La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode N°230)

Suite de l'épisode 192 ''Baisée dans la bibliothèque'' - La suite de cette histoire se passe dans la chambre du Marquis toujours avec soumise Chris -

Et ce soir là, encore une fois elle avait envie de Lui . La chaleur au creux de son ventre trahissait son impatience ! « Je suis vraiment sa chienne » pensa-t-elle, un sourire gourmand au coin des lèvres. Aussi ne se fit-elle pas prier lorsque, d'un geste de la main, Il lui demanda de le rejoindre dans le lit suite à Son claquement de doigts ! … Lentement il s'amusa à lui effleurer la peau de ses petits seins, y dessiner des arabesques tout en lui lançant un regard Dominant. Chris instinctivement détourna le regard de celui de son amant et Maître.

- Tu es si spéciale ma petite chienne" lui lança le Marquis d'Evans. "Chut, ce soir je ne veux pas entendre un son sortir de ta gorge, d'ailleurs...

Il attrapa un petit sac noir brodé de ses armoiries qu'il avait posé sur un coin du lit pour en sortir un bâillon-acier, "d'ailleurs on va essayer ce jouet ce soir !" Lui dit-il avec son sourire de Maître. "Et puis pas que ça d'ailleurs. Ce soir, je vais t'emmener loin, ma belle Chris." Il passa sa langue entre ses lèvres si tendrement en plongeant ses doigts si savamment dans sa chatte que Chris ne put réprimer en énorme soupir en fermant les yeux ce qui lui fit ouvrir la bouche en grand. Dans l'espace le Maître plaça le bâillon entre les dents de sa soumise et referma les lanières de cuir autour de sa tête. Sentant la tension qui l'avait gagné, il lui passa la main dans les cheveux et lui caressa doucement le clito et le bas ventre pour la détendre. Le Marquis lui mordilla l'oreille tout en lui murmurant tendrement :

- Maintenant, tu vas faire un grand voyage, Ma belle.

Chris, la bouche maintenue grande ouverte par le cercle d'acier qui commençait à la faire saliver, ne pouvait maintenant plus parler et se demanda ce que son Maître pouvait lui avoir mijoté.

Le Marquis chantonnait en s’affairant à sortir d'autres choses. Puis, il mit un bandeau sur les yeux de sa soumise. Il sait que la rendre aveugle la gêne et ce soir il avait décidé que tout se passerait à Sa manière afin de tester Sa soumise, sorte d’examen de passage avant de lui faire découvrir bien d’autres facettes de l'art des jeux de D/s.

En farfouillant de droite de gauche le Marquis avait étalé tous Ses instruments favoris : gods de différentes matières et tailles, liens, plug, pinces, spéculum, laisses, etc… Chris ne pouvait qu'entendre son Maître s'affairer tout en continuant à chantonner et maintenir le contact avec le corps de Sa belle. Il lui att délicatement un bras qu'il amène à la tête du lit et lui lie le poignet avec un bracelet de cuir large pour ne pas blesser sa peau blanche et fragile. Tandis qu'il passe à l'autre bras, il prend le temps de pétrir, titiller les seins de Sa douce soumise lui mordiller les témoins qu'Il sait aussi sensible que sa cavité des plaisirs suprêmes. Chris tente de se débattre mais le Noble se met rapidement à califourchon sur elle pour l'immobiliser.

- Non, non ma Chris, c'est moi qui mène le bal ! Tu-ne-bou-ges pas, compris ? Lui assène-t-il sèchement.

Chris fit oui de la tête. Bien, répond le Marquis en lui caressant la joue avec douceur, respire, souffle, continue-t-il en lui en appuyant sur les côtes à chaque respiration pour l'amplifier pour la calmer. Il lui pris le bras droit et lui attacha également. Se trouvant en bonne position le Maître passa en suite ses pieds entre les jambes de sa Chris et recula sur son corps en descendant il entreprit de lui dévorer le nombril puis la chatte.

- Humm tu aimes ça, Ma petite salope hein, je le sens, ta mouille coule déjà alors que je n'ai encore fait... ha ha ha" éclate-t-il de rire tout en caressant la peau des cuisses de Chris.

Cette peau dont Il aimait tant la douceur du grain. Puis Il lui donna une pichenette sur le clito.
Chris lâcha un léger gémissement de surprise. Patience, Ma belle, patience... Chris sentit le Marquis se lever pour attr et lui passer un autre bracelet de cuir autour d'une cheville en lui écartant la jambe, puis rapidement la deuxième. Elle était maintenant les bras et les jambes en croix, les membres en tension mais pas écartelée. Elle savait que son corps souple trouverait vite la position de confort comme toujours lorsqu'elle était entravée. Ce qui lui avait valu lors de ses toutes premières expériences mièvres en D/s, certes misérables, de fortement troubler le maîtraillon qu'elle avait croisé naguère.

Le Marquis admirait son oeuvre :

- Comme tu es belle, ma douce Chris, Mon Dieu, si tu savais...

Tout ce temps le Marquis d'Evans avait gardé ses vêtements. Rapidement il se dévêtit. Chris l'entend à nouveau bricoler en chantonnant. Tenue ainsi en haleine alors que son Maître ne lui a toujours rien fait elle sent sa mouille de chienne lubrifier son cul et les draps. Elle s'en sent encore plus excitée. Monsieur Le Marquis revient vers sa couche et caresse le corps de celle qu'Il aime avec tendresse. En visite tous les recoins puis Chris remarque qu'il craque une allumette et allume une bougie. Elle sent alors son souffle devenir plus court et son corps se tendre. Lentement, la cire fond. Le Marquis d’Evans lui caresse ses seins d'une main et incline la bougie à une distance adéquate pour ne pas brûler sa soumise. Elle, attend, tendue, Lui sait, elle lui en a parlé, elle a encore certains tabous de soumise. Ce soir, Il a décidé de lui faire dépasser certaines de ses limites et tabous inculqués sottement. Il ne dit rien, le Marquis la regarde vibrer, Il sent la tension palpable dans la chambre. Chris a le souffle court mais toujours ne dit mot. Le Maître veut que sa soumise se calme d'elle-même sous Ses caresses, qu'elle apprenne la confiance qu'elle peut Lui donner en Lui omettant ses peurs entre Ses mains de Maître, s'offrant totalement à Lui.
Il voit son coeur battre irrégulièrement dans ses jugulaires. Il sait qu'elle lutte contre ses peurs mais Il veut qu'elle fasse le chemin la menant à Lui.

Lentement, la soumise trouve le chemin en elle pour enfin arriver à pousser un long soupir. Aussitôt Il lui verse un peu de cire chaude sur les seins puis lui caresse l'endroit échaudé et recommence plusieurs fois.

- Oui, comme ça ma petite chienne, regarde comme c'est bon d'être entre Mes mains.

Il pose alors la bougie sur le chevet puis prend une roulette à picots et la fait passer sur les endroits où la cire s'est figée puis Chris sent le souffle du Marquis sur ses seins qu'Il mordille et pétrit dans Ses mains. Chris sent son corps se détendre renverse sa tête en respirant de plus en plus tranquillement sous les caresses de son Amant et Maître. Elle voudrait tant lui dire qu'elle l'aime plus que tout. Comme s'Il avait entendu ses pensées, le Marquis d’Evans enjambe le corps de Chris et la pénètre d'un coup de bite dans sa chatte trempée.

- Oui Ma soumise adorée, sent comme Je t'aime aussi, ressens Mon amour dans la fougue virile qui te fouille bien à fond comme ta condition de chienne te le fait mériter. Sens l'honneur que ton Maître te fait en te baisant ce soir pour la première fois de cette nuit. Mais Je t'interdis formellement pour le moment toute jouissance. Ce soir tu es Ma chose, reçois Mon Art, Ma Domination.

Chris respirait maintenant très très fort la bouche toujours entravée par son bâillon qu'elle mordait pour ne pas crier tant elle sentait la verge de Son Maître la besogner et la rendre folle de ses désirs de femelle jamais imaginés. Elle aurait voulu avoir les mains libres pour pouvoir L'enlacer et Le serrer contre son coeur. A ces mots, elle sentit la semence de Son Maître inonder son sexe gonflé de ses désirs de jouissance interdite qui la faisait s'arc-bouter sur ses liens pour ne pas être emportée.

- Ne jouis pas, Je te l'ordonne, lui répéta le Maître en l'embrassant dans le cou.


C'est alors qu'Il remarqua que les joues de sa soumise étaient mouillées de larmes des émotions qui l'avaient retournée.

- Ma douce Amie lui dit le Marquis, je viens juste de te délivrer de ton premier tabou ! Je le sais. Pour le suivant, Je vais t'ajouter une contrainte : de ne pas résister en tirant sur tes liens. Tu vas me promettre de me suivre là où Ton Maître va t'emmener ainsi liée à Sa couche…

(A suivre...)

Comments:

No comments!

Please sign up or log in to post a comment!