Premier Week End De Soumission De Marie La Suite 2

Cette fois ci c’est Monsieur Henri qui prend le téléphone.
- rebonjour. Ma soumise va bien et je ne pense pas qu’il soit utile que tu lui parles. Je l’ai mis en tenue de soubrette, un peu promenée et largement fouettée. Nous allons diner puis je l’emmènerai au lit pour l’enculer. Elle progresse vite. Soumise dis à ton cocu de mari que tout va bien. Et tendant le téléphone vers Marie mais sans le lacher : « parles ! »
- Tout va bien dit Marie d’une petite voix.
- je te la rendrai demain beaucoup plus soumise que lorsqu’elle est arrivée ce matin.
Allons, je te laisse. Passes une bonne soirée en pensant à ce que je vais lui faire. Branles toi un peu cela te soulagera... Tu t'es déjà branlé … C'est bien, alors continues dit Monsieur Henri en racrochant séchement...

Le dîner se passe en silence. Marie qui a regardé debout son Maître manger sent son excitation baisser fortement. Pleins de questions se bousculent dans sa tête. Elle se demande ce qu’elle fait là. Si le jeu ne va pas trop loin. Quand c’est à son tour de manger, elle a peu d’appétit. D’autant qu’elle a toujours ce gros plug dans l’anus qui la gène.

Le repas est vite expédié. Ils se dirigent vers la chambre mais Monsieur Henri qui a peut être compris ses doutes se montre plus doux. Il l’allonge sur le lit et lui lèche doucement la chatte. Puis elle le suce à nouveau à genoux au bord du lit. L’excitation est remontée. Monsieur Henri lui assène de petites tapes sur les fesses et la fait enfin mettre à plat ventre. Il lui retire son plug doucement et lui vaseline à nouveau l’anus puis la prépare avec le plug et ses doigts.

Il est maintenant entre ses jambes et Marie entend le bruit du préservatif que l’on déroule. Elle le sent qui prend appui d’une main à côté d’elle et elle devine le gros sexe de son Maître pèse sur son anus. Elle grimace, gémis dis « pas trop vite s’il vous plaît » mais déjà il a rentré un bon tiers et le reste suit inexorablement.

Elle s’agrippe aux couvertures et crie. Monsieur Henri s’arrête et recule un peu mais c’était pour reprendre son élan et rentrer d’un coup. Il ne bouge plus : « tu es serrée, c’est délicieux ».
- Allons maintenant je vais t’élargir
Il recule et rentre à nouveau d’un grand coup, puis un autre. Il va doucement au début mais progressivement il accélère. Marie tord les draps mais en même temps elle sent qu’elle s’ouvre progressivement. Monsieur Henri prend maintenant appui sur ses épaules et la défonce sans ménagement. Il rentre absolument toute sa bite maintenant. De temps en temps il s’allonge sur elle et lui écarte les fesses à deux mains pour la pénétrer plus profondément. Il la pilonne en reprenant appui sur son dos sans s'occuper du fait qu'il lui coupe ainsi la respiration. Alors que Marie sent monter son excitation. Monsieur Henri s’arrête net et pousse un grand cri. Il s’arrache d’elle brutalement et c'est elle qui crie à nouveau. Il tombe à côté d’elle essouflé et retire le préservatif. Sa queue et couverte de foutre surtout qu'il prend soin de bien vider le préservatif sur sa queue. Lui prenant alors la tête, il lui ordonnes de le nettoyer.

Marie est très exitée et met du temps à s’endormir mais la fatigue de cette longue journée a finalement raison de son excitation. Son maître la prend dans ses bras de manière possessive et c'est quasiment un des moments où elle éprouve le plus sa docilité et sa redition.

Le lendemain matin après une nuit agitée où réveillée à plusieurs reprises, elle s'est demandée où elle était, elle s’éveille et met quelque instant à réaliser où elle est mais Monsieur Henri qui la fixe et son énorme érection lui rappelle rapidement où elle est et surtout pourquoi.
- c’est bien, tu es réveillée ! Comme tu n’es peut être pas encore très en forme tu vas me satisfaire mais de cette manière …
Joignant le geste à la parole il enjambe son torse et lui présente son sexe
- Allons ouvres la bouche !
Marie s’exécute docilement en passant qu’un café serait quand même le bienvenu.
Monsieur Henri recommence à utiliser sa bouche comme la veille mais il sort de temps en temps et lui bats le visage en tenant son sexe par la base.
- Suces ! Lèches moi les couilles !
Il lui a mis un oreiller sous la tête et à nouveau quand l’éjaculation fuse, Marie ne peut pas se dérober et doit tout accepter au fond de sa bouche et en avaler la plus grande partie.

Merci pour tous vos commentaires. Si elle vous plait, continuez à réagir à mon histoire !!

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