Un Bon Massage
Je le croisais souvent dans le hall de limmeuble, on se disait bonjour, blaguait de temps en temps dans lascenseur et jai finis par savoir quil sappelait Stéphane et quil faisait des études de kinésithérapie. Il était grand, brun, mince et plutôt musclé. Il était très gentil mais nétait pas spécialement beau, mais il avait un charme fou ! Un regard incroyable et un sourire à tomber ! Même si javais un copain, jétais toujours contente de le croiser.
Un soir en rentrant du boulot, je le croisai dans lascenseur « Bonsoir Marie ! - Bonsoir Stéphane ça va ? - Oui et vous ? Vous avez mal au dos non ? ». Effectivement ça faisait plusieurs jours que je me trainais un affreux mal de dos « Oui effectivement, mais ça finira par passer ! - Vous savez, il ne faut pas trop le prendre à la légère, il faudrait que vous alliez voir quelquun - Oui je sais mais je nai pas trop le temps - Si vous voulez je peux regarder si je peux faire quelque chose pour vous ». Je me sentis devenir rouge jusquaux oreilles « Si jai vraiment mal je vous le dirais, bonne soirée - Jespère ! Bonne soirée Marie ».
Les jours suivants furent horribles, je ne pouvais plus bouger, alors un soir jallais sonner chez Stéphane « Bonsoir Stéphane, désolée de vous déranger mais là jai vraiment mal, ça vous embêterez de mausculter ? - Pas du tout, jai une table pliante, je vais la chercher, mettez-vous en soutien-gorge et jarrive ». Je me déshabillai, jétais en robe alors finalement je finis directement en sous vêtement. Il me toucha le dos pour voir où javais mal, il avait les mains chaudes, douces et fortes à la fois jen avais des frissons. « Allongez-vous, je vais vous masser un peu ». Je mallongeai sur le ventre, un peu gênée puis il dégrafa mon soutien-gorge et commença à me masser. Ça me faisait à la fois très mal, mais aussi un bien fou ! Il avait des doigts de fée et je commençai à complètement me détendre, tellement que je poussais des petits gémissements sans men rendre compte.
Il me prit dans ses bras pour mamener sur son lit et mattacha aux barreaux de son lit. Je naime pas trop ça, mais après le cunni quil venait de me faire, je nallais pas me plaindre ! Il se déshabilla et me dévoila un membre assez long et bien épais, rien que sa vue me faisais mouiller ! Il sapprocha de moi, releva mes jambes (jadore !) et se fourra dans ma chatte bien chaude et humide. Il me prit de plus en plus vite et de plus en plus fort ce qui me fi gémir aussi de plus en plus fort. Il ralentit un peu le rythme, mais tout en continuant, il ouvrit sa table de nuit, sortit un bâillon quil me nouât autour de la tête puis du lubrifiant et un petit gode en verre. Toujours sans sarrêter, il me mit un doigt dans lanus, puis deux.
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