Dépucelage De Simon (4)

Une semaine plus tard, Karim ne m’avait toujours pas recontacté. Je commençais à me dire que je ne le reverrai plus et que les seuls souvenirs que j’aurai de lui seraient ces deux fois, à la piscine et chez moi, où nous nous étions donnés sans retenue.
Et puis un matin, je reçus deux SMS. L’un de Karim :
« Salut Greg, passe chez toi mercredi matin. Ok ? Envie de te découvrir plus. Bises partout.» .Inutile de dire que j’acceptais sa proposition : « Coucou, hâte de passer plus de temps avec toi. A mercredi. Bises. »
Le deuxième SMS venait de Simon. Simon est étudiant en lettres modernes. Il a 23 ans. J’ai fait sa connaissance sur le net il y a quelques mois et on a vite sympathisé. Il m’a parlé de sa vie mais j’ai rapidement compris qu’il me mentait. Il me racontait qu’il couchait avec plein de mecs mais ses histoires n’étaient pas très crédibles. Il hésitait même pour une rencontre. Un jour, je le lui ai dit et il a reconnu qu’il mentait depuis le début. J’aurai pu lâcher l’affaire mais j’ai continué à lui parler. On a fait quelques plans cam. Plusieurs fois, je lui ai proposé de venir à la maison. Il me répondait qu’il en avait très envie mais qu’il avait beaucoup d’appréhension à l’idée d’avoir une relation sexuelle avec un homme. J’ai eu beau le mettre en confiance, lui dire qu’on ne ferait que ce qu’il voudrait, il persistait dans son refus. Il me répétait qu’il avait confiance en moi et qu’il savait que cela se passerait bien mais il inventait à chaque fois une excuse dès que j’invitais. Même une simple rencontre amicale le freinait. Si une invitation à prendre un verre dans un bar ne lui convenait pas non plus, je ne voyais pas comment notre relation pouvait évoluer. Je n’avais plus envie de discuter par cam interposée alors qu’on était à quelques kilomètres l’un de l’autre. Sait-il douter de quelques chose, je ne sais pas car le SMS disait ceci : « coucou, je suis prêt. A ce soir sur Skype. »
Le soir même, je me connectai sur la messagerie.

Il était déjà là.
-Tu as eu mon message ?
-Oui mais j’ai peur de ne pas avoir compris. Tu es d’accord pour venir à la maison ?
-Oui. J’ai bien réfléchi tu sais. Cela plusieurs mois qu’on se parle et ça fait longtemps qu’on discute d’une rencontre mais sans donner suite.
- Dis plutôt que c’est toi qui refuses à chaque fois.
- Je sais mais là j’ai changé d’avis. Je suis prêt à te rencontrer. J’ai dit à mes parents que j’allais dormir chez un copain.
- Euh ce serait pour là maintenant ?
- Oui ça te gêne ? Tu as prévu autre chose ?
- Non, non, je suis dispo. Difficile de reculer là, à moins d’aller dormir chez le dit-copain. Qu’est-ce qui t’a fait changer d’avis ?
- Le fait que tu répètes que tu seras doux, prévenant. Et puis le fait que j’ai 23 ans et que j’ai plus envie d’être puceau.
- Super. Tu verras, tout se passera bien.
- Je sais.
- Tu peux être là dans combien de temps ?
- Le temps de finir de me préparer, 22 heures.
- Humm, j’ai hâte d’être enfin avec toi.
Je lui communiquai mon adresse. Je pris une douche et enfila un polo et un short. Allait-il venir ou me poser un lapin ? Si tel était le cas, il ne fallait plus qu’il compte sur moi. Et pourtant : peu après 22 heures, on sonnait à l’interphone. C’était bien lui. Il monta. Quand je lui ouvris la porte, il était encore plus beau qu’en cam :
-Salut Simon.
- Salut.
- Tu vas bien ?
- Un peu d’appréhension mais ça va.
- Tu verras, tout va bien se passer. Mets-toi à l’aise, retire tes chaussures et viens t’asseoir sur le canapé. Tu veux boire quelque chose ?
- Non merci ça ira.
Nous nous assîmes sur le canapé.
-Tu es sûr que tu ne veux rien boire ?
-Non je me suis préparé une petite bouteille de malibu orange et je l’ai bu avant de monter. Histoire de me désinhiber.
- Donc si je mets ma main sur ta cuisse comme ça…
- Je dis que je suis prêt et que j’ai pas peur puisque je suis avec toi.

J’approchai ma bouche de la sienne et l’embrassai. Il me rendit mon baiser. Enhardi, je mis ma langue dans sa bouche. Il fit de même et nous nous embrassâmes de longues minutes ainsi.
-Je bande, me dit-il.
- Je vais le voir très vite.
Je lui retirai son tee-shirt. Ses pecs étaient finement dessinés et ses abdos bien durs. Je lui caressai sa poitrine, l’embrassai dans le cou. Je pus voir qu’il fermait les yeux. Il les rouvrit et m’embrassa. Ma main descendit jusqu’à son ventre et déboutonna son bermuda. Je glissai ma main à l’intérieur et caressa ses fesses à travers le tissu de son boxer tout en l’embrassant. Je le débarrassai de son bermuda et dans la foulée de son slip. Son sexe se dressa jusqu'à presque se plaquer contre son ventre.
—Regarde comme tu es beau, lui dis-je, en admirant sa superbe queue raide et ciselée.
- Tu te mets nu toi aussi ?
Je retirai très vite mes habits et il put voir que je bandais aussi fort que lui.
Sans cesser de l’embrasser, je me mis à le masturber doucement. Simon ne put retenir un gémissement qui devient presque un cri quand j’entrepris de lui caresser les couilles. Et puis ce que je n’attendais pas si vite arriva. Je sentis sa main sur ma cuisse qu’il entreprit de caresser. Je ne lui dis rien de peur de le freiner. Il remonta jusqu’à l’intérieur de ma cuisse et atteignit mes couilles qui ne demandaient qu’à être caressées. Je ne pus à mon tour retenir un petit gémissement. Puis il prit ma queue durcie dans sa main et me branla. Pendant quelques minutes on n’entendit que nos baisers et nos soupirs.
Sans interrompre nos baisers, je le pris par la main l’entrainai jusqu’à la chambre dont je fermai la porte. Je collai son dos au mur et l’embrassai à nouveau, caressant son dos, ses fesses. Simon prit alors une autre initiative : Une de ses mains me branlait, l’autre me caressait le cul. Il apprenait vite.
-Tu aimes bébé ? me demanda-t-il
-J’adore. Continue.
Je n’osais lui en dire plus de peur de le mettre mal à l’aide et de le freiner dans ses caresses.

Je l’entrainai alors vers le lit et le fis asseoir. Je m’agenouillai sur la moquette lui écartai les genoux. Sa queue était belle, une belle queue d’au moins 20 cm et pas trop épaisse.
-Tu as vu je me suis rasé les couilles pour toi.
- Tu as envie que je te suces ?
- Oui j’ai très envie.

Je commençai par lui lécher les couilles. Il renversa sa tête en arrière et tomba sur le lit. Je remontai ma langue le long de sa verge et la prit dans ma bouche. Je l’entendais gémir, il était en extase, mes lèvres et ma langue qui remontait et descendait le long de sa queue, lui faisait sentir comme si il était sur un nuage. Avec ma langue, je tournais autour de son gland. J’ai engouffré à nouveau son membre dans ma bouche et après quelques montées et descentes avec mes lèvres, j'ai entendu un gémissement plus fort. J’allais à sa bouche pour l’embrasser.
-J’allais pas tarder à jouir.
- Je l’ai senti.
Allongé sur le lit, nous nous embrassâmes tendrement, caressant le corps de l’autre. Avait-il envie d’aller plus loin ? Je n’eus pas le temps de lui poser la question qu’il me dit : « viens, viens en moi. ». J’enfilai une capote et pris du gel dans le tiroir.
Avec un doigt, je lui en ai mis dans l'anus et autour. J’ai présenté mon gland à l'entrée de son trou, et d'un seul coup je suis entré en lui. Comme je m’y attendais, il a crié un peu de douleur Je n'ai pas bougé en lui pendant quelques secondes.
-ça va ?
- Oui ça va, j’ai moins mal.
- Détends-toi mon ange.
J’ai alors commencé à bouger lentement en lui. Allongé sur le dos, les jambes sur mes épaules, Simon fermait les yeux non plus de douleur mais de plaisir. Il rouvrit les yeux et me sourit. Je l’embrassai à nouveau et accélérai un peu la cadence en lui. Je joignis mes gémissements aux siens.
-Tu te rappelles comment tu rêvais me prendre ? me demanda-t-il.
-Oui sur le bureau. Tu veux…
- Allonge-moi dessus et prends-moi.
Je l’amenai au bureau.
Il s’allongea sur le dos, j’écartai ses cuisses et le pénétrai à nouveau, cette fois-ci sans difficulté. Il poussa un cri bref et aigu. Je le pénétrai d'un mouvement régulier et lent, Simon avait les yeux dans le vague et semblait très loin. Il aimait la sodomie, sa première sodomie. Je le limai de plus en plus fort, de plus en plus vite, mes couilles rebondissaient sur son cul, il était bien dilaté ça glissait tout seul. Il prit sa queue dans sa main et se branla. Nous gémîmes de plus en plus fort. Heureusement que la porte de la chambre était fermée car entre ses cris aigus et mes cris rauques, on aurait pu alerter les voisins.
Lorsque je vis qu’il était sur le point de jouir, je pris sa queue dans ma main et le branlai. Il déchargea son foutre sur son torse pendant que dans un dernier râle, je jouissais au fond de lui. Nous nous embrassâmes fougueusement pendant quelques secondes.
Plus tard, sur le lit, les bisous étaient plus tendres, plus apaisés.
-Merci, merci pour cette première fois. Je ne l’oublierai jamais. J’avais beaucoup de crainte mais je ne le regrette pas de l’avoir fait avec toi.
Il m’embrassa à nouveau et me serra dans ses bras. Quelques larmes tombèrent sur ses joues. Je les essuyai tendrement et nous restâmes ainsi dans les bras l’un de l’autre sans parler. Il s’endormit dans mes bras.

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