, puis redescendit lentement, saisissant au passage, lélastique de ma culotte, quil me retirera à laide de ses dents. Ma liqueur damour collée à celui-ci, qui était rentré entre mes cuisses me fit tressauter, je navais jamais connu autant de plaisir en un seul un rapport. Il le glissa le long de mes gambettes, tout en savourant le contact de ma peau.
Arrivée à mes chevilles, il le lâcha pour me défaire mes chaussures me déposant délicatement chacun leur tour chaque pied au sol. Il se releva doucement, pris mon visage dans ses mains et membrassa d'une manière très passionnée, nos langues se mêlèrent, il mordillât mes lobes doreilles, introduisant sa langue dans le pavillon, me léchât le cou, respirant mon parfum.
Il relâcha à son étreinte, me fixa droit dans les yeux, me sourit, et me souleva. Mes jambes étaient autour de sa taille, il massit sur la caisse, installa mes jambes sur le repose sacs, prenant soin de les laisser écartées. Il s'agenouilla devant moi et enfonça sa langue dans ma touffe, cherchant l'endroit qui me faisait le plus vibrer. Il combinait langue et doigts. Quand lun chatouillait mon bouton de rose, l'autre pénétrait dans ma grotte enchantée. Soudain je senti mon plaisir monté, ses doigts dans mon vagin tournoyaient, sa langue excitait mon bouton par de petits coups rapides. Je me mis à crier le plaisir, je sursautais à la moindre de ses caresses tant j'étais survoltée.
Il me pris dans ses bras, membrassait et me caressait doucement le dos le temps de reprendre mes esprits. Quand je fus un peu remise de mes émotions, je me postai debout devant lui et lui défis sa ceinture, puis je déboutonnais son pantalon, qu'il ne m'aida à retirer. Il ne portait pas de sous-vêtements, je vis donc de suite son membre viril dressé vers moi, et sa toison de poils très noirs en garde du corps. Pendant ce temps il retira son sweat-shirt, je pu enfin voir le torse que je métais imaginé tant de fois, alors, mes mains parcoururent le corps nu de mon bel inconnu. Puis, je l'invitais à prendre ma place sur la caisse. Je le couvrais des caresses ultra délicates, à peine ma peau touchait la sienne, ou utilisant mes ongles comme stimulant. Jinsistais sur ses tétons qui se rétrécirent, et la partie centrale ressortie, de sorte que je puisse la saisir entre mes lèvres, et mes dents. Son corps sentait aussi bon que son cou, mon visage se frottait contre lui, je le découvrais. J'embrassais son torse nu, descendant doucement jusque son sexe que je baisais délicatement, du bas de la verge en remontant vers le gland. Son pénis était très dilaté, je n'imaginais déjà en train de me faire limer.
Dun coup, une idée me vint, jouvris la vitrine à pâtisseries, côté client et saisis un saint-honoré, plein de crème chantilly. Je tenais le gâteau d'une main, de l'autre son sexe, que je trempais dans la crème, puis léchais ma gâterie sucrée et recommença à de plus en plus gourmande. Il semblait apprécié le contact de la crème bien fraîche sur son pénis, mais pas que, ma bouche en était pour beaucoup. Puis laissant le gâteau de côté, enfin ce qu'il en restait, je saisis son sexe entre mes seins, le branlant doucement, mais pas très à laise comme cela, je pris son fruit dans ma bouche, sans aller plus loin, juste le bout. Ma langue tournais, ma cavité l'encerclait dans un mouvement de va et vient. Soudain, alors que je ne m'y attendais pas, et éjacula dans ma bouche. Sur le moment, je fus écuré, eu quelques hauts de cur, puis avalais tout de go, ça ne métais jamais arrivée, mais vite, je mhabituais a au goût de son sperme.
Il descendit de la caisse quelques minutes plus tard et ôta ma robe dans une pulsion de désirs intenses, encore plus forte que ce que l'on avait ressentis jusqu'à présent. Il me contourna et me fit pencher sur la caisse, la croupe en lair. Il frotta son sexe sur le mien et me pénétra violemment, ses coups de reins était puissants. à chaque pénétration, des petits cris sortaient du plus profond de moi. Son sexe me frottait dans mon tunnel secret, ses mains sur mes hanches, il me tenait fermement. Puis il relâcha son étreinte, me basculant plus doucement, ses mains remontèrent sur mon buste, jusqu à mes seins quil agrippa, les malaxant, pinçant mes tétons, il me faisait un peu mal, mais bizarrement, jaimais cela. Il remonta encore, caressant mes épaules délicatement puis le cou, passa ses mains dans mes cheveux. Il reprit ses mouvements plus agressif, me limant de plus en plus fort il empoignât mes cheveux pour me faire basculer la tête en arrière et membrassa fougueusement, je me mis à hurler de plaisir, ces gestes m'avait beaucoup excité et surprise à la fois. Lui aussi explosa son élixir en moi. Il continuait à bouger, en même temps.
Mais il ne comptait pas en rester là, mordonnant de ne pas bouger, il commença à me titiller lanus. Ma cyprine lui servait pour lubrifier mon trou du cul, je voyais ce quil faisait grâce aux miroirs qui couvraient les murs du magasin, il mouilla ses doigts en salivant dessus et me pénétra un doigt, je nétais pas très à laise avec la sodomie, inconsciemment je serais les fesses, mais la fesser quils leur mit, et la douleur mempêcha de me contracter. Je sentis un deuxième doigt violer mon goulot pour me dilater un peu plus. Quand s'il fut bien détendu cest son gourdin qui fit son entrée dans ma cave toute noire et si étroite.
Oh, oh, oh ! Je l'entendais gémir de plus en plus fort, serrais mes fesses, ses mains me caressaient la chatte, le clitoris. Une fois en moi, je commençais à me détendre, en fin de compte, je navais pas mal, je ressentais même du plaisir et même beaucoup, puisque quun troisième orgasme venait de me prendre, tandis que lui aussi venait encore de se décharger en moi. Il se retira de mon corps.
Je me retournais pour ramasser ma robe. Il ne fit un sourire, me caressa les cheveux, puis le visage et membrassa délicatement sur les lèvres.
- Merci, me dit-il.
Mais je ne sus que répondre, depuis son arrivés nous navions échangé aucun mot et là, je me retrouvais muette comme une carpe, juste capable de sourire.
Il se rhabilla et je le raccompagnais à la sortie de service, jetais un il dehors, personne, la voie était libre. Il séloigna sans même se retourner. Quant à moi, il fallait que je finisse de tout ranger et nettoyer avant de pouvoir à mon tour rentrer chez moi.
Le lendemain j'attendais avec impatience de le voir, mais il ne vint pas que, et je ne le revis jamais.
Quel dommage !
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