Avec René
Je lai largué : jen avais marre dun type pétrifié, coincé à des certitudes dun autre âge. Je me souviens encore du lieu : sous les marronniers de la promenade. Il se croyait lêtre le plus indispensable, le meilleur amant
Tu parles dun gars. Il nosait pas caresser ce qui était sous ma jupe, quand nous étions au cinéma. Pour lui voir une affiche avec une femme dénudée était un scandale. Je lai laissé mijoter dans sa crasse. Je me sens mieux, sauf que jen suis réduite à rester seule, même au cinéma.
Le temps passe, lété arrive, je suis toujours seule. Bien sur jai des copines, des copains, mais personne pour me faire lamour. Samedi nous partons en groupe à la plage. Entourée de filles, pas un garçon à lhorizon. Tant mieux, je suis mieux ainsi sans embêtement. Cest au retour que les choses se gâtent : le chauffeur prend dun gentil type, plus âgé que nous. Il prend la place à coté de moi. Il se met à bavarder. Je sais presque tout de lui : il est veuf, avait une mère, quil travaille.
Il me distrait au moins. Sauf quil cherche à me toucher les jambes. En réalité il me touche en se poussant. Jimaginais déjà des choses allant jusquau quasi viol accepté.
Cest moi qui le force à venir maccompagne chez moi : jai une peur bleue la nuit, ce qui est vrai. Il se moque de moi tout le long du court chemin de ma maison. Je suis e de linviter à prendre un verre. Il accepte à contre cur. Il est chez moi, le premier homme depuis une éternité. Là jai envie quil me fasse des machins que je ne connais pas encore, et même celles que je connais. Cest difficile à demander.
Tant pis, je me lance : je vais dans la chambre, me déshabille pour revenir le voir, lui un homme, nue, totalement nue. Je suis vite contre lui mes lèvres sur les siennes. Il ne résiste pas, enfin René ne résiste pas. Je me sens bien dans ses bras. Il me serre presque trop fort. Je pense à ce que je voudrais : quil me
..et me
..ensuite quil
.
Mes pensées deviennent totalement érotiques. Je le veux, cest tout. Quil me fasse lamour : jen manque tant. Je me frotte à lui, je sens son corps contre le mien, je sens surtout sa queue bander. Il a envie, moi aussi. Allons-y. Je passe une main sous son t-shirt. Il est plus musclé que je le croyais. Je sens ses mains sur mes épaules, sur un sein, puis enfin sur une fesse. Je respire, il ose me toucher, il va me
Je le guide vers la chambre. Enfin René se déshabille devant moi : je vois une bite pour la première fois depuis longtemps : cest beau avec ses veines apparentes et un but de gland qui dépasse. Il me semble quil met bien longtemps pour se montrer. Jespère quil aime les filles ? Il aime les filles quand il passe sa main entre mes jambes, quil remonte doucement vers ma chatte, vers mon trésor inexploré depuis un temps certain. Il arrive lentement, très lentement, à me faire tomber dinquiétude, sur ma chatte. Que cest bienfaisant de le sentir là. Il attend une éternité avant de toucher convenablement. Jen ai envie moi. Il ne me touche quà peine. René pose sa bouche à la place de son doigt. Cest un pressé. Je sens déjà sa langue sur moi. Il me lèche, relèche, sans cesse. Il nattend pas que je finisse un orgasme pour recommencer. Il menvoi au paradis plusieurs fois. Je ne men lasse pas.
Il y met ses doigts aussi. Jai sa langue sur le clitoris et deux doigts dans le vagin. Je suis gâtée : cest je crois bien la première fois que jai tant dégards. René continu, il caresse bien plus bas, sans rien me demander, comme une chose normale, il pose deux doigts, caresse un peu, juste un peu avant de les entrer dans le petit trou. Ca cest la première fois. Cest un peu gênant pendant deux secondes ensuite cest génial. Je ne saurais dire à quels moments jai joui. Cétait je crois me souvenir, continuel.
Et moi qui ne lavais même pas touché. Pourtant une si belle queue devait avoir été léchée pour le moins. Mais moi, je ne savais pas faire cette chose affreuse pour mon ex.
Il débandait, je ne le voulais pas, jai continué avec ma bouche. Quand enfin il grossissait je pouvais men servir encore. Cest là que jai demandé quil me sodomise (en réalité je lui ai dis : encules moi).
Il est venu sur le petit trou, la caressé avec le bout du gland, en a fait le tour deux ou trois fois. Je le sentais bien hésiter.
Jai en allant en arrière : il comprit en entrant. Il ma fait un mal de chien. Puis jai senti une gène dans le derrière, et enfin ce plaisir bizarre davoir une queue dans le cul. Je voulais à la fois quil reste, quil senfonce et quil sorte. Il est resté. Jai senti le plaisir monter bien haut. Je soupirais mon plaisir, il soufflait comme un phoque. Je lai sentir sépancher dans mes tripes. Ca a déclenché un orgasme nouveau.
Nous ne sommes restés immobiles quun court instant. Jai voulu le lécher, il na pas voulu. Je lai branlé, il sest laissé faire en me léchant le clitoris A mon tour jai pu lui caresser lanus quil a sensible. Mon doigt était en lui quand il jouissait encore, en même temps que moi.
Nous avons pris une douche ensemble : il bandait encore. Je le voulais. Je me suis penché, jai pris sa queue juste pour la gouter. Cétait agréable, jai continué : quand il a jouit jai tout gardé dans ma bouche. Au début comme ça, ensuite pour le gout. Jai mis un bon moment avant de tout avaler. Cétait agréable davoir sa semence, son élixir dans ma bouche. Ensuite il ma fait penchée en avant, ouvert les fesses. Sa bite est venue dans la raie ? Jattendais ce quil a fait : il ma enculée, jai jouit rien quavec sa bite.
Plus tard, plusieurs semaines après je lui ai demande de mépouser. Il a dit oui.
Comments:
No comments!
Please sign up or log in to post a comment!