La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode N°233)

Suite de l'épisode 230 ''Chris au Château - Baisée dans la bibliothèque'' -

Le Marquis d’Evans se retira lentement du corps de Sa Chris lui caressant la chatte de Sa main chaude et douce, laquelle chatte, il en sortait de la mouille mélangée à Sa semence et Il s'arrêta sur le capuchon du clito qu'Il décalotta pour le découvrir hyper dur et bandé et de couleur rouge violacée.

- Et bien, Ma belle petite chienne, ton bouton d'Amour ne m'avait encore jamais fait voir cette couleur....

Ses caresses électrisaient Chris. Elle, dont la poitrine se soulevait très fort et dont la peau commençait à perler de sueur par l'excitation qui gagnait dans toutes ses cellules. Elle sentait aussi ses poils se dresser sur sa peau. Si, dans un premier temps, elle avait gardé les yeux fermés sous son bandeau, elle les avait à présent grands ouverts. Sous les caresses expertes de son Maître, ses sens en n’étaient que plus s'exacerber. Chris remuait la tête de droite de gauche. Le Châtelain de son côté continuait à caresser, à exciter Sa jeune soumise évaluant ainsi son endurance et sa résistance. A présent, elle voyait tout blanc. Son Maître emmenait son excitation vers un point de non retour. Lorsque, tout à coup, elle ressentit une douleur lui irradier tout son corps depuis son sexe en feu. C'est au moment où elle sentait son corps prendre le chemin de l'orgasme que le Marquis d'Evans, Maître en perversions, avait décidé de faire tomber de la cire chaude sur son clito. Chris ne put retenir un hurlement comme jamais elle n'en avait entendu sortir de sa gorge et des sanglots venir du plus profond d'elle. Immédiatement, elle su qu'elle avait commis une faute. Son Maître allait la punir, pensait-elle, mais rien ne se passa. Elle n'entendait plus que la respiration calme de son Amant. Chris entendit le Marquis se déplacer en direction de la tête du lit et prendre un objet. Alors le lit bougea, il était monté dessus. Rapidement, il défit les liens maintenant ses chevilles pour amener ses jambes vers sa tête puis s'éloigna.

Chris n'entendit à nouveau plus que la respiration calme de son Maître, elle n’en revenait toujours pas du cri que lui avait arraché le Marquis. Au bout d'un moment, le Marquis rompit le silence en disant d'un ton rassurant et en lui passant la main dans son épaisse chevelure :

- Donc, donc, donc... Ma belle soumise, nous voici devant une découverte fort intéressante : Tu sais crier et même crier très fort. Je ne pense pas par contre que toi, tu savais que tu pouvais avoir autant de coffre.

Le Marquis ôta le bandeau des yeux de Chris. Eblouie elle recouvrit la vue petit à petit. Elle aperçut son Maître nu et bandant de Son sexe bien dressé qui était debout à côté du lit tenant Ses mains derrière son dos. Chris, les pieds par dessus sa tête, la bouche toujours entravée les fesses offertes et tous ses orifices qui étaient grandement offerts.

- Tu es vraiment très désirable ainsi, lui dit-Il en lui caressant les fesses relevées, hummm ta chatte est tellement ouverte si tu voyais toute cette belle mouille qui file sur ton petit cul….

De son petit doigt, Il dessina les contours de la chatte de Sa soumise et insista à nouveau sur le clito maculé de cire rouge qu'il s'attacha à faire tomber.

- Ma Chris, il va falloir qu'on fasse, un jour, un moulage de cette belle chatte, qu'en penses-tu ? On demandera à Marie et Rose de nous préparer ce qu'il faut.

Et, avant qu'elle ne puisse répondre de la tête, le Marquis ramena Sa deuxième main devant Lui mais hors du champ visuel de la soumise dont la chatte recoulait sous Ses caresses. Alors Maître Edouard Evans s'agenouilla devant le cul à sa merci. Puis Il plongea un doigt dans la chatte de Chris, si lentement en parcourant les parois comme s'il voulait en découvrir chaque millimètre carré. Chris sentit son vagin couler de nouveau et ferma les yeux, alors que son Maître se mit à aspirer son clito dans Sa bouche douce tout en glissant un deuxième doigt dans sa chatte.
Elle avait envie de crier son bonheur, de le sentir se délecter de sa chatte lisse. Elle dégusta le plaisir que lui offrait son Maître en lui mangeant sa chatte. Le Marquis d’Evans fit durer le plaisir en plaçant un troisième doigt dans la chatte de la soumise qui chercha à lui faire de la place en ouvrant ses cuisses autant qu'elle le pouvait dans sa position. Un quatrième doigt entra aussi divinement que les trois autres. Chris sentit le début d’un orgasme arriver et secoua la tête pour que son Amant de Maître puisse le remarquer, mais rien n’y fit. Le Marquis leva un instant le nez de sa besogne et sourit tendrement à Sa soumise pour la rassurer :

- Oui, Ma belle, je sais que tu es au bord de la jouissance, mais je veux que tu prennes encore sur toi, nous jouirons ENSEMBLE plus tard lorsque j’estimerai que le moment sera venu et seulement à ce moment là et pas avant.

Chris ferma les yeux, cherchant dans sa respiration à dépasser ses sensations.

- Oui, tout doux, comme ça, souffle bien, détends-toi complètement pour Me laisser la main sur ton corps car souviens-toi, tu m’appartiens corps et âme, Ma belle Chris.

A ses mots, Chris sentit toute la main de son Amant entrer dans sa chatte.

- Oui, regarde, Ma belle petite chienne, regarde ce que tu nous offres là ce soir… Un FIST, oui un fist ab-so-lu-ment divin, Ma soumise adorée !

Chris se sentit complètement défaillir. Le Marquis d’Evans, toujours très attentif, le remarqua et lui pinça sensiblement un téton pour la ramener à Lui.

- Non, pas encore, Ma belle, pas encore ...

Il l’emmenait ainsi toujours plus loin par au-delà de ses limites. Fouillant sa chatte, la massant à l’intérieur, découvrant ainsi son intimité de Sa petite chienne, les points sensibles,… Il appuyait maintenant son autre main sur le bas ventre de Sa soumise pour mieux la sentir vibrer.

- Tu sens ça, petite salope ? Tu aimes te sentir possédée ainsi, n’est ce pas !?

Chris, toujours les yeux fermés, fit ‘’oui’’ de la tête à son Maître qui la travaillait toujours plus en profondeur.
Elle sentit une nouvelle vague de plaisirs intenses arriver. Le Marquis a ses mains bien placées pour le remarquer. Chris !

- Non ! dit-il d’un ton sec.

Respirant très fort, la soumise essayait de se maîtriser encore. Le Marquis ne l’aidait plus, il la drivait de Ses mains et de Sa voix. Chris n’écoutait maintenant plus que Sa voix, attachée aux paroles de celui qu’elle reconnaissait comme son Maître et auquel elle donnait les clefs de son corps. Doucement, le Marquis d’Evans retira alors sa main du temple sacré suintant de cyprine de Sa soumise. Il changea de position laissant apparaître son beau vit dans une virile érection des plus turgescentes. Chris s’attendait à ce qu’il la pénètre mais non. Maître Edouard Evans avait décidé de remuer encore plus les sens de Sa soumise pour lui arracher un orgasme comme elle n’en avait jamais encore eu.

- Ma Chris, depuis que tu as la bouche entravée, tes muqueuses doivent être quelques peu desséchées. Nous allons remédier à cela dès maintenant.

Le Marquis d’Evans baigna Ses doigts dans la mouille de Sa douce soumise et commença à lui humecter la bouche avec. Lorsqu’il trouva qu’elle avait retrouvé assez d’humidité. Il approcha, de cette bouche, son gros sexe dressé pour doucement y plonger et commencer à faire des vas-et-viens en continuant à caresser le clito de Sa belle. Il savait ainsi entretenir son excitation au maximum de sa tension à laquelle il l’avait poussé. Il se mit à lui caresser son anus tout en accélérant doucement les mouvements et la plongée dans la gorge de la belle. Chris ne se sentait être qu’appartenir à son Maître qui lui baisait la bouche avec de plus en plus de vigueur. Il prit soin de ne pas éjaculer en elle, Il savait qu’elle n’était pas encore tout à fait prête à accepter Sa semence. Son anus de chienne serait son déversoir avant sa chatte. C’est ainsi qu’Il avait décidé que finirait cette étape de leur jeu mais Il tenait à ne rien lui dire. Comme cela, elle n’anticiperait pas et serait de plus en plus à Son écoute et totalement attentive aux attentions de Son si délicieux Maître-Amant …

Chris sentait maintenant son anus s’ouvrir sous les doigts experts du Marquis d’Evans.
Elle sentait son cœur battre dans les muscles de son sphincter. Un doigt, puis deux. Majeur et index travaillaient son cul avec une infinie douceur. Elle se prenait à sentir sa sueur commencer à perler sur tout son corps, comme à chaque prémices d’assauts de ses fesses …

(A suivre …)

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