Eve, Mon Amour

– Cadre dans une grande entreprise, je maîtrise mes horaires, en moyenne de 8 heures à 22 heures. Mis à par le PDG, tout le monde me fiche une paix royale. Je suis bien payée, ne m’en plains pas. Mes vacances en bord de mer au mois de septembre, me permet de me défouler avec l’eau : le soir tard, je m’allonge sur le sable, les fesses juste au bord du ressac : je fais l’amour avec la mer, la meilleure amante du monde. Si je veux je me paye un beau mec pour une nuit, jamais deux. Souvent une fille, là plusieurs jours.
– Mon gout pour les filles s’est accentué le jour où elle est entrée dans ma vie. Eve est un peu plus jeune que moi. C’est la fille d’un voisin de mon immeuble. Quand je l’ai vu la première fois, mon cœur en a fait presque un arrêt. Elle était…Elle avait, elle………me donnait envie d’elle. J’y ai mis du temps et un jour c’est elle qui m’a proposé de l’accompagner au cinéma. Pourquoi, pour quel film, aucune idée. Je ne me souviens même pas du déroulé du film. Je me souviens de sa bouche sur la mienne, de sa langue, de ses mains sur mes jambes, entre mes jambes, sur ma chatte, dans ma chatte…J’étais et suis sa captive.
– Je travaille toujours autant. Jamais plus le samedi. Il est jour saint, consacré au corps d’Eve. Mais souvent elle vient le soir pour passer une bonne heure avec moi. Ce ne sont que des petits riens, me caresser là où elle sait que j’apprécie particulièrement. Souvent directement sur ou dans mon minou. Je rends rapidement ce qu’elle me fait, mais le samedi des 14 heures nous nous défoulons totalement. Déjà je suis presque nue avec seulement un peignoir transparent que j’ai acheté spécialement. Elle vient vite se frotter à moi, ses seins contre les miens, une main sur une fesse.
– Elle me conduit vers ma chambre, ma propre chambre. Nous nous arrêtons mille fois en route pour nous embrasser. Elle attend d’être à l’abri chez moi pour me montrer son amour en entier. Elle me colle contre le mur, passes ses cuises dans les miennes, s’y frotte la minette : je sens sa mouille sur moi.

Je sais parce qu’elle me l’a dit qu’elle ne jouit jamais à ce moment là. Mais elle passe doucement sa main sur mon entrejambes. Elle fouille comme si elle ne me connaissait pas. Je sens ses doits sur le haut des cuisses, passer sur le pubis que j’ai rasé pour lui plaire, sur les lèvres. Quand elle évite volontairement mon sommet, je la mordrais volontiers. Et enfin elle me caresse. J’écarte encore les jambes, je me donne en entier. Elle caresse le clitoris, entre deux doigts dans le vagin, les fait aller et venir d’une telle façon que souvent je m’effondre. Elle me relève pour me mener à bon port. Je voudrais bien la masturber comme elle me fait. Mais, là à ce moment je suis un caillou, une statue immobile, j’attends le plaisir, celui qu’elle seule sait me donner. Je jouis bêtement, sans rien lui faire.
– C’est un rituel, dans la chambre elle passe les manches du peignoir derrière moi, me rendant ainsi prisonnière. Je reste bloquée ainsi à sa volonté. Elle s’assoit sur le bord du lit. Je vois sa chatte en entier ou presque. Elle me fait approcher tout contre elle, sa tête contre le pubis. Sa langue se met en route : elle lèche sans cesse. Elle me donne plusieurs orgasmes. Ca lui plait toujours, et à moi. Enfin je suis libre, libre d’aller là où j’aime : ma tête entre ses belles cuisses, sur son joli minou, sur son petit clitoris, son vagin.
– J’aime entrer en elle, la gouter sans cesse : je suis folle de son odeur, de son gout à aucun autre pareil. Je suis dans un jardin tropical, dans une serre particulière à moi seule réservée. Eve prend mes mains, se couche, j’ai mes mains sur ses seins. Je les triture à lui faire mal. Ma langue ne s’arrête jamais : je veux l’envoyer au paradis. Elle m’a déjà faite jouir, je le lui rends simplement en amoureuse de son corps. Elle m’attire vers elle. Je suis à ses cotés, elle caresse tout ce qu’elle trouve, je le rends toujours.
– Quand elle en a envie, elle se met sur moi à l’envers. Je connais sa suite. J’ouvre mes jambes pour qu’elle y calle sa tête.
Je sens sa chevelure sur mon ventre. Sa langue ne force pas, elle vient là où j’en ai besoin. Mon petit bout de viande est à elle. Elle le mange avec appétit : elle me fait jouir encore et toujours. Je sens son menton sur le vagin, si elle force un peu, Eve pourrait le rentrer en partie. Elle sent bien quand je jouis. Elle en profite lâchement pour mettre un doigt sur mon petit trou. Je l’y accepte toujours : c’est sacrément agréable de se faire caresser là, dans le cul.
– Je la lèche, comme elle me fait, presque en même temps. Au début, je pensais qu’elle avait horreur de se faire toucher le petit trou. Elle adore qu’en cours nous allions nous y perdre. J’aime beaucoup aussi ; Tout est parfait.
– Des fois je pense que si nous travaillons ensemble je pourrais me permettre de me faire aimer au bureau.
– Je rêve trop.

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