John Et Tom (4)

« Je le doigtais. Je doigtais et suçais mon meilleur ami. Et le meilleur dans tout ça, c’est qu’il n’en savait rien ; du moins, c’est ce que je pensais… »

- Eh mais tu fais quoi là ?!
Je sursautai, recrachai mon précieux et sortait maladroitement mon doigt de sa raie.
- Heu… Je… bafouillais-je
- Tais-toi et finis ce que t’as commencé. J’essayerai de penser aux meufs de la soirée.

Sur ces bonnes paroles je ne me faisais pas prier et repris le travail de plus belle. Seulement Tom refusait désormais de se laisser chatouiller et doigter l’anus. J’étais déçu…
Je suçais cette bite avec la plus grande agilité possible. Au bout d’une dizaine de minutes où Tom gémissait de plaisir, je sentis son organe gonfler dans ma bouche.
- Tu veux avaler ?, me demanda-t-il gentiment.
- Je veux bien essayer, dis-je.

Ni une ni deux, ma bouche se remplit d’un nectar au gout très spécial. J’avalais difficilement mais appréciais finalement le gout.

Tom semblait avoir apprécié cette gâterie. Je lui proposai alors d’aller plus loin :
- Tu veux qu’on en fasse plus ? lui demandai-je.
- Je sais pas trop, mec. Être hétéro et se dépuceler en enculant son meilleur pote c’est pas top…
- Ouais je comprends… T’es pas obligé de m’enculer au pire, t’as qu’a juste me doigter et me goder avec un objet..?
- Ok pourquoi pas !

Fier de ma persuasion, j’embrassais Tom qui me rendit mon baiser. Il commençait à me caresser les fesses puis doucement mais surement glissait un doigt dans ma raie et me caressait l’anus. Je gémissais de plaisir.
Il cracha alors dans sa main et m’étala sa salive sur ma petite rondelle. Il faisait des cercles et rajoutait de la salive pour bien lubrifier mon trou. Puis il tenta d’entrer un doigt, difficilement.
- Ca rentre pas, me dit-il, gêné.
- T’as qu’à lécher pour plus lubrifier, lui dis-je avec un ton coquin.

Tom m’écouta au pied de la lettre et je sentis quelques secondes plus tard sa langue chatouiller ma raie.

Il semblait y prendre du plaisir. Sa langue faisait des tours sur mon anus et des frissons me traversaient. Je sentais mon trou s’ouvrir peu à peu. D’un coup, sa langue entra en moi. Il me léchait de plus en plus profondément. Assez lubrifié, il retenta de me doigter. Son doigt rentra en moi comme dans un beurre et je gémis de plaisir. Il commença à me doigter de plus en plus vite puis décida de rentrer un second doigt, puis un troisième. Le plaisir était immense mais j’en voulais plus !

A mon regard, Tom comprit mon désir d’aller plus loin et scruta ma chambre à la recherche d’un objet pour me sodomiser. Ses yeux se posèrent sur une petite bombonne de déodorant à la forme étonnement phallique. L’objet mesurait une vingtaine de centimètres et avait un diamètre à peu près égal à celui de ma bite. Il s’empara de la bombonne et pris un préservatif dans le tiroir de sa table de nuit. Il l’enfila sur le déodorant, cracha dans sa main, fit un va-et-vient sur l’objet pour le lubrifier un peu plus et le pointa sur ma rondelle. La bombonne était froide, dure, mais elle entra facilement. Tom me godait. Je sentais qu’il y prenait du plaisir. J’étais sur le dos, les jambes sur ses épaules, lui me godait et moi je le branlais.

Soudain, il s’exclama : « Oh et puis merde ! Je suis trop excité ! »

Il retira l’objet de mon cul, pris une autre capote dans son tiroir et l’enfila sur son engin. Avec un petit sourire malicieux, il caressa mon anus (déjà ouvert par ses doigts et la bombonne) avec son gros gland brillant. Il se positionna et je sentais déjà la chaleur de son gland sur ma rondelle. Il exerça une pression sur mon trou qui n’avait finalement pas si bien appréhendé le diamètre de ce gland. Il commença à rentrer, difficilement. Je sentais son gland rentrer millimètre par millimètre et je souffrais de plus en plus. Enfin, je sentis mon sphincter se resserrer après le gland. Ca y est, Tom avait son gland en moi et ce n’était que le début…

A suivre…