Les Dumas
Marie se prépare : nous allons chez les Dumas. Nous les connaissons depuis longtemps, depuis notre première partouze. Nous n'y allons pas pour cueillir des fraises. Tout le long de la route Marie est excitée. Encore une bonne heure de route. Marie n'en peut plus. Elle passe sa main sous sa robe large. Je suis comme je peux, le cheminement. Je sais ce qu'elle cherche. Avant qu'elle y arrive je bande déjà. Elle relève sa robe, je vois sa chatte nue. Sa main cache presque tout, pas les mouvements de va-et-vient. Devant nous un camion, elle ouvre en grand ses jambes, elle relève complètement la robe. N'importe qui peut tout voir. Je connais sa consigne : dans ce cas ralentir beaucoup à hauteur de la cabine pour montrer au chauffeur ce qu'elle se fait, même si c'est une femme qui conduit.
Elle arrive à se retourner sur le siège, son sexe bien en vue : je ne vois que lui. Je vois aussi sa main caressante. Elle va du clitoris presque rouge à son cul où elle met un ou deux doigts selon l'humeur. Marie jouit plusieurs fois, recommence aussitôt après. Elle sait que je bande, alors elle passe sa main sur moi, sors la bite. Elle la caresse comme toujours avec efficacité. Je jouis dans sa main : elle se la lèche.
Elle a envie de pisser. J'arrête la voiture au bord d'un champ isolé. Elle lève sa robe jusqu'au menton : je vois presque ton son corps. Accroupie elle montre son sexe en entier et une petite partie des fesses. Son jet jaune part sur l'herbe. Elle s'essuie vaguement avec un kleenex. Revient sasseoir sans baisser la robe. J'ai droit à ses roberts qui remuent pas mal pendant le trajet.
Les Dumas sont là. Marie se précipite pour les embrasser l'un après l'autre sur la bouche. Lucile est toujours aussi charmante, sexy. Lui, Jacques est normal. Entre nous une bonne poignée de mains. Pour Lucile un baiser sur la bouche s'impose. Nos langues se retrouvent après une longue, trop longue séparation. Une fois chez eux, les filles commencent leur jeu.
Nous allons jouer tous les deux, j'ai fait l'essai l'autre jour avec un des amants de Lucile.
Quel essai ?
Jouer entre homme, si tu me donne ta queue tu verra.
Tu veux me branler ?
Un peu et te lécher la bite.
Pourquoi pas près tout, les filles jouent ensemble. Elles sont sur un divan, juste en face de nous, elles se masturbent mutuellement. C'est excitant de voir ma femme en branler une autre qui le lui rend. Je ne peux en voir plus : la main de Jacques est sur ma bite, il descend le prépuce. Je pensait qu'il allait me branler. Pas du tout. Ses lèvres entoure ma queue. Il passe une main entre les cuisses, il trouve mon cul. Il le caresse en me suçant, il y enfonce un doigt. Il me fait serrer les dent pour ne pas jouir. Jacques poursuit son but, me faire partir.
C'est gagné : je gicle dans sa bouche. Il se lève avec mon sperme dans la bouche, va vers ma femme qui étonnée accepte ma semence. Elle lui lèche bien la langue pour ne rien perdre. Et moi qui reste la queue encore bien bandée. Je vais lui faire quoi. Il s'approche de moi, je vois sa bite droite, il vient me donner son cul. Il me branle lentement, quand je suis bien en érection vient poser ses fesses contre mon ventre, il se laisse aller vers le bas. Je sens ma pine entrer dans son derche. Il est bien plus serré que Marie ou sa femme. Ainsi j'encule un homme sans en être responsable. En plus cest bon, meilleur que dans le cul de ma femme qui me regarde. J'ai pris la bite de Jacques, je le branle. Nous jouissons pratiquement ensemble. Les filles sont comme nous, sauf quelles abandonnent ce qu'elles faisaient en se mettant en 69, leur position favorite. Après une séance de léchage, après plusieurs orgasmes, elle arrêtent pour préparer la soupe » : un vague brouet passé au micro onde.
Suces moi la bite
Tu n'y pense pas.
Je te l'ai bien fais.
Je préfère te branler
Non, suces moi comme me fait ta femme.
Je ne suis pas une femme.
Et alors ! Suces moi, quand même.
Il insiste en me poussant vers son sexe, un sexe comme le mien. Tant pis pour moi, je vais essayer de sucer un autre homme. Mes lèvres font descendre le prépuce, je sens le goût du gland. Mes lèvres vont plus bas ? J'arrive presque à ses couilles. Je sens sa bite dans la bouche : c'est un peu gênant, un peu seulement. Ma bouche remonte , descend, recommence deux ou trois fois : je la sens gonfler dans ma bouche il jouit. Je suis envahie d'un liquide salé, gluant, finalement bon. Je comprends quand ma femme avale tout. Je fais comme elle. Je sens passer dans la gorge cette semence.
Je refuse de continuer avec Jacques.
Je préfère regarder Marie et Lucile. Lucile est léchée par Marie, comme chaque fois. Marie adore le goût d'une chatte. Si elle pouvais elle en prendrait en petit bouteilles comme apéritif. J'aime aussi ce goût relevé par un arrière goût de coquillage marin.
Enfin elles s'aiment normalement : le 69, leur position favorite. Au départ elles commencent sur la coté, mal commode, avant que Marie oblige Lucile à se mettre sur elle. C'est la position favorite de Marie, avoir le poids de sa compagne de jeu sur elle. Elle est obligée de lever sa tête pour atteindre le point de bonheur de son amante qui elle au contraire baisse la tête. Les langues sortent des bouches, lèchent le con de l'autre avec aisance. Je les regarde, bande depuis un moment, tout comme Jacques. Cette fois c'est moi qui prends la queue de Jacques qui prend la mienne. Les filles se font du mien, nous aussi. Mais j'ai plus envie d'un cul que de la main de notre ami. Je connais bien celui de ma femme. Je vais chercher l'autre.
J'ouvre encore un peu plus les fesses de Lucile, aidé par les mains de ma femme qui pousse l'obligeance jusqu'à guider ma queue sur le cul visé.
A nous deux nous faisons jouir notre amie. Je laisse ma place à Jacques, il peut bien enculer sa femme qui a envie d'une bonne sodomie de plus. Je regarde la queue aller contre le cul, l'ouvrir à totalement d'un seul coup, entrer brusquement au fond. Marie apprécie, elle jouit deux ou trois fois avec la queue dans l'anus. Il le fait tellement bien qu'elle jouit encore.
Lucile laisse son mari et ma femme s'entendre à deux. C'est elle que j'ai enculée tout à l'heure. Elle me prend dans la bouche,lèche les restes de son anus. Elle vient sur moi s'enficher encore sur le cul : c'est une maîtresse femme sans pudeur. Comme la mienne. Elle voudrais que je l'encule encore. Je suis incapable de bander. Elle me donne son abricot pour que je n'ai que la langue à sortir pour lécher. Ça ira Avec deux doigts dans son anus.
Marie s'endort, morte de plaisir, suivie de Jacques. Pour moi la journée et la nuit sont trop avancées Je m'endors sur l'épaule de Lucile qui elle continue ses branlettes.
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