Baise À La Romaine

Je suis nue dans une grande pièce. J’entends une langue bizarre que je comprends : du latin, un latin pur, rare.
Autour de moi une femme sans doute d’un rang supérieur, une autre de moindre importance. Les deux portent la stola, une sorte de tunique tenue sur le coté par des fibules en argent pour la matrone et en bronze pour la servante et sans doute esclave. Mon premier soin est de cacher ma poitrine et mon bas ventre, avec les mains. Les deux femmes me regardent moqueuses. C’est vrai qu’à l’époque la pudeur n’était pas la même. La servante, une esclave vient tout près, elle me touche en regardant la matrone. Les fibules sont enlevées, les stolas s’ouvrent sur deux corps nus splendides de romaine.
Sa main est caressante : elle passe de mon visage à mes épaules. C’est doux. Elle descend très doucement vers ma poitrine. C’est la première fois qu’une main féminine caresse mes seins. C’est agréable, je me laisse faire avec plaisir. Elle pose sa bouche sur le cou, l’autre en profite pour venir m’embrasser directement sur la bouche. Sa langue arrive à ouvrir mes lèvres. J’apprécie de contact, j’en voudrais encore plus. Ma chatte se mouille. Pourquoi elles ne viennent pas caresser cet endroit. J’en ai envie, comme jamais.
Pourtant les deux femmes se serrent ensemble. Je vois distinctement la main gauche de l’esclave sur les fesses la matrone. Elle passe dans la raie des fesses. Elles doivent connaitre ce genre de caresses : l’esclave enfonce les doigts dans la raie. Je distingue parfaitement quand elle arrête sa main, sur le petit trou. Elle doit caresser un bon moment cet endroit stratégique avant d’entrer. La matrone pousse de nombreux soupirs de plaisir.
Je veux une main, n’importe laquelle, celle de l’esclave a l’air très virtuose. C’est la sienne que je veux. Non, elle ne s’occupe que de sa maîtresse. Mais où est le maître, avec une esclave ou un jouet mâle ?
La matrone voit mon désarroi : elle consent enfin à participer à non plaisir.

Elle me fait écartes les cuisses, passe une main caressante, monte doucement, encore plus haut. Je sens la chaleur de sa main vers mon minou. Elle va me branler. J’en suis encore plus mouillée. Je sens son doigt venir contre mes lèvres. Elle les écarte. Par Vénus qu’elle vienne caresser mon sexe, vite, vite.
Les dieux écoutent ma prière : elle enfonce un doigt dans mon vagin. Je le serre le plus possible pour mieux sentir le doigtage. Elle en fait encore plus que prévu, un autre doigt vient caresser les fesses, il s’installe entre les deux, dans la raie, juste sur le petit trou. Elle me masturbe des deux cotés à la fois : je me le fais rarement. Que c’est bon, que c’est jouissif. Je connais la suite : je vais jouir en jetant ma cyprine.
L’une ou l’autre pourra pose ses lèvres, sa bouche sur ma chatte ; je lui donnerais tout ce que j’ai comme jus. Je me retiens comme je peux pour ne pas jouir maintenant.
Enfin l’esclave a besoin de ma bouche sur sa chatte. Elle vient sur moi, ouvre ses jambes. Son abricot est comme le mien, tout mouillé. Je l’avale avec mes lèvres grandes ouvertes. Son miel est délicat, agréable, délectable. Il en coule même sur mes joues. Je la reçois avec l’honneur dans mes jambes. Elle effleure le con, passe sa langue plus bas pour aboutir à mon cul. Elle me lèche comme je ne l’ai jamais été.
Et la matrone nous regarde en se caressant impudiquement les seins, puis le sexe. Elle passe son autre main derrière elle. C’est directement qu’elle caresse l’anus. En plus elle montre bien comment elle fait. Je la vois jouir rapidement : elle jette sa cyprine sur moi.
Je jouis.
Je suis sur le ventre. Les jambes écartées, ma main sur la chatte : je me réveille. Ce n’était qu’un rêve. Mon mari se réveille près de moi. Je lui demande de me baiser.

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