Charline
Notre voisine, Charline parle trop. Nous finissions le repas du soir quand nous avons parlé, comme souvent de rien de bêtises. Mon idiot de mari, Jean était ébloui (estabousi on dirait chez moi) devant cette fille, je savais quil avait envie delle. Et moi, alors ? Elle a tenue à nous raconter ses exploits masculins : machin baise bien, lautre pas mal, untel sait bien sodomiser, lautre fait bien les 69, elle aime bien cette fille
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Elle fait le panégyrique de ses exploits sexuels. Je pourrais en faire autant, Jean aussi. Lui commence à bander. Je le vois, lui demande de montrer sa queue. Il ne se dégonfle pas, se lève ouvre sa braguette devant les yeux étonnés de Charline. Il sort son engin. Ce nest pas une queue de luxe, normale simplement. Elle me suffit à moi où quil la mette : la bouche, le vagin, souvent le petit trou. Aujourdhui devant moi, il est capable de la mettre à Charline devant moi en plus.
Cest quelle me donne des envies de jouir avec ses histoires à la noix. Que jai mon slip mouillé, elle sen fiche. Je regarde la bite de mon homme offerte en exposition à une autre. Je ne vais pas la lui céder comme ça, gratuitement. Lui, de moment quil tire un coup dans mon machin ou celui dune autre
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Ma défense est simple : je prends la queue en main. Jean me regarde, surpris que je me mêle à sa « conversation » avec Charline. Elle aussi regarde. Elle pose une main aussi sur la bite, elle maide pour le branler. Jean lève la tête comme sil allait jouir. Je laisse la suite à Charline, je moccupe de son entrejambe : jaime lui tripoter lanus. Je caresse simplement, le plus simplement possible son cul. Je nentre pas un seul doigt. Jattends quil me le demande. Sa bite raidie encore si possible. Je la prendrais bien dans la bouche. Je passerais même ma langue sur con cul : il adore. Jaime assez aussi.
Jean nous laisse faire, sans rien faire pour le moment. Je ne peux me retenir davantage, ou je me touche un peu la chatte ou je me masturbe complètement.
- Cest bien pour nous deux.
Elle a fait jouir mon mari pour que nous nous amusions entre filles. Je nai rien contre le principe. Je connais bien Jean, il en a pour un bon moment avant de bander encore et en supposant, il soccupera de deux filles au lieu dune seule, et même à trois cest amusant.
-Embrassez-vous.
demande lui-même mon époux toujours satisfait des plaisirs de sa femme.
Nous ne gênons pas. Charline pose sa bouche sur mienne. Ma langue cherche la sienne. Cest vachement agréable de sentir nos langues jouer ensemble. Après je me laisse faire. Quand sa bouche me quitte cest pour venir lécher la gorge, les épaules, les bras. Elle change dendroit pour venir caresser lun après lautre mes seins qui se tendent de plaisir. Jean participe à sa façon aus caresses. Il passe sa main le long des fesses, puis des cuisses en venant des pieds aux hanches. Je frémis de partout. La bouche se pose sur le nombril. La pointe y entre. Jattends la suite jambes écartées, ma chatte noyée par mon jus. Charline pose une main sur le pubis. Jattends quelle descende encore. Je la veux dans mon sexe, sur mes petits machins qui me font du bien quand on les caresse.
Je languis delle, de sa main, de ses doigts de sa bouche de son sexe au mien mélangé. Ne nattends quune chose : quelle me baise. Et cest elle qui me dit :
- Acceptes moi.
Je suis sa chose, pas linverse. Je comprends ce quelle veut quand sa langue est dans ma chatte : je le prends avec sa langue et ses doigts qui parcourent mon corps. Elle écarte les lèvres facilement mettant en avant la connaissance du corps dune aure femme.
Elle sait comme font les femmes après un orgasme, elles en veulent un autre. Elle lèche encore le con. Elle entre petit à petit son doigt dans mon cul. Je louvre pour lui faire de la place. Elle me lime avec son doigt, plus petit quune bite, mais plus efficace. Je ne gémis plus, je nen ai plus la force, je suis concentrée uniquement sur le plaisir quelle me donne.
Pour en profiter à son tour, elle vient sur moi. Je sens son poids, léger, sur le mien, ses seins sur mon ventre. Elle reprend mon sexe dans la bouche, elle le bouffe carrément. Jai le sien sur mes lèvres. Je vais le gouter avant de la lécher aussi. Je me régale de son gout relevé. Je me permets de prendre ses fesses dans les mains. Elles sont dures, musclées, je les embrasserais bien, mais notre posison de ne sy prête pas. Elle me fouille à fond, je sens sa tête sagiter dans mes cuisses. Et moi, je suis sage à côté delle, je me contente de lécher le clitoris.
Une main oublie mon sexe, elle va dans la raie des fesses. Mon dieu Eros, fais quelle allie jusquà mon trou. Eros suit ma demande, elle vient doucement, tendrement autour de lanus. Elle sait bien faire ce quil faut, comme moi qui entrouvre mes fesses, le sphincter du lanus. Oui, ça y est, un doigt au moins est sur le bord. Je le sens entrer doucement Elle peut aller plus vite. Elle en rajoute un autre. Elle me sodomise, le ciel en soit remercié. Elle est plus douée que moi qui cherche encore comme lui caresser son petit tour.
Je me fais du souci pour rien : Jean sort de son temps de repos. Il est presque sur nous. Japerçois sa bite bandée. Une de nous va y avoir droit. Pourvu quil me la mette. Je vois bien la queue passer tout près de moi ; elle se fiche dans le cul de Charline, y pénètre lentement, comme dans mon cul je suppose. Elle profite de la queue de mon mari et de ma bouche. Je ne pensais jamais quune enculade soit si productrice de vas et vient pour une bite. Je vois les couilles que je caresse passer près de mes yeux. Charline se plaint de plaisir, comme moi. Le seul qui ne dise rien est mon mari. Il a deux femmes rien que pour lui. Je vois ses spasmes quand il lui donne son jus. Il sort du cul, me donne sa queue pour que je la lèche un peu. Cest dégoutant, mais je lui fait plaisir. En plus cest bon, alors.
Je crois que la nuit va être des plus agitée. En tout cas jai pris mon pied comme rarement.
Elle ma demandé de recommencer nous deux seules, pour baiser comme de vraies lesbiennes : je suis tentée pour que nous ne baissions que nos chattes réunies dans la même étreinte. Jean voudrais nous regarder. Pas question, cest une simple histoire de filles seules.
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