Des Rendez Vous Coquins

A l’époque j’avais 22 ans, je devais faire un stage de quelques mois pour mes études. Lui avait 55 ans et c’était mon patron.
Depuis le début, je ne sais pas pourquoi, mais il m’attirait malgré la différence d’âge, son regard, son sourire, ses mains larges et fortes… Je le regardais souvent à la dérobée, j’imaginais ses baisers dans mon cou, ses mains me caressant la poitrine, jouant avec mes tétons, soulever ma jupe et les glisser dans ma culotte pour me la baisser et me baiser dans la salle de réunion… Mon rêve ultime était qu’il me prenne sur son bureau où je pourrais baptiser de ma mouille tous ses dossiers !
Pour moi c’était surtout un fantasme, je ne pensais pas que ça aille plus loin qu’une relation de travail, et pourtant ! Je crois que c’est bien lui qui m’a initié aux plaisirs du sexe.
Souvent il m’amenait avec lui en rendez-vous client, officiellement seulement, car en fait nous n’avions personne à rencontrer. Tout en conduisant, sa main droite, il soulevait ma jupe, caressait mon pubis et la glissait dans ma culotte en dentelle pour jouer très habilement avec mon clitoris, et moi caressant son entrejambe qui ne tardait pas à se durcir. Un jeu un peu dangereux certes, mais terriblement bon ! Après quelques minutes à me titiller le clito et m’avoir fait jouir de cette façon, il me mettait un doigt, puis deux, trois… On s’arrêtait ensuite dans un petit coin discret et là il me faisait venir sur lui, soulevait mon haut et s’attaquait à mes petits seins en les suçant et en mordillant mes tétons bien durs en n’oubliant pas de chatouiller mon clito. Sa langue s’enroulait autour de mes tétons, ses dents me pinçait à en crier de plaisir. Je revenais sur mon siège, on s’embrassait intensément pendant que ma main cherchait le chemin bien connu jusqu’à sa braguette. Sa bite jaillissait d’un seul coup, énorme avec de belles veines saillantes. Il recommençait ensuite à me remettre des doigts dans ma chatte toute trempée, un, deux, trois et même quatre tandis que je commençais à prendre en bouche son membre déjà bien gros et bien dur.

Ma langue allait et venait, je suçais et léchais son gland, j’aspirais ses boules, et enfin je l’engloutissais tout entier avec avidité, et lui continuait à me masturber et à jouer de ses doigts dans ma chatte bien ouverte. Souvent, n’en pouvant plus de plaisir j’arrêtais de le sucer, et lui, contrarié, m’appuyait fortement sur la tête pour que je continue encore et encore. J’aspirais sa queue, la prenait toute entière, il appuyait un peu plus fort, m’enfonçais sa grosse bite au fond de la gorge. Je n’en pouvais plus, j’avais l’impression d’, il me tenait ainsi quelques secondes qui me semblait des minutes.
Après quelques minutes de masturbation mutuelle, et lui quasiment prêt à jouir, on sortait de la voiture, je me penchais sur le siège et lui, une fois derrière moi, me prenait d’un coup sec et faisait de rapides vas et viens tout en s’occupant de mon clitoris d’une main et de l’autre d’un téton. Je sentais qu’il allait bientôt venir à sa façon de me labourer la chatte et c’est le moment qu’il choisissait pour me mettre un, puis deux doigts dans mon anus. J’avais toujours un peu de mal à rester debout, tellement mes jambes tremblaient pendant qu’il me ramonait le vagin. Je gémissais, je criais, trois doigts dans l’anus et là je jouissais une ou deux fois de suite. Une fois qu’il sentait que j’avais eu mon compte, il se retirait pour éjaculer sur mes fesses toutes tremblantes. La chatte en feu, j’essayais ensuite tant bien que mal à me rhabiller et à essuyer mon minou dégoulinant. Nous retournions travailler comme si de rien n’était, j’avais du mal à m’asseoir, ma culotte était encore en eau et mes fesses collantes de sa semence qu’il me réclamait dans son bureau pour que je suce son beau membre bien raide sous le bureau mais ça c’est une autre histoire…