Escapade En Ville
Depuis mon écart de conduite avec Julien je m était promise de ne plus recommencer mais mon manque de relation conjugal me poussa à faire n importe quoi une nouvelle fois et ce jour la je me suis réveillé avec la ferme intention de me faire sauter.
Ce jour-là, je portais une longue jupe descendant jusquaux chevilles, suffisamment ouverte sur tout un côté, pour que, dès que je faisais un pas plus grand que nécessaire, on puisse apercevoir que je portais des bas maintenus par un porte-jarretelles. Javais dégrafé les quatre premiers boutons de mon chemisier et marchais droite dans la rue, lunettes de soleil sur le nez, cheveux détachés tombant en dessous de mes épaules, parfaitement consciente et fière du regard que les hommes portaient sur moi. Je me sentais belle, désirable ; je me sentais femme fatale, prête à toute les folies.
Je décidai de marrêter dans un café afin de boire quelque chose. La chaleur de cette fin de journée de juin, alliée à lexcitation qui ne mavait pas quitté depuis mon réveil, mavaient asséché horriblement la gorge. De plus, je ne me sentais pas du tout disposée à rentrer chez moi où rien ni personne ne mattendait.
Je rentrai donc dans le premier bar qui se trouvait sur mon chemin et allait massoir dans le fond de la salle. Il y faisait bon ; la climatisation était parfaite, pas trop froide. Un serveur ne tarda pas à venir prendre ma commande et je me laissai tenter par une bonne coupe glacée et un grand verre deau fraîche.
Il y avait très peu de gens attablés, trois couples et une personne âgée lisant un journal. En revanche, au comptoir, des hommes sirotaient des bières, captivés par un grand écran diffusant des courses de chevaux ;; des parieurs de toutes classes sociales, nayant pas trouvé mieux pour perdre leur argent.
Le serveur revint avec un plateau portant ma coupe glacé et mon verre deau. Je réglai la note tout de suite puis mattaquai à la boule au chocolat, laissant doucement fondre la glace sur ma langue ; cétait délicieux.
Plongée dans mes pensées, je navais pas prêté attention au fait que, ayant croisé et décroisé mes jambes à plusieurs reprises, lune delle avait fini par se découvrir totalement par le côté fendu de ma robe. Ce fut le regard insistant de lun des hommes posté au bar, qui me fit men rendre compte ; ses yeux se promenaient, sans aucune discrétion, de ma cheville à la courbure de ma cuisse.
Trouvant cela plutôt amusant, je fis comme si je navais rien remarqué et continuai à déguster ma glace, mais de manière plus sensuelle ; à présent, je ne pensais plus à ma soirée, mais essayais plutôt dimaginer ce qui pouvait bien se passer dans la tête de lhomme qui me regardait avec tant dinsistance ; aimait-il le spectacle gratuit que je lui offrais ? Je fermais les yeux et transforma le regard de linconnu en une main, une main caressant doucement ma cheville, des doigts se promenant lentement le long de ma jambe, effleurant à peine la soie de mon bas. Je sentis des frissons me parcourir le corps tandis que jimaginai cette main jouer avec un des élastiques de mon porte-jarretelles, prendre possession de ma peau nue, déviant, lentement, mais sûrement, vers mon intimité déjà bien humide.
- Excusez-moi, mademoiselle.
La voix de linconnu me fit sursauter ; je ne lavais pas entendu venir ; il se tenait devant moi, bien droit, un large sourire aux lèvres. Avait-il remarqué mon trouble ?
- Que puis-je faire pour vous monsieur ? demandai-je, pensant que, vu létat dans lequel jétais, cétait plutôt lui qui pouvait faire quelque chose pour moi.
- Cela va peut-être vous paraître indécent, mais je vous observe depuis que vous êtes entrée dans ce bar
- Et ? fis-je, voyant quil narrivait pas à finir sa phrase.
Javais réussi leffet escompté : linconnu sétait retrouvé décontenancé par ma réplique.
- Eh bien, dit-il, vous nêtes pas
- Je ne suis pas quoi ? Arrivez-vous à finir des phrases ?
- Jai un peu de mal en ce moment. Puis-je massoir un instant avec vous ?
- Pourquoi pas, si cela peut vous aider à terminer vos phrases, répondis-je sur un ton amusé.
Finalement, il y arriva
à terminer ses phrases. Je dois même avouer que, une fois lancé, il était le genre de personne intarissable, à la limite du saoulant ! Mais il avait une voix jouant en sa faveur, grave, très agréable à entendre, une de ces voix qui vous donne facilement le frisson. Physiquement, il nétait pas spécialement beau, ni moche du reste, mais il dégageait un charme étonnant, presque envoûtant.
- Il faut que jaille aux toilettes, dis-je. Accompagnez-moi !
- Je vous demande pardon ?
- Je vais me lever, me rendre dans les toilettes et je veux que vous my rejoigniez. Attention, car je nattendrai pas éternellement. A vous de voir si vous voulez saisir votre chance ou pas.
Sur ces mots, je me levai et suivis la flèche qui indiquait les toilettes en bas dun escalier. Je neus pas à attendre longtemps que mon inconnu ce décide : je navais pas encore atteint la dernière marche, que jentendis des pas derrière moi. Je me retournai et, tout en fixant mon bel inconnu droit dans les yeux, je portai une main entre ses jambes afin de caresser son membre au travers du pantalon. Son sexe se mit à durcir très rapidement ; son souffle saccéléra. Je défis lentement sa braguette et dégagea le membre que je pris à pleine main. Nous étions toujours au bas de lescalier et je pouvais apercevoir des gens aller et venir dans la salle du haut ; penser que quelquun, à nimporte quel moment, puisse descendre ou bien sortir des toilettes et nous surprendre, augmenta encore plus mon état dexcitation.
Tout dabord, il entreprit de membrasser les chevilles, lune après lautre, puis commença à monter tout doucement, promenant sa langue le long de mes bas de soie. Jétais tellement excitée que javais hâte quil arrive à mon clitoris. Mais le fourbe prenait un malin plaisir à traîner. Je le sentis renifler ma petite culotte trempée de ma liqueur odorante ; ses doigts effleurèrent mes fesses, me faisant lâcher quelques petits gémissements. Enfin, une main se glissa entre mes jambes que jécartai un peu plus afin de lui faciliter laccès. Elle se mit à me caresser tendrement au travers de ma culotte ; mes hanches se mirent à onduler en parfait accord avec le mouvement de la main ; mon clitoris était gonflé à son maximum.
Les doigts écartèrent enfin le fin tissu, dégageant mes lèvres, et la pointe dune langue vint titiller mon bouton dor. Alors que je commençai à me sentir gagné par les volutes du plaisir, que mes gémissements avaient gagné en intensité, jentendis quelquun entrer dans le toilette femme dà côté ; je savais que la personne ne pouvait pas ne pas mentendre ; quallait-elle faire ?
Je ne pus mempêcher dhurler de plaisir lorsque deux doigts pénétrèrent mon intimité, tandis que mon clitoris se retrouvait délicieusement emprisonné entre les dents de mon inconnu. Une onde de chaleur bienfaisante commença à envahir mon bas-ventre ; ma respiration se fit de plus en plus rapide et mes gémissements quasi ininterrompus. Je nentendais pas ce que faisait la femme dans lautre toilette, mais jarrivais à me limaginer, assise sur la cuvette, culotte entre les jambes, loreille collé à la paroi, les yeux fermés, se caressant sa vulve humide.
Les doigts se mirent à tourner de plus en plus vite en moi ; la langue se fit de plus en plus pressante sur mon clitoris ; londe devint une vague submergeant lintégralité de mon corps. Jenfonçai mes ongles dans le cuir chevelu de mon inconnu, maintenant ainsi son visage collé à mon vagin ; la vague devint une explosion et je mis à crier ma jouissance sans retenue, à pleins poumons, lâchant quelques obscénités à lencontre de mon bienfaiteur. Les tremblements qui suivirent mobligèrent à masseoir sur la cuvette et il me fallut de longues secondes avant de récupérer mes esprits.
Mon bienfaiteur était toujours à genoux devant moi, sa queue bien droite, son regard rivé entre mes cuisses en partie recouvertes par un pan de ma jupe. Je le fis se relever et enfournai sa verge dans ma bouche, tout en dégrafant son ceinturon. Le pantalon glissa à ses chevilles, puis je fis tomber le caleçon et me mis à lui masser les testicules ; à présent, cétait à son tour de pousser des gémissements. A côté, la femme nétant toujours pas repartie, je navais plus aucun doute sur ce quelle était en train de faire.
La grosse veine battit plus fort et je compris que mon inconnu nétait pas loin de partir. Je libérai sa verge, il se plaça derrière moi et m obligea à me pencher en avant, me faisant prendre appuie sur la cuvette. Je me mis en genoux, j'écartai mes fesses et il observa un moment mon petit anus.
Jentendis un bruit très caractéristique de lautre côté de la cloison ; la femme était en train duriner.
De la pointe de sa langue, il commençai à jouer avec mon anus et je me mit aussitôt à onduler des hanches. Il enfonçât deux doigts dans ma vulve, afin de les lubrifier de ma mouille, puis, sans crier gare, il pénétra lanus entièrement offert ; un doigt tout dabord, puis, très vite, le deuxième qui entra sans difficulté. De mon autre main, je me mis à masturber mon clitoris lentement, puis de plus en plus vite, tandis que ces doigts faisaient des va-et-vient dans lanus devenu plus flexible, au même rythme que ma masturbation.
Mon inconnu présenta le bout de sa queue a l entrée de mon anus poussa très fort, son membre entier s'enfonça en moi sans résistance, il commença des va et vient lent puis il accéléra de plus en plus vite jusqu'à a que sa semence me remplisse, il me regarda avec un air attendrissant sa queue toujours en moi, il se retira et remis ma culotte en place il c est penche vers moi pour déposer un baiser sur mon front puis, sans un mot il quitta le toilette. Quelques minute plus tard je quittai le toilette en même temps que notre voisine dinfortune. Nous nous échangeâmes toutes deux un regard que je crus complice, puis je quittai le bar, satisfaite pour un temps, mais ne sachant pas comment sappelait mon inconnu.
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