Lucie Et Le Fourgon
Je suis Lucie, jai 30 ans. Jai un visage harmonieux, de grand yeux en amandes avec un jolie née bien dessiné. Ma bouche est légèrement pulpeuse. Jai les cheveux qui arrivent au niveau des omoplates. Je suis blonde, mais ce nest pas ma couleur naturelle. Je mesure 158 cm pour 65 kg. Jai quelques formes, je suis pas dans le style « bâton » puisque jai une forte poitrine, un bon 95 D. Je mets du taille 40 en vêtements.
Je cours de temps en temps dans un parc près de chez moi. Jai des fesses assez bombées. Je mhabille assez classique, jeans t-shirt pas trop moulant de peur des regards désobligeant sur moi.
Je suis mariée depuis bientôt 2 ans. Je suis vendeuse agricole dans un magasin depuis plus de 5 ans. Jai une vie paisible, sans histoire.
Aujourdhui, cest samedi et je suis de repos. Ce soir, nous accueillons un couple dami, Cécile et Jérôme. Mon mari est encore au travail, il débauche à 19h30. Nos amis devraient arriver vers 20h30.
Ça me laisse du temps pour faire les courses et préparer le repas.
Il est 13h45, je viens de finir de déjeuner. Une salade dendive avec du blanc de poulet. Je pars faire ma vaisselle et ensuite je vais mallonger sur mon canapé pour regarder un peu la télé.
Au bout de deux heures, je me motive pour aller faire des courses dans le supermarché le plus populaire du coin.
Je pars à la salle de bain, me maquiller légèrement les yeux. Je ne mets pas de rouge à lèvre.
Je me change et mhabille de façon très classique. Jeans slim et sweat à capuche blanc. Je ne mets pas de manteau, il fait bon aujourdhui malgré le vent assez important ainsi que le ciel gris.
Je prends les clefs de la nouvelle voiture. Mon mari, qui est chasseur, a voulu un petit crossover Toyota. Je ferme la maison, monte dans la voiture et pars faire les courses. Dans cette nouvelle voiture, le poste ne fonctionne pas. Le trajet est assez long malgré la faible distance entre Leclerc et mon domicile.
A mon arrivée sur le parking, il 16h15, le supermarché est bondé de monde. Il est très difficile de trouver une place. Je tourne dans le parking pendant une dizaine de minutes. Au bout dun moment, une place se libère entre une Audi A3 et un fourgon blanc qui appartient vraisemblablement à des peintres.
Je me gare en marche arrière. Je my reprends à deux fois. Jouvre légèrement la portière de ma voiture puis récupère mon portable. Au moment où je mapprête à sortir, la portière de la voiture claque sur le fourgon. Javais complètement oublié que la charnière de la portière était cassé. Avec le vent, elle a était projeté contre le fourgon.
Je me sens embarrassé, jespère que personne ma vue. Je sors de ma voiture, ferme à clef et mapprête à partir quand jentends:
_ Sil vous plait . Madame. Madame.
Je ne comprends pas que lon me parle et je commence à méloigner de la voiture.
_ Ooooh ! Madame ! Ne faites pas comme si vous ne mentendez pas. Vous rayez mon fourgon et vous partez ?
Je comprends à ce moment la que cest pour moi. Je me retourne et aperçois un homme dune quarantaine dannée, très maigre une soixantaine de kilos pour un 1 m85 environ. Une carrure faiblarde. Il est mal rasée, crâne rasé avec un grand nez crochu. Il a lair plutôt sale.
_ Excusez moi monsieur, je ne savais pas que vous parliez à moi.
Je me dirige vers cette homme, il a lair assez agacé.
_ Vous avez abîmé mon fourgon madame. Il va falloir payer. On va faire un constat.
_Pardon ? Vous plaisantez jespère. On ne va pas faire un constat pour ça franchement. Il y a à peine une petite égratignure sur votre fourgon
Il me montre limpact avec son index.
_ Vous appelez ça une égratignure vous ? Il y a une rayure de 3 cm environ. Qui va payer ? Moi ?
_ « Attendez monsieur, On ne va pas faire marcher nos assurances pour ça, pour si peu. »Je mapproche du fourgon et lui montre limpact. Cest vrai que la rayure est quand même bien présente.
Il souffle et me regarde lair agacé.
_ « Mais vous êtes de mauvaise foi vous, cest incroyable. Ce fourgon cest celui de la société. Il nest pas à moi. Alors lundi matin, quand mon patron va voir la rayure, je vais devoir rendre des comptes et je peux vous garantir que je ne payerai rien. Vous abîmés, vous payez ». Il me pointe du doigt et en lève la voix . Les passants commencent à nous dévisager. « Si vous croyez que je vais vous laisser vous en sortir comme ça , sans dédommagement, vous vous fourrez le doigt dans lil ma petite dame. On fait le constat ou jappelle les gendarmes. »
Je commence à paniquer, je ne sais plus quoi faire. Je déteste me faire remarquer. Je le regarde, toute tremblotante et dis:
_ Soyez compréhensif monsieur, ce véhicule est neuf et cest celui de mon mari. Si je lui dis que jai eu un accrochage, il va encore mengueuler et ça va être tout un foin pendant des jours. Financièrement, on vient de refaire la façade de la maison, alors avec un malus en plus, ça va devenir compliqué.
Il me regarde, le visage toujours fermé. Il ne bronche pas.
_ Mais ce nest pas mon problème et pour tout vous dire, je men contre fou. Du coup, on fait quoi ?vous avez une solution ?
Je ne sais plus quoi dire. Son manque de compensation me sidère.
La seule idée qui me vient à lesprit cest de partir faire les courses en espérant quil parte. Je sais quil y a peu de chance que ça arrive mais jai besoin de souffler et retrouver mes esprits.
_ Écoutez, je dois faire quelques courses, à mon retour, on règle ce problème.
Il me regarde, les yeux écarquillés, surpris.
_ pardon ? Vous vous foutez de qui la ?
_ jen ai pas pour longtemps.
Je ne lui laisse pas le choix, je pars en direction des caddies, en récupère un et me dirige vers lentrée du centre commercial.
Je tremble de partout, ma respiration est forte et mon cur dépasse les 140 pulsations par minutes. Il faut que je retrouve mes esprits.
Je pars au toilette. Je pose mon caddie à lentrée. Je memferme, massieds et prends ma tête dans mes mains. Je ne sais pas quoi faire, je ne veux absolument pas que mon mari apprenne ce qui se passe. Je reste assise cinq bonne minutes le temps que mon coeur se calme, puis je pars faire mes courses.
A la sortie du centre commercial, mon cur se remet à battre très rapidement. À lapproche de ma voiture, je ne vois plus la camionnette à côté. Jaccélère mon allure.
A til abandonné ? Pitié, faites que ce soit vrai.
Je vais me dépêcher et partir le plus vite possible. Je dépose les sacs de courses dans le coffre.
_ Bon alors, vous avez trouvé une solution ? dit une voix venant de derrière.
Je la reconnais , cest celle de lhomme du fourgon. Le stress menvahit aussitôt, mes mains deviennent moite, je commence à avoir chaud.
La voix se rapproche de moi.
_ Quoi ? Pardon ? Dis je dun air très hésitant.
_ Avez-vous une solution à me proposer ?
Par chance javais quand même anticiper au cas où il serait là et jai acheté un stylo magique pour rayure. Espérons que cela suffise.
Je me retourne vers lui. Il a le sourire, je ne comprends pas vraiment pourquoi mais, du coup, cela devrait être plus simple pour le convaincre. Enfin je lespère.
_ Jai acheté un stylo carrosserie pour les rayures, vous voulez que lon essaye maintenant ?
Il na aucune réaction, il me fixe, avec un sourire. Je suis de nouveau déstabilisé. Je ne comprends son sourire et cette air nié. Je mapproche de lui, et lui dit :
_ Où est votre fourgon ?
_ Je lai garé juste là , en face de votre voiture.
Je passe devant lui, et me dirige vers son fourgon. Une odeur de forte transpiration et de crasse se dégage de cette homme.
Je regarde la rayure et pris pour que cela fonctionne. Je veux rentre chez moi et quil le laisse tranquille. Je tourne ma tête vers lui et je lui dis :
_ On essaye le stylo ?
Je continue mon monologue et dis en secouant le stylo:
_ Alors, il faut appliquer le gel sur la rayure puis bien la remplir et la...
_Je préfère que vous vidiez me dit il en me coupant la parole et avec un grand sourire.
Ma tête fait à nouveau un quart de tour sur la gauche.
_ Pardon ? Je ne comprends pas.
_ Jai dit, je veux que vous me vidiez.
Je fronce les sourcils. Jessaye de comprendre ce quil dit. Jai limpression dêtre bête. Pourquoi ditil ça ?
Je continue mon explication et reprends en montrant le stylo puis limpact sur le fourgon.
_ Non, la rayure doit être remplie, cest indiqué comme ça sur...
_ Je men branle de la rayure, je veux que vous me vidiez les couilles, me ditil dun ton froid à glacer le sang.
Jai bien entendue ce quil a dit, javale difficilement ma salive. Je commence à transpirer.
Est ce quil veut une fellation ?
_ Excusez moi, jai du mal comprendre.
Son visage se ferme à nouveau.
_ Écoutez moi bien, votre stylo je men branle. Il ny a que deux solutions. Soit on fait un constat, vous payez la franchise, obtenez un malus et votre mari sera au courant, soit vous allez me sucer et on sera quitte. Puis comme ça, pas de franchise, votre mari nen sera jamais rien. On est tous contant et gagnant.
Je reste bouche bée, je ne sais pas quoi dire. Je ne peux pas le sucer, jaime mon mari et il est tellement repoussant cette homme, mais je ne veux pas que mon époux soit au courant.
_ Excusez moi mais je ne peux pas faire ça, je suis marié et...
Il ne me laisse même pas le temps de finir ma phrase qui me dit:
_ Très bien, alors appeler le immédiatement. Je veux faire le constat avec lui.
Je ne sais plus quoi faire , le temps tourne, jai du froid dans la voiture et je dois vite rentrée pour préparer le repas. Je suis coincée, quelle horreur.
Je réfléchis un long moment, je déteste ça en plus et surtout avec un inconnu qui me dégoûte dautant plus. Mince, cest le pire scénario possible mais ai-je réellement le choix ? Non, je dois me rendre à lévidence, je vais devoir le sucer.
_ Cest... cest...cest daccord lui dis je en hésitant.
_ Cest à dire ?
Jose pas le regarder dans les yeux, mon regard est vide, je pense à mon mari, mes amis et ma famille. Que penserait il de moi à ce moment ?
_ Je vais vous tailler une pipe.
Il sourit de nouveau, matt par la main, ouvre larrière de son fourgon . Il entre et me fait signe de monter.
Me voilà à lintérieur, les bras ballants, humiliée par la situation. Je pense encore à mon époux, notre jour de mariage. On était si heureux. Maintenant, tout sapprêter à changer dans les minutes qui viennent à cause dune malheureuse rayure.
_ Alors jadore connaître le petit nom de la cochonne qui me suce . Cest quoi le tien ?
Jose pas lui dire, mais après tout, quest ce que ça changera.
_ Je mappelle Lucie.
_ Très bien Lucie, je vais rester debout et toi tu vas te mettre à genoux pour réparer ta vilaine bêtise.
Je mexécute et me retrouve à genoux devant son entre jambe.
Il commence a défaire sa boucle de ceinture, puis le bouton à pression du pantalon. La fermeture descend, le pantalon tombe sur ses chevilles. Il est devant moi, en caleçon noir.
Je ne vais jamais y arriver. Je peux voir que lui est très satisfait de la situation, son caleçon est déjà trop étroit.
Il le baisse et le fait tomber également sur ses chevilles.
Une forte odeur de pisse est présente. Elle vient de sa verge.
Je déglutis, jai envie de vomir, mon visage est crispé.
Son penis nest pas très gros, dix douze centimètres en érection, pas très epais. Ses testicules sont recouvertes de poils, tout comme le bas de sa queue.
Il la prend en main et se masturbe légèrement devant mon visage.
_ Détends toi Lucie, je suis sur que tu vas adorer. Elle ne te plait pas ma queue ?
_ je ne vais pas y arriver, ça pue, cest immonde.
Il me fusille du regard et me dit:
_ Appelle ton mari alors ?
Merde, je nai plus le choix.
Je saisis sa bite dans ma main droite et commence à le branler très doucement.
_ Oh cest tellement bon ça. Vas y lèche la .
Il a les bras ballants, me regarde faire.
Je nai vraiment pas envie, elle sent fort, elle est mal lavée, mais je nai pas dautre choix.
Jai le visage froncée, je me lance, jouvre la bouche, sors ma langue à peine humide et commence par lécher le penis. Jose pas aller sur le gland, lodeur me rebute.
Je le vois lever la tête, heureux de la situation. Il a lair daimer ça. Il ferme les yeux, sa respiration accélère .
Je continue à faire plusieurs aller retour sans toucher le gland toujours aussi puant.
Son penis est gorgé de sang, bien dur. Lui il est droit comme un pique, toujours les bras ballant, il fait quelque petit bruit.
_ Lèche moi le gland maintenant, me ditil dans une respiration saccadée.
Oh non, cest le moment, je nai pas le choix. Je prends mon courage à deux mains et pose le bout de ma langue sur son gland, je fais des petits tour autour de lurètre.
_Oh oui, putain que cest bon. Prends la dans ta bouche maintenant.
Je retiens les larmes, je ne veux pas pleurer et je veux surtout en finir au plus vite.
Jouvre grand ma bouche et gobe son gland et aussi la moitié de sa queue. Un goût très amer, acide, comme un peu du lait tourné me donne la nausée. Je pense quil a du pisser très récemment et mal nettoyer.
_Aaaaaaaaah vas y, plus fort Lucie .
Il pose sa main droite derrière ma tête, pour me montrer la cadence quil souhaite.
Son gland frappe le fond de mon palet à plusieurs reprise, la cadence saccélère, il lève les yeux au ciel et fait de petit gémissement de plaisir. Mes deux mains sont sur le bas de ses fesses pour garder mon équilibre.
Je commence à avoir mal à la mâchoire a force de faire des vas et viens.
Il appuie larrière de ma tête et mon visage viens se cogner contre sa touffe de poil.
Je le vois reculer un peu son bassin.
_Oh putain, oui, comme ça, accélère ! Plus fort Lucie !
Il saisit ma tête avec ses deux mains, et commence à me mettre des coups saccadés doux, puis, de plus en plus violent.
Ma bouche est légèrement plus ouverte, sa queue et notamment son gland frotte durement ma langue et viens frapper larrière de ma gorge, pratiquement la glotte. Je commence à avoir du mal à respirer, je narrive plus à avaler ma salive. Ça commence à couler partout.
Heureusement il le remarque et sors de ma bouche.
Je recule, tête baissée, un filet de bave relié ma bouche a sa bite. Ma poitrine se gonfle puis se dégonfle encore et encore pour reprendre mon souffle.
Lui , il me tient encore larrière de la tête avec sa main gauche. Avec la droite il se branle de plus en plus vite.
_ Ça te plait ça hein ? Elle est bonne ma queue ? Je vois ton regard qui en redemande.
Je ne réponds pas, toujours la tête baissée, envie de pleurer. Je me frotte la bouche pour enlever le surplus de bave et de filet qui relie sa queue et les lèvres.
Il fait un pas vers moi, colle sa queue sur ma joue et me dit :
_ Allez reprends la dans ta belle bouche. Elle est tellement bonne ta bouche. Elle est faite pour ça.
Je lève la tête, le regarde dans les yeux, je peux deviner sa jouissance intérieur de me voir soumise comme ça.
Sa queue frotte ma joue droite, ma propre bave qui était sur son sexe vient finir contre ma joue. Je décale ma tête vers la droite tout en ouvrant la bouche et accueille de nouveau sa verge.
_ Oh oui, vas y cest bon, tu suces trop bien Lucie. Jaime tellement prendre ta bouche.
Je fais à nouveau des vas et viens , salivant beaucoup sur son gland qui frotte le dessus de ma langue.
_ Branle moi en même temps, vas y ma cochonne.
Je déteste entendre ses mots, je pense encore à mon mari, jai envie de pleurer. Jai gâché mon mariage en quelques minutes.
Je le branle doucement en mettant de léger coup de langue sur lurètre.
Ses yeux sont tourné vers le plafond de son fourgon, je sens quil ne va plus résister longtemps.
Avec ma main droite, je prends sa queue et le masturbe tout en le suçant . Ma main gauche est de nouveau collé à son fessier pour ne pas tombé. Jai mal aux genoux, ma mâchoire me fait horriblement souffrir et le goût de sa bite et atroce. Vite que se supplice se termine.
Il dépose à nouveau ses deux mains crasseuses sur larierre de la tête .
_Oh oui, oh oui, putain ça vient. Aaaaaaargh
Oh même moment, une substance visqueuse et amère atterit sur le fond de ma langue.
Lui, il est tout tendu et ressort rapidement de ma bouche. Il pousse des petits gémissements.
Le goût est amère et acide, la texture très visqueuse ce qui me fait tout renvoyer, en recrachant, un filet de sperme coule sur mon menton et quelque goutte sur mon sweat. Je me recule et lache sa queue.
_ Oh putain que cétait bon, me ditil en secouant sa bite à moins de 30 cm de mon visage.
_ Cest bon, je peux y aller maintenant, lui dis je en messuyant le menton contenant du sperme avec ma main gauche.
_ Tu me nettoies la bite et après on est quitte.
Je souffle et lui dit :
_ Tu as du papier pour que je nettoie ?
Il me regarde et sourit:
_ Pourquoi faire, tu as une langue et une bouche, nettoie la avec.
Je termine mon travail jusquau bout. Jaspire sa queue, et vide le reste de son jus dans ma bouche. Cest immonde, mais je finis par avaler le peu de sperme quelle contient. Je la ressors et recule.
_Voila cest bon, cest terminé.
Je me relève, mal au genoux et au dos. La mâchoire endolorie également.
Je le regarde, remettre son caleçon et pantalon. Au moment où je mapprête à sortir du fourgon il me dit:
_ Attends Lucie !
Oh non , quoi encore, il nen a pas eu assez.
_Quoi ? Lui dis je en tournant ma tête vers lui.
Il me tend un bout de papier, je latt.
_Voici mon numéro, nhésite pas à me rappeler si tu as encore envie de passer de bon moment.
Je glisse le papier dans larrière de mon jeans et ne dis pas un mot.
Jouvre les portes du Fourgon et ressors.
Le vent me glace le visage comme pour me punir de mon acte ignoble.
Je progresse jusquà ma voiture comme un zombie, je me remémore toute la scène.
Jouvre ma voiture, mets la clef sur le contact. Au moment où je mapprête à démarrer, jéclate en sanglot, pose ma tête contre le volant. Des larmes coulent sur mon visage, jai encore le goût ignoble de son sperme dans ma bouche. Des gouttes son présente sur mon sweat.
Mais comment jai pu faire ça.
Je me sèche les yeux, démarre la voiture et rentre chez moi.
A mon retour,
Je pars vite me doucher et surtout me brosser les dents. Je le faits au moins trois fois en insistant sur ma langue, souillée par cette bite et homme ignoble.
Quelques heures plus tard, mon mari rentre de son travail, mon comportement doit être des plus normales mais au fond de moi, je sais que rien ne sera plus jamais comme avant.
FIN
(Cette histoire peut se terminer comme cela ou suivant vos commentaires, je peux envisager une suite. Nhésitez pas à me dire dans quelle direction vous voulez voir évoluer Lucie.)
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