Adultère
ADULTERE
Le 14 juin, avec mon mari, nous étions invités à une soirée d'anniversaire d'un de ses collaborateurs. Ce soir-là, il faisait très bon, voire même très chaud. Joptais donc, pour une petite robe blanche très sexy. Arrivés à la soirée, Jérôme n'avait dyeux que pour ses collègues, leurs conversations mennuyaient au plus haut point. Jerrais donc dans le grand jardin, histoire de passer le temps. Je vis un homme très séduisant, et lobservais, il était vraiment bel homme, le teint méditerranéen, les cheveux poivre et sel, une carrure de sportif, et il avait l'air de sennuyer autant que moi. Il dut sentir mon regard sur lui, car il releva la tête, et nos yeux se croisèrent, nous sommes restés un moment comme cela, puis, un sourire éclaira son visage, je lui souris aussi, et il vint à ma rencontre.
Nous avons fait connaissance, discutant de nos vies, jappris quil était lui aussi un collègue de mon mari, qui dailleurs ignorait toujours ma présence, et ne pensait quà parler travail. Je serais rentrée à la maison que ça ne lui aurait fait ni chaud ni froid.
Vers minuit, mon compagnon de soirée ,Alain, me proposa dêtre mon taxi dun soir, et daller boire un verre, jacceptai bien volontiers. Jai prévenu Jérôme de mon départ, qui ne me prêta même pas attention. Je rejoignis mon prince dun soir sur le parking, il prit la direction dun club non loin de là.
Nous avons bu quelques verres, discuté de tout et de rien, beaucoup rigolé aussi, et soudain, je ne sais pas ce qui ma pris ,je lai embrassé. Il me rendit mon baiser puis me saisit par la main, mentraîna dans les toilettes, et nous enferma dans un cabinet. Jétais très excitée, certainement un peu folle mais tellement abandonnée et éméchée. Très vite les bouts de tissu qui cachaient ma nudité avaient atterris par terre. Jétais totalement nue devant lui mais nullement complexées ou apeurées, bien au contraire je me sentais revivre, je comprenais pourquoi autant de gens trompaient leur conjoint.
Il sassit sur la lunette des WC, ayant pris soin avant de baisser son pantalon, sa verge nattendait plus que moi, je pris donc position au-dessus de lui puis doucement descendit vers son bâton de plaisir, le dirigeant vers mon antre. La position était idéale, je pouvais bouger à mon aise, tout en me soutenant sur ses épaules, la sensation était sublime, son gland venant taper le fond de ma grotte, lexcitation me faisait aller vite mais il ralentissait mes ardeurs ,voulant profiter au maximum de ce moment inoubliable. Apparemment le fait dêtre soumis à mes mouvements, nétait pas sa préférence, il me demanda donc de me lever, de maccrocher au réservoir et de me pencher, lui ferait le reste. Javais maintenant une vraie position de salope, de femme adultère sans aucun regret.
Alain me martelait le corps avec sa queue, et je ne pouvais dire si quelquun était entré dans les toilettes pendant nos ébats, mais à vrai dire, je nen avais rien à faire. Je narrivais même plus à contrôler les petits cris séchappant de ma gorge et ne pouvant plus me contenir, je finis par atteindre lextase, il me suivit peu de temps après.
Il maida à me rhabiller, exténués par notre aventure, pourtant ses gestes à mon égard étaient tendres et passionnés, tout comme ses baisers. De retour à notre table, nous commandâmes un autre verre sans se soucier de lheure. Les bonnes choses ayant une fin, vers 2h00 du matin il me déposa devant chez moi, nous avions bien sûr échangé nos numéros avec la promesse de nous revoir bientôt.
Jérôme nétait toujours pas rentré je navais donc aucun regret à avoir. Je commençais sérieusement à avoir des doutes sur son comportement. Je pris une bonne douche et alla me coucher la tête pleine de rêves en compagnie de mon amant.
Mon mari fit son apparition quelques heures plus tard, ivre mort.
Quand je réussis à reprendre le contrôle, je décidai de jeter un il à sa tablette, je savais que je pouvais avoir accès à sa boite mail sans son mot de passe. BINGO ! Vu ce que je voyais, son manège durait depuis un certain temps, il avait des messages très coquin de Lisa, Christelle, Annie, Samantha etc., mais aussi des rendez-vous soit chez elles, soit à lhôtel. Mais comment faisait-il pour gérer autant de filles ?
Très troublée par la découverte de la haute trahison de mon mari, je tentais de me changer les idées en pensant à mon extraordinaire soirée dhier, je ne pouvais m'empêcher de penser à Alain. Après tout, sans fauter moi aussi, je naurais peut-être jamais ouvert les yeux. Limage de mon amant dun soir me hantait, quest ce qui me retenait de l'appeler ? Au même moment, je sentis mon portable vibrer, c'était lui ! Mon sang ne fit qu'un tour, je respirai un bon coup et décrochai.
Il a envie de me voir, autant que moi dailleurs. Ça tombe bien je suis seule, Jérôme était reparti chez son collègue pour finir les restes
Bah voyons !
Une fois prête, je me mis en route pour le cinéma, très excitée à l'idée de l'après-midi que j'allais passer avec Alain. Nous voulions quand même être discrets sur notre relation, surtout pour moi, lui étant célibataire.
Ma chatte chauffait sous sa main qui glissait le long de mes cuisses pour trouver ma petite touffe à l'air libre. Je compris sa satisfaction en la découvrant ainsi, message pour dire « elle est toi, profites-en bien, ne te retiens pas, je suis prête à tout ».
Il se mit à genoux devant mon siège, souleva ma robe et la laissa retomber sur sa tête, il me donna un léger coup de langue sur le clitoris qui me fit tressauter. Puis il me le baisa délicatement pour finir par le prendre à peine bouche, enfonçant sa langue dans mon vagin. Ses doigts visitaient les replis de mon sexe sans oublier la moindre petite partie, puis il les enfonça plus profondément pour toucher le col de mon utérus, il soufflait sur moi comme une douce bise de printemps et mon corps s'éveillait au désir interdit. Il sortit de sa cachette, le visage barbouillé de mon plaisir. Il se rassit sur son siège, ouvrit sa braguette laissant sortir son pénis en érection, il m'attrapa, me plaça sur ses genoux et fit pénétrer sa fierté en moi. J'étais dos à lui, face à l'écran mais j'imaginais son visage pendant mes mouvements, lents ou vigoureux. Même si la veille, il avait préféré être dominateur de la situation, ce jour-là ce fut moi qui avais tous pouvoirs sur lui. Ses mains sur mes fesses, il dirigea un doigt vers mon anus, le caressant et y entrant sans retenue.
Nous partîmes dans un fou rire, encore plus excités, et descendîmes au parking par l'ascenseur, quil bloqua pour continuer, là où l'on nous avait interrompus. Je lui déboutonnai à nouveau son pantalon, le baissa en glissant mes mains sur ses cuisses, lui aussi avait omis de mettre des sous-vêtements. Il ôta ma robe avec une telle fougue que jen frissonnais. En retirant les boutons de sa chemise, je découvris son torse poilu. Quelle sensation de passer mes doigts sur sa poitrine, ses poils était soyeux et bouclaient légèrement. Il m'approcha tout contre lui, pressa ses lèvres contre les miennes, me poussa contre la paroi de l'ascenseur, me souleva une jambe, introduit un doigt, puis le porta à sa bouche et le mis dans la mienne. Puis il frotta son sexe sur le mien, le faisant coulisser entre mes lèvres, la sensation était délicieuse. On entendit des coups sur la porte de lascenseur à un autre étage, alors il pénétra au plus profond de moi. Ses mouvements le faisait coulisser en moi, ses coups de reins m'emmenèrent très vite au septième ciel, tant la situation était excitante. Il se retira de mon corps et prit son sexe dans sa main pour me rejoindre, branlant sa queue, je me mis à genoux lui léchant les testicules pendant que ma main droite venait émoustiller sa rondelle. L'effet eu lieu presque instantanément, et la paroi de la cabine se retrouva maculé par son jet. Un petit souvenir pour les râleurs
Nous nous sommes caressés et embrassés encore quelques minutes le temps de remettre les pieds sur terre. Puis nous sortîmes de notre boite. Et prirent les escaliers.
- Il se fait tard, tu veux quon aille manger quelque chose tous les deux, sauf si tu as peur ?
- Non, je nai pas à avoir peur, il ne se gêne pas le salaud. Oui, allons-y, cest moi qui tinvite.
- Ok, jaccepte si tu me racontes ce quil ta fait.
Nous sommes allés dans une petite pizzeria au feu de bois, très romantique et calme. Pendant le diner, je lui racontai mes soupçons et la preuve que javais eue à son retour, ainsi que mon intention de lancer les hostilités, il pour il, dents pour dents. Il acquiesçât ma décision et se proposa même dy participer, ce que jacceptais immédiatement.
De retour au parking, il me prit dans ses bras, jétais bien et heureuse avec lui. Après un baiser très mouillé et langoureux, je le quittai avec regrets, et dans l'esprit plein de merveilleux souvenirs. Allait commencer pour moi une nouvelle vie, je devenais une femme qui allait commencer sa vengeance, je ne savais pas encore comment my prendre, mais il allait regretter, toutes ces années où il sétait moqué de moi. A mon tour
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