Une Adorable Coquine
Ma femme est une très jolie coquine...
Elle aime beaucoup les hommes et surtout leur sexe : elle narrête pas de " courir " après. Cest une façon de parler, certes, mais cest quand même la vérité ! Il y a quelques années alors que je travaillais dans beaucoup dendroits en France et même à létranger, elle maccompagnait dans mes déplacements. Tandis que jétais au travail, nayant rien à faire de ses journées, elle se promenait en ville. Et là, il lui est souvent arrivé de rencontrer fortuitement des hommes, que ce soit à Paris où nous étions souvent, ou dans dautres villes de province, et daccepter daller prendre un verre avec eux, et même daccepter daller à lhôtel. Parfois il sagit de lhôtel où nous étions descendus. Ainsi, et je lai su plus tard, que lors de mes déplacements où elle maccompagnait elle se faisait baiser pour occuper ses matinées ou ses après-midis
Je nen ai rien su tout dabord. Je veux dire cela sest sans doute produit un certain nombre de fois, plusieurs années, sans que je le sache. Jusquau jour où un de mes collègues avec qui je travaillais et qui ne connaissait pas mon épouse, me tint un discours pour le moins étonnant. Il habitait Lyon où je le retrouvais pour nos réunions régulières de travail. Un jour, lors dune pause, il minforma quil avait quelques mois auparavant, rencontré une femme superbe avec qui il avait couché tout un après-midi, sans même connaitre son nom. Mais me dit-il, elle était un " excellent coup" . Justement ce soir, comme elle était ici de passage, il devait la retrouver dès la fin de notre réunion, dans un café non loin dici.
Jétais à cent lieues de me douter de quoi que ce soit, évidemment. A la fin de la réunion il me demanda de laccompagner à son rendez-vous. Ce que je fis volontiers. Arrivé près du café, depuis la rue, je vis à lintérieur mon épouse attablée, seule qui semblait attendre. Je fus saisi dun étrange pressentiment : et si cétait elle " lexcellent coup " dont mavait parlé mon collègue ? Aussi je déclinais son invitation à entrer.
Je neus pas longtemps à attendre. A peine cinq minutes plus tard, ils ressortirent tous les deux. Ils allèrent dans la direction de lhôtel où nous logions, ma femme et moi. Mon intuition était bonne et mon attente fut récompensée : Ils y entrèrent
Non, me dis-je alors, elle ne va pas quand même lemmener dans notre chambre
Dautant quà lheure quil était, 17 h 45, jétais censé y être ! Il me revint alors à lesprit que Frédéric, mon collègue donc, mavait dit y être lui aussi descendu cette fois-ci
Je les laissais entrer et prendre un peu davance. Puis au bout de cinq minutes, jentrais à mon tour. Mais au lieu de monter directement à ma chambre, je demandais à laccueil le n° de la chambre de mon collègue, prétextant la nécessité de le voir.
- " Mais ce monsieur nest pas monté seul, me dit la réceptionniste, il était accompagné
dune dame
" ajouta-t-elle après un temps dhésitation. Je ne sais pas si elle avait reconnu mon épouse, qui dordinaire allait et venait dans lhôtel toute la journée, et quelle voulait éviter un drame. Je lui répondis :
- " Je sais, je sais
Je dois les rejoindre
" Et je montais
Arrivé sur le palier je marquais un temps darrêt cherchant le N° de la chambre de Frédéric et surtout prenant garde à ne pas me faire surprendre par quelques clients sortant de leur chambre.
Javançais doucement dans le couloir et avec précautions pour ne pas faire de bruit. Heureusement un épais tapis absorbait le bruit de mes semelles. La chambre était à létage au-dessus de la nôtre, à peu près au même niveau du couloir. Jarrivais ainsi devant le n° 25. Doucement javançais ma tête vers la porte jusquà y coller mon oreille. Jentendis distinctement de petits bruits comme ceux dune succion et un léger feulement.
Puis jentendis un murmure, dont je ne compris pas les paroles. La voix de ma femme me sembla-t-il, puis celle de Frédéric, plus grave
Elle ria juste après de façon très nette et je compris quelle lui demandait si il aimait ses baisers et le goût de ses lèvres
De nouveau quelques succions
Puis jentendis quelle lui dit :
- Déshabille-moi, jai envie de toi "
Et de petits bruits de vêtements que lon enlève. Je savais ce quelle portait, car non seulement je lavais aperçue dans le café, mais je connais aussi ses goûts et ce quelle aime mettre lorsquelle est en rut. Elle devait avoir sa jupe croisée, des bas Dim-up auto-fixant et un string très mini. A moins quelle nen ait pas mis du tout comme cela lui arrivait quelques fois lors de nos sorties coquines
Elle avait aussi un corsage léger à boutons faciles à ouvrir et un soutien-gorge pigeonnant à balconnets pour soutenir ses magnifiques seins. La salope sait quelle plait aux hommes et quelle attire leurs regards. Pas seulement par sa toilette et son port altier un tantinet provoquant, mais aussi par ce que lon devine delle et de sa personnalité de coquine un peu effrontée. Nous les hommes, nous sentons quand une femme est ̏ disponible " et quelle est attirée par les hommes, leur compagnie et leur sexe
Je lentendis de nouveau murmurer doucement à Frédéric :
- " Chéri, laisse-moi défaire ton pantalon, je vais te déshabiller à mon tour
" A cet instant je savais quelle devait être debout contre lhomme et quelle lui desserrait la ceinture, passait sa main dans le pantalon et lavançait dans le slip, comme je lui avais vu faire tant de fois. Jentendais de nouveau les baisers mouillés et profonds quils se donnaient.
Je limaginais debout contre Frédéric, sétant saisi de sa bite de lhomme tandis quil branlait de sa main.
La garce devait faire bander Frédéric ; comme elle me faisait bander moi quand nous faisions lamour ! Une fraction de seconde, je devins jaloux
. Mais cela sestompa rapidement, pour me reconcentrer sur lécoute à travers la porte. Je lentendis lui dire :
- " Oh, mon chéri, jaime ta belle bite
Tu es gros et tu bandes bien
Jai très envie de toi
Viens que je te suce
" Il lui répondit quelque chose comme :
- " Et toi, tu es superbe ma chérie
Tu branles bien et je vois que tu mouilles déjà beaucoup
"
- " Oh, oui chéri, cest toi qui me fais mouiller
Oh quelle bite ! ", ajouta-elle admirative du membre de mon collègue. A cet instant elle dut lenfourner car de nouveaux bruits de succion se firent entendre. Des bruits différents et surtout la petite mélodie en " huuuummm ", venue du fond de sa gorge dont elle accompagnait en général ses turlutes
Jentendis Frédéric soupirer :
- " Ah, putain que cest bon ! Cest divin
Tes une suceuse de première, toi "
Elle devait sucer comme toujours avec passion, ne ménageant pas sa peine, en aspirant le gland, en détaillant le bout de sa langue agile dont elle titillant la papille
La jolie coquine adore ça : sucer une bite bien bandée. Elle devait aussi de sa main droite branler la hampe du vit tout en le suçant et, de son autre main, se branler elle-même la fente et le trou
Je me disais que la belle salope devait déjà mouiller abondamment.
Moi, je tenais mon membre tendu à travers mon pantalon ; jallais le sortir de la braguette pour me branler plus à laise, quand jentendis un bruit dans lescalier.
Quelquun montait. Je fis mine de quitter une chambre et je me dirigeais vers le palier. En effet un couple arrivait. Il entra dans la chambre la plus proche de lescalier alors que je faisais semblant de descendre. Jattendis une demi-minute, puis je revenais avec dinfinies précautions jusquà la porte de la chambre de Frédéric à laquelle je collais immédiatement mon oreille.
Le bruit avait changé. La coquine soupirait, sans doute maintenant allongée sur le lit :
- " Ah oui, vas-y, passe bien ta langue là
sur le clito
, dans ta fente
Oui, cest bon !... Cest bon !... " Elle devait maintenant être en train de se faire sucer.
Il faut dire que ma divine épouse non seulement est une baiseuse infernale, mais aussi elle parle énormément pendant lamour. Même lorsquelle a la bouche pleine dune langue ou dune ou plusieurs bites, elle trouve toujours le moyen de dire ce quelle ressent ou ce dont elle a envie.
- " Oui chéri, continue !... Jaime ça ! Cest bon tu suces bien... Viens sur moi que je te branle et que je te suce, mon amour
Oh cest bon, cest bon ! "
Ils étaient donc sans doute maintenant partis en 69
De temps à autre elle quittait la queue de son amant pour pousser de petits cris de plaisirs jouissifs et des :
" hummmm
cest bon
" De même parfois Frédéric devait relever la tête pour soupirer de plaisir à son tour. Il faut dire que quand ma belle épouse suce, il est difficile de se concentrer sur autre chose ! La turlute est totale et vous prend complètement la tête, aux deux sens du mot ! En tout cas, la mienne de tête était en feu. Ainsi que ma bite dailleurs. Je nosais pas la sortir pour me branler. Javais pourtant passé ma main dans ma poche et je mastiquais quand même tant bien que mal, mais la bite me faisait mal tant elle était tendue
Toujours loreille collée à la porte, mais surveillant quand même le couloir, jentendis ma coquine hurler :
- " Je jouis, chéri !... Oh lala tu me fais du bien !... Je jouis !! Oh oui, je déchaaaaarrge
Ça y est chéri
, baise-moi ! Baise-moi !! " Jentendis le lit craquer et ma femme prendre sans doute la bite de mon collègue dans son trou de pute. Elle poussait des cris énormes :
- "Oh ouiiii
Oh ouiiiiiii
. Je jouis. !... Baise-moi bien à fond ! A fond
Oui, je suis morte !!.... Oh vas-y, vas-y !! "
La jolie garce devait en prendre plein le con pour gueuler aussi fort
Je ne tenais plus mon membre tant je bandais avec une envie folle de décharger à mon tour
Pensez, entendre ça ! Mettez-vous à ma place : entendre, derrière une porte, sa femme jouir alors quelle se fait baiser à fond par un mec que vous connaissez, et sans être présent, cela ne vous exciterait pas ? Eh bien moi, si !
Tout à coup, jentendis une clé dans la serrure dune chambre à côté ; peut-être la même que celle de tout à lheure. Et maintenant que faire ? Mon sang ne fit quun tour. Je ne peux quand même pas reprendre la même stratégie et faire semblant de ressortir dune chambre ! Et si jentrai dans la chambre ? Prêt à toute éventualité, je fis doucement tourner la poignée. La porte sentrouvrit. Jentendais maintenant à pleines oreilles et beaucoup plus proches de moi les soupirs de jouissance de ma femme et les ahanements de mon collègue. Il na même pas fermé sa porte, pensais-je.
Une femme sortit de la chambre juste à côté de celle de Frédéric. Elle regarda un petit temps dans ma direction. Peut-être avait-elle entendu les cris de jouissance de ma femme ? Puis elle fit demi-tour et se dirigea vers lescalier. Je pris une décision rapide : je réenclenchais la porte sans bruit et fit mine de sortir de la chambre. La femme partit devant moi. Je la suivis à distance et descendis les escaliers derrière elle
Arrivé dans le hall, je me dirigeais vers les toilettes où je menfermais un instant. Je défis lentement mon pantalon, mis mon membre toujours terriblement bandé à lair et je me masturbais un bon coup, avec encore dans les oreilles, les cris de jouissance de ma jolie coquine, quelle devait, là-haut, deux étages au-dessus de ma tête, continuer à prodiguer... Ce ne fut pas long. En quelques aller-et-retours, jaspergeais le mur dune décharge chaude et longtemps contenue. Soulagé, je pris mon temps pour nettoyer et laisser tout bien propre. Puis je filais à ma chambre, pour être sûr darriver avant elle.
Je me mis au travail comme si de rien était. Elle arriva une bonne demi-heure après, éreintée avoua-t-elle davoir couru tout laprès-midi dans les magasins
Je ne dis rien de ce que je savais. Je lui fis simplement remarquer quelle navait rien acheté.
- " Je nai rien trouvé dintéressant, me dit-elle avec aplomb, rien pour toi, comme pour moi
"
- " Rien dintéressant chérie, même pas pour toi ? " insistais-je, pourtant sûr du contraire.
- " Non, je tassure. " me répondit-elle distraitement
Les choses en restèrent là pour le moment. Mais vous verrez cet épisode aura une suite
Comments:
No comments!
Please sign up or log in to post a comment!