Rencontre Entre Mecs Sur Un Stade
Près de chez moi, il y a un stade. Il est toujours ouvert. En dehors des jours de match, les vestiaires sont fermés. De temps en temps, je viens regarder.
Aujourd'hui, je suis assis sur un banc, en face de la ligne centrale. Je suis en short et baskets. Les joueurs, des ados, ne se débrouillent pas mal. On entend des éclats de rire et des :
- Oooohhhh ! Quand ils ont raté.
Absorbé par le match, je n'ai pas vu que quelqu'un s'était assis à mes côtés.
- Salut, dit-il.
- Salut, répondis-je.
C'était un beau garçon, assez grand, musclé, sûrement un joueur. Il avait des cheveux bruns, des yeux noirs profonds et un sourire éblouissant aux lèvres.
- Quel âge tu as ? me demanda-t-il.
J'ai répondu :
- Et toi ?
- 18 ans, répondit-il en bombant le torse. Et toi ?
- 22 !
- Tu joues au foot ?
- Non, je regarde, c'est tout ! Dis-je en me retournant vers la pelouse.
- C'est les gamins qui t'excitent, dit-il en posant sa main sur ma cuisse.
J'ai tourné la tête vers lui, le regardant d'un air grave. Il a sorti sa langue et l'a passée sur ses lèvres, les yeux pétillants de gourmandise. Ce faisant, ses doigts s'étaient glissés sous le tissu de mon short. Je retirai sa main et lui dit :
- T'as une carte d'identité ?
- Pourquoi ?
- Parce que si je te casse la gueule maintenant, je veux pas d'ennuis avec la police si t'es mineur.
Il fit mine de se lever pour partir. Je le retins par le bras et dit :
- Reviens, on sait jamais sur qui on tombe !
Il se rassit.
- Je veux toujours ta carte d'identité !
- Ca va ! J'ai que 16 ans. Et demi. Y a pas détournement quand le mineur de 15 ans est consentant !
- T'as l'air bien au courant...Ta carte...!
Il sortit sa carte. Il avait 30 ans. J'éclatai de rire.
- Pourquoi t'as menti ?
- Les vieux aiment les jeunes, et ...
- Tu m'as pris pour un vieux !
- Laisses-moi finir ! Et les jeunes ont un peu peur. Ils sont plus rassurés avec des mecs de leur âge. Et toi alors, tu peux me montrer la tienne, t'as vraiment 22 ans.
- Si tu veux, fis-je en sortant mon portefeuille. J'en ai que 18. C'est juste à la limite et ça excite les vieux et,
Ensemble et en riant, on a répèté en choeur et en riant,
- Ca rassure les jeunes !
Il a reposé sa main sur ma cuisse, et je l'ai repoussé.
- Pas ici, dis-je. Je viens vraiment pour regarder les s. Les gosses, ça m'intéresse pas. Je ais les pédophiles si je pouvais. Le sexe, ça doit être partagé, pas imposé. Les pauvres gosses sont traumatisés à vie. Je supporte pas ça.
- Je me suis jamais attaqué à un gamin, dit-il.
- J'espère bien !
- T'habites le quartier ?
- Oui, dit-il, mais je te connais pas assez pour t'emmener chez moi. Y a un endroit pas mal, où j'emmène mes conquêtes.
Une fois sur place, il se penche pour m'embrasser. Je tourne la tête et je dis :
- Désolé, j'embrasse pas !
- Pourquoi ?
- J'aime pas, c'est tout.
- Ca tombe bien, j'adore ça ! dit-il.
Il s'approche de moi et retire polo. Il s'agenouille, et prenant ma bite entre ses dents à travers le tissu, il me retire les baskets. Il défait les boutons de mon short et le fait glisser jusqu'à mes pieds. Il les relèvent l'un après l'autre, et me débarrasse du vêtement. Il pose sa bouche sur mon gland qui dépasse de mon mini slip. Il embrasse ma queue, tout en faisant glisser lentement l'élastique sur mes fesses bombées, puis le long de mes cuisses, arrivé aux genoux, ma bite était déjà dans sa bouche. Il lâcha mon slip et posa ses mains sur mes fesses. Ses lèvres glissant le long de mon manche, il pétrissait mes fesses. Il fit une pose et me regarda.
- Ca fait quelque temps que je t'ai repéré, dit-il. Avec un cul pareil, difficile de te louper !
- Pourquoi t'es pas venu avant ?
- J'ai cru que tu t'intéressait aux petits....
- Je t'ai dit que non !
- Oui, je sais, mais au début, tu sais !
- J'ai donné l'impression que je m'intéressais aux gosses ! Hurlai-je.
- Non ! mais...
- Tu sais que je déteste ça !
- Calme toi, on n'en parlera plus !
Il me prit dans ses bras et me conduisit vers le lit. Il se déshabilla et se coucha sur le lit. Sa queue était plus longue et plus volumineuse que la mienne. Je m'allongeai contre lui, pelotonné contre son torse, la tête dans son cou. Il me couvrait de petits bécots, dans le cou, sur la poitrine. Quand il sentit que j'étais calmé, Il me reprit dans sa bouche. Je me suis raidi immédiatement. Il a fini de m'ôter mon slip, avec une infinie tendresse. Je me suis assis et j'ai saisi son gourdin.
- Attend, j'ai mieux !
Je suis remonté vers lui, les genoux de part et d'autre de son corps. J'ai pris sa pine dans ma main et l'ai collée sur mon trou. J'ai consolidé la position et j'ai posé les mains sur ses épaules. Alors, lentement, je me suis laissé glissé le long de son pieu. Une fois assis sur lui, la pine était au fond de mon cul et sa toison chatouillait mes couilles. Je me suis mis en mouvement, montant et descendant le long du braquemart qui remplissait mon cul. Dans un râle, il prononça :
- Une vraie petite pute...
- T'aimes ça, non ?
- Continue et fermes-la !
Aujourd'hui, nous nous voyons encore, toujours au stade.
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