Pour Le Plaisir De Tous Le Monde...
De son siège passager, Sophie me dictait la direction à prendre pour nous mener jusquau lieu désiré. Après quelques banalités partagées entre nous lors de nos premiers kilomètres, la conversation avait très vite pris une tournure plus débridée par la suite. À me faire croire que le courant semblait bien passer. Et pendant tout le chemin nous avions longé des champs légèrement enneigés à perte de vue, ainsi que des bourgs, et cela jusquà passer de panneau de la localité souhaitée.
Encore cinq cents mètres à parcourir avant que Sophie me fasse stopper devant un portail en fer forgé, enchainé dune chaine rouillée et clos dun cadenas à code. Connaissant elle seule la combinaison, et par pure sécurité Sophie sorti de lhabitacle et se dirigea vers le portail. En attendant quelle me donne laccès du domaine, pour me faire patienter, je posais mon regard sur la grosse bâtisse délabrée qui se trouvait en arrière-plan. Me demandant comment on pouvait laisser pourrir un si beau site. Ce fut le grincement que produisait le portail en pivotant sur ses gonds, qui me fit sortir de ma pensée, pour mintéresser à nouveau à Sophie, qui me faisait des grands signes de la main pour minviter à entrer.
Sitôt stationner, cette même Sophie ouvrit le coffre et y sortit une paire de bottes en caoutchouc. Alors quelle les enfilait, des hennissements provenant de la prairie superposée se firent entendre. Cela la fit sourire.
- Ils nous ont entendus. Me fit-elle.
Comme pour lui donner raison, dautres hennissements retentissaient. Une fois chaussée, elle se pressa de mentraîner dans la grange où était stocké le foin. Dont jen chargeais deux bottes sur la brouette, avant de la suivre jusquà la prairie quoccupaient les deux ânes. Dont un était pris dune certaine raideur entre les pattes arrière. Je surpris les yeux écarquillés de Sophie face à la démesure de lengin dont était doté lanimal.
- Ah bah alors ! Lâcha-t-elle, le rouge aux joues.
- Effectivement, cest impressionnant, dis-je. Ah si seulement
- Quoi ?
Et nous éclatâmes de rire. Pendant tout le moment quavait durée notre office, Sophie ne cessa de porter son regard sur la hampe de lâne qui devait mesurer un bon trente centimètre.
Sur la route du retour, chauffage plein pot dans la voiture, elle se plaignait davoir froid aux pieds. Je me gardais bien de lui avouer que jétais dans le même cas quelle. Il faut avouer que de passer une bonne heure dans un pâturage, avec une température négative, cela est loin de faire du bien à lorganisme.
Contre toute attente, elle fit glisser ses pieds hors de ses bottes, quelle avait gardé. Elle retirait tout de suite après ses chaussettes avec un soupir daise, pour poser ses pieds nus sur la sortie daération du tableau de bord.
- Je ne pense pas que cela soit une bonne idée ! Lui fis-je pars.
- Je le sais bien, mais je nai pas le choix. Je souffre trop !
Mon regard fut comme aimanté par ses jolis pieds aux ongles laqués de rouge, exposés là tout près. Ma vue allait alors, de la route aux pieds, et vice-versa. Jétais tellement hypnotisé pas ce quelle moffrait que je ne mapercevoir pas quelle me fixait.
- Ils vous plaisent ? Fit-elle, sourire aux lèvres.
- Euh, pardon ? Fis-je.
- Ne vous excusez pas, cest tout naturel ! Vous les trouvez jolis ?
- Euh.. oui, beaucoup.
- Vous aimez les pieds ?
- Oui, quand ils attirent le regard comme les vôtres, oui.
S'ensuivit alors une discussion courtoise sur le fétichisme.
- Si je vous ai bien écouté, vous choisissez vos partenaires par rapport à la beauté de leurs pieds.
Mon cur tapa fort, très fort même, dans ma poitrine. Javais limpression que jallais mévanouir. Javais trop envie, et tout le refoulé qui était en moi remontait, doù une grande difficulté à maîtriser cette fièvre qui courait dans mes veines. Je tendais une main tremblante vers ce pied.
- Vous permettez, fis-je en me saisissant de sa cheville gauche que jattirais jusquà moi.
- Je vous en prie ! Répondait-elle en faisant pivoter son fessier sur son siège.
Signe quelle soffrait à moi. Ça avait provoqué, je me rendais compte, une décharge dadrénaline pour elle comme pour moi. Je navais pas fait grand-chose, me contentant deffleurer le dessus de ses petons. Elle sétait cambrée en arrière en poussant un gémissement. Quant à moi, ça avait été comme si javais reçu de décharge électrique dans tout le corps. Que je me mis à masser tout en conduisant. Le dessus et le dessous, de la plante du pied jusquà la cheville, du talon jusquaux orteils aux ongles vernis.
- Waouh !
- Ça ne va pas ? Je vous fais mal ?
- Au contraire. Vous me faites un bien fou. Répliquait-elle dune voix enjôleuse, tout en faisant déplacer son pied gauche posé jusqualors sur ma cuisse pour lapprocher au plus près de mon érection.
Incapable de me contenir plus longtemps, je capturais son autre peton, et y déposais un discret baiser. Elle sembla, dans un premier temps surprise de mon geste, mais némit aucune revendication. Jen profitais alors pour embrasser plus franchement ses orteils tout en laissant traîner mon pouce le long de la délicieuse voûte plantaire. Son pied se tendit alors quun sourire de contentement séchappa instinctivement de sa bouche et dans un souffle elle me confia.
- Cest vraiment délicieux, ce que tu me fais
Il était évident quelle était en train de me tester. Je me demandais quelle allait être la suite des événements ?
Tout en massant ses pieds, je posais un bref regard du côté de sa fourche. Jeus le souffle coupé, en découvrant que létoffe était plus foncée quailleurs, comme imbibée. Le doute nétait plus permis cette femme était plus quexcitée. Je soupçonnais quelle létait depuis linstant où elle mavait demandé gentiment de laccompagner, et cela sous la tutelle de sa chère maman.
Je navais pas trop à me forcer pour mimaginer cette même Sophie, celle-là même qui respirait la santé et une sensualité animale, passait un long moment à se caresser le sexe dans son lit pour meubler ses nuits de solitude. La mettant dans un état dexcitation indicible. Au point de lobliger à faire appel à un godemiché.
Il avait fallu franchir une agglomération pour quelle reprenne une position, que je dirai de présentable sur son siège.
- Je devine que ça va mieux ? Fis-je.
- Oui merci, et grâce à toi. Répondait-elle. Mais je tavoue, que tout cela ma mise dans une hyper excitée, se confiait-elle.
- Ah oui ! Répliquais-je, tu permets, ajoutais-je, en passant au tutoiement à mon tour, alors que je glissais ma main entre la fourche de ses cuisses.
- Mais tu es chaude, bouillante ! Fis-je en frottant létoffe imbibée de mouille.
- Je te lavais dit. Je suis en manque en ce moment. Mon dernier rapport remonte à cinq semaines. Une brève étreinte qui mavait laissé sur ma faim.
Tout en me racontant sa vie sexuelle, elle se liquéfiait de plus en plus sur mes doigts.
- Trouve vite un endroit tranquille, je nen peux plus ! Sexclama-t-elle.
- Tu es sûr ?
- Je ten supplie ! Je veux que tu me fasses jouir comme la chienne que je suis.
- Là tu peux compter sur moi.
Je me mis sur le champ à la recherche dun coin isolé, et cela avec laide de Sophie, qui connaissait un peu plus la région que moi. Et malgré les nombreux sous-bois dans la région, il était dur de trouver le coin idéal. Au point que Sophie impatiente, et avide de sexe, me proposade retourner au manoir. Celui même quon venait de quitter. Massura quelle savait où était la cachette où se trouver peut-être un double de clé pour pénétrer lhabitacle.
- Enfin je te parle de ça quand je venais régulièrement.
Pendant tout le trajet javais prié que la clé sy trouve. Je ne vous cache pas que jétais moi aussi impatient de me retrouver en tête à tête avec elle.
Quel soulagement quand Sophie me tendit la clé, toute joyeuse de sa découverte. Et très vite nous nous réfugions à lintérieur. Son choix se porta sur le salon. La pièce la plus chaude du domaine, à son avis.
- Alors, lendroit te plaît ? Fit-elle, tandis quelle verrouillait la porte dentrée. Jespère pour moi que tu as envie de moi ?
Pour toute réponse, je lui exposais la bosse que faisait mon érection sous la toile de mon pantalon. Elle la fixa quelques secondes, avant de laisser tomber :
- Cela te dérangerait que je contrôle ton outillage.
Et là, elle déboutonna mon pantalon, puis ma braguette, le laissant glisser lentement à mes pieds. Elle fit connaissance avec mes couilles pendantes, et ma queue dressée.
- Mets-la-moi vite, et baise-moi fort ! Me supplia-t-elle.
De tels propos sortant dune bouche dune grande dame comme elle, mexcitait au plus haut point. Je me sentais comme attiré plus que jamais par cette relation, alors quelle se frottait sur ma queue tout en lâchant :
- Je ten prie, ne me laisse pas comme ça, mets-la-moi vite, je ne tiens plus.
Elle sécarta de moi et courut jusquau fauteuil crapaud en velours rouge où elle se plaça à quatre pattes soffrant à moi. La prendre de cette manière navait rien de vraiment original. Alors que je prenais position derrière elle, cette dernière glissa une main entre ses cuisses et se saisit de mon sexe. Jécartai pour mon plus grand bonheur les deux globes laiteux de ses fesses autant pour faciliter la pénétration, que pour me régaler du plaisir de voir mon sexe disparaître dans ses chairs.
Mais alors que je mattendais être guidé entre ses lèvres luisantes de mouille, elle le conduisait jusquà le faire buter contre son anus.
- Cest vraiment par là que tu désires ? Lui fis-je.
Elle tourna la tête de mon côté, et dun mouvement rapide du cou, elle dégageait la poignée de mèches de cheveux qui lui barrait la vue. Elle me regardait en souriant.
- Arrête de parler, et fait ce que je désire
- Je veux bien mais avant il faut que je le prépare un peu. Pour le rendre accueillant.
- Tu as déjà enculer ? Me fit-elle.
- Oui. Répondais-je.
- Des mecs ?
- Aussi.
- Quelle différences ?
- Aucune, un trou de balle reste un trou de balle.
- Vas-y maintenant, je ne tiens plus. Répliquait-elle en relâchant sa prise sur ma queue.
Je magenouillais devant son postérieur et enfuis ma bouche entre les deux demi-sphères, et dune langue habile me mit en devoir de tout faire pour que lanus se dilate. Mappliquant à préparer au mieux un trou qui allait subir une pénétration. Je glissai pour cela lentement un doigt, puis deux. La situation, ne manquait pas de piquant. Jugeant quil était à cet instant prêt à me recevoir, je stoppais la caresse buccale pour laisser la place à mon pénis. Forçant lentement le sphincter. Dont le gland ouvrait un passage au centre du petit anneau. Sophie creusait les reins. Un léger tremblement parcourut son dos quand le gland disparut, comme avalé par les chairs dilatées.
Je mimmobilisais un instant afin de lui laisser le temps de shabi à moi. Mais la coquine était trop impatiente pour attendre plus longtemps, delle-même dun léger mouvement du postérieur, elle me fit comprendre que je pouvais pousser plus loin mon investigation. Je me laissais convaincre et me laisser tomber de tout mon poids sur elle. Appréciant à sa juste valeur mon sexe disparaître graduellement entre ses fesses. Et cela jusquà venir buter contre les fesses blanches.
Après de nouveau quelques secondes de répit je fis machine arrière, sortant ma verge dans sa longueur du canal annelé, pour mieux y replonger linstant daprès avec un peu plus de vigueur. Je sentais à chaque pénétration, létroit conduit se faisait plus accueillant, assez pour que augmenter la cadence de mes intrusions.
- Encore ! Tout au fond, baise-moi tout au fond. Me sollicitait-elle.
Jétais fasciné et excité par la situation. Sophie accompagnait chaque plongée dune exclamation de volupté.
- Cest bon
Oh que cest bon ! Ne cessait-elle de répéter.
Encourager par de tels propos, je continuai mes assauts en accélérant peu à peu le rythme, et pour le plus grand plaisir apparent de Sophie. Que son feulement intermittent était maintenant devenu continu. Au bout de quelques minutes dun tel traitement, le souffle me manquer. Là deux choix se portaient à moi, tout arrêter pour reprendre mon souffle ou au contraire accélérer la cadence de mes coups de boutoirs pour atteindre les préfixes annonçant un proche orgasme. Alors je la ramonais, ramonais fébrilement, et cela jusquà arriver à mon but, la jouissance !
Je me soulageais en beuglant, inondant lorifice gras de ma semence. Dès la dernière goutte transférait, je repris peu à peu mes esprits. Après lui avoir claqué ses fesses, je sortis ma verge de la gaine tiède dans laquelle elle avait pris tant de plaisir.
Sur la route du retour, Sophie me confia que cétait sa mère qui avait eu lidée de manigancer cette relation. Ce qui ne métonner pas. Dailleurs je le lui en fis part.
- Dois-je comprendre là quelle ta déjà fait des avances ? Sinjuria-t-elle.
- Pas directement ! Mais je sens dans ses faits et gestes quelle serait bien tenté, de se laisser aller avec moi.
- Cela ne métonne pas delle. Elle est du genre très
très coquine.
- Cest-à-dire ?
- Il y a de ça pas longtemps encore, elle ne se privait pas de senvoyer en lair avec les jardiniers, les livreurs, les réparateurs, enfin toute personne voulant bien lui allouer une queue bandée.
- Et ton père dans tout cela ?
- No coment !
- Je vois.
La suite du trajet se poursuivit sur des confidences très coquines de la bouche de la fille sur la mère. Ce qui me poussait daller lui rendre une petite visite dans sa chambre.
- Cela a été avec Sophie ? Me fit elle, confortablement assise dans son fauteuil devant lécran de télévision.
- Très bien, comme vous laviez tant désiré. Vous permettez que jemprunte votre salle deau.
- Vous avez un problème de plomberie chez vous ?
- Pas du tout madame, cest que je nai pas envie de me faire surprendre en train de me nettoyer la queue chez moi.
- Alain, voyons, pourquoi tant de vulgarité devant une dame de mon âge.
- Oh madame laissez-moi bien rire. Venez plutôt que donner un coup de main.
Pourquoi faire ?
- Venez et vous verrez.
Elle quitta difficilement son trône pour venir me rejoindre dans la salle de bains. Sans gêne je fis tomber mon pantalon et slip à mi-cuisse lui exhibant ma verge, quelle avait déjà entre-aperçu à nombreuses reprises. Mais cela je métais bien caché den faire part à sa chère fille.
- Il ne faut surtout pas vous gêner, exhibitionniste. Me lâcha-t-elle
- Et vous voyeuse !
- Mais
mais
comment ! Je ne vous le permet pas
- Arrêtez votre cinéma et savonnez-moi plutôt la queue. Je suis un peu près sûr que vous nattendez que ça !
Sans prendre la peine dune réponse elle prit la savonnette et ouvrit le mitigeur. Après avoir choisi la température de leau, elle fit tourner la savonnette entre ses mains, et cela jusquà ce quelles débordaient de mousse. Cest seulement à cet instant quelle se jeta sur ma verge, et me la toiletta aussi bien que laurait fait une infirmière.
- Je suis un peu près sûr que davoir ma verge dans vos mains, cela vous donne des idées ! Je me trompe ?
- Voyant Alain, je ne vous permet pas. Je reste tout de même votre patronne.
- Ce nest pas parce que vous êtes patronne que vous naimez pas magner une queue. Cela nempêche pas lautre, nest-ce pas ?
- Jai eu mieux en mains !
- Je lespère pour vous. Mais voyez-vous la mienne et une grosse travailleuse ! Oui madame, elle peut ramoner une demi-heure sans problème, et tout en restant aussi dur.
- Eh bien ! Javoue être stupéfaite ! Je demande quà voir §
- Je vous voir venir.
- Javoue quà mon âge je nai plus trop la jouissance davoir le privilège de pouvoir toucher le sexe dun homme, et encore moins, enfin vous voyez.
- Vous savez madame, en échange dun beau billet, je ne serais pas à combler votre manque.
- Vous vous moquez de moi. Ce nest pas bien. Quelle couleur le billet, sempressait-elle de lâcher.
- Je dirais vert.
- Daccords ! Répondait-elle. Vous mauriez demandez un rouge que je naurais pas refuser.
- Allez vous installer à quatre pattes sur votre fauteuil, cul nue, je me sèche et jarrive.
Je ne fus pas surpris en sortant de la salle de bain de voir la chère mamie, cul tendue, prête à recevoir mon offrande. Un cul tout fripé par lâge. Avec un peu dimagination elle ressemblait à une pomme flétrie. Je mapprochais delle comme si jallais la prendre là, tout de suite. Mais au lieu de cela, je lui claquais la fesse, prit le billet sur la table et dans lélan quitter la pièce quelle avait pris soigneusement verrouiller.
Pendant le dîner, alors que je passais de personne en personne avec mon plat de service, je remarquais que la vieille me tirer une gueule pas possible. Ce qui était loin dêtre le cas de la fille. Elle était éblouissante. Comme quoi un bon ramonage peut faire des miracles. Jeus même droit à un petit message. Minvitant à passer dans sa chambre après mon service, quelle my attendrait.
Elle me reçut donc dans son antre luxueusement décoré. Moffrant par son peignoir ouvert, une vue imprenable sur ses seins, emprisonnées dans un soutien-gorge à balconnets noir, ainsi que ses cuisses gainées de nylon blanc.
Alors quelle sétendait sur son lit, je pus constater quelle portait une culotte assortie du haut. Que le triangle tendu sur son ventre rebondi moulait parfaitement les lèvres de son sexe. Sourire aux lèvres elle tirait à elle, de dessous son oreiller une ceinture noire munie dun godemiché. Cétait un merveilleux bijou fait de cuir noir tressé et dune sorte de latex noir pour le gode de taille raisonnable. Je restais debout, les bras ballants, me dandinant dun pied sur lautre.
- Tu veux bien jouer avec moi ? Lâcha-t-elle.
- Et comment
que je veux jouer avec toi. Répondais-je en me déshabillant
À suivre
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