Lisa L'Étudiante, Mes Premiers Pas Dans Une Nouvelle Ville

La première partie est un peu longue dû à la description de l'arrivée dans la nouvelle vie. Mais c'est surtout pour mettre en place le premier décor.

Je m'appelle Lisa, je viens d'avoir dix-huit ans, j'habite sur Châteauroux depuis ma plus tendre enfance. Mes deux parents sont agriculteurs, et pour nous sortir d'une situation de précarité avancée, j'ai consacré la plus part de mon temps dans mes études. J'ai obtenu un baccalauréat scientifique avec mention. Dans le même temps, je travaille dans un restaurant en tant que serveuse le week-end afin de mettre de l'argent de côté pour l'avenir. En effet, je souhaite rentrer en université pour devenir médecin généraliste où kinésithéute. Mon choix s'oriente vers deux destinations, la première Bordeaux et la seconde Paris. Rapidement, mon choix s'oriente vers le Sud-Ouest. D'après les sites d'informations, il s'agit d'une ville calme, avec un environnement propice aux études et à la détente. Les réseaux de transports en commun sont nombreux, les événements culturels aussi et puis le centre hospitalier de cette commune est régulièrement classé premier en France pour la qualité des soins. Le dernier avantage qui m'a convaincu est l'internat. Je ne souhaite pas me ruiner avec un loyer que je ne pourrais pas payer, sachant la situation financière de mes parents, je ne peux pas me permettre et puis l'argent mit de côté pour les études est censé me servir pour les courses alimentaires et scolaires. Dix jours plus tard, je reçois une lettre m'invitant à un entretien avec le doyen de l'université et du recteur. Mon père et ma mère doivent être présents afin de savoir si j'avais droit à la bourse, nous visiterons les installations éducatives et sportives, puis les chambres du dortoir. Le moment tant attendu arrive, mon père sort sa tenue la plus chic, ma mère fait de même et moi aussi. Nous voilà partis pour quatre heures de route en voiture. Plus nous descendons vers le sud et plus la chaleur se fait intense.

Le sommeil me gagne, puis au bout de quelque temps, j'entends des acclamations. J'ouvre les yeux, la lumière m'éblouit un peu, puis en me les frottant, je m'aperçois que nous sommes sur le Pont de Pierre. À gauche, je vois la flèche Saint-Michel monument important de la ville puis sur la droite, je vois la fameuse place de la Bourse.
J'ai une certaine passion pour les monuments anciens et pour tout dire, je suis gâté. La voiture s'engouffre dans une grande artère puis nous arrivons devant l'université. Nous avons une heure d'avance sur le rendez-vous. Nous prenons le temps de prendre un rafraîchissement dans une brasserie. Au bout d'une demi-heure, nous décidons de rentrer, dans l'ensemble, scolaire.
Nous nous présentons à l'accueil et nous sommes accompagnés par l'hôtesse jusqu'à l'entrée du bureau. Un quart d'heure après, deux hommes d'un certain âge se présentent à nous, l'un est le recteur, le second, le doyen de l'université. J'entre seule avec eux dans le bureau. L'entretien dure pratiquement une heure. Je leur ai expliqué mes envies, mes ambitions, et mes motivations.
Ensuite, avec mes parents, nous avons visité l'université, la cafétéria puis nous sommes allés en direction du dortoir. Les chambres ressemblent à de mini studio, il y a une pièce de vie qui sert à la fois de cuisine, de chambre et de salon. Ensuite derrière une porte se trouve la salle de bains puis un petit avantage bien sympathique, j'ai droit comme mes futurs camarades à un petit balcon. Chose toujours très agréable pour prendre l'air. Ravi de cette visite, je paye mon année d'études, puis nous partons de l'université. Il est presque dix-huit heures. Ce qui veut dire retour à Châteauroux aux alentours de vingt-deux heures voir même vingt-trois heures si nous nous arrêtons pour dîner. Et surprise générale, notre père veut nous inviter dans un restaurant de la ville. Mais ne connaissant pas la ville, nous sommes vite perdus. Je le vois se diriger vers un jeune homme qui est assis à la table d'un bar, il lui demande s'il connaît une adresse sympathique pour dîner. En effet, celui-ci habite Bordeaux depuis de nombreuses années, il est donc en capacité de nous aiguiller dans un endroit sympathique. Un peu à la manière d'un guide touristique, nous parcourons une rue piétonne très longue, la plus grande d'Europe dit-il.
Puis nous tournons dans des petites rues pour arriver sur une grande place. Effectivement, il y a beaucoup de restaurants dans ce secteur. Nous regardons les menus, puis il nous en indique un précisément qui lui tient à cœur. Mes parents le remercient pour son dévouement, puis dans la lueur de fin de journée s'éloigne petit à petit de la place. Je vois alors mon père lui courir après, surprise par sa réaction, avec ma mère nous nous posons des questions, puis quelques instants après nous les voyons revenir. Il nous indique, qu'il souhaite l'inviter pour le remercier. Il s'appelle Romain, c'est un charmant garçon pas trop grand, un peu costaud et très marrant. Le repas se passe à merveille, nous discutons de tout et de rien, tout en dégustant les spécialités locales. Notamment un vin blanc légèrement sucré et liquoreux qui a tendance à m'étourdir un peu après la journée que nous venons de passer. Il est presque vingt-trois heures, je me demande comment et où nous allons dormir. Mon père demande au jeune homme quels sont les hôtels les moins chers de la ville. Celui-ci pour nous remercier nous propose de dormir chez lui.
Un peu gênés, nous acceptons malgré tout cette proposition. Durant le trajet, mes parents discutent avec Romain et ceux-ci souhaitent qu'il soit mon guide pour le début de la scolarité.
Le trouvant sympathique, je trouve cette proposition agréable. Après un quart d'heure de route, nous arrivons devant sa maison. Nous descendons de la voiture, puis nous entrons. C'est une demeure assez spacieuse, il n'y a malheureusement que deux chambres, mais le canapé de la salle à manger est assez grand pour accueillir une personne, de plus, à dormir. Ils nous proposent un petit digestif avant de dormir, puis le temps des conversations nous propose de prendre une douche si nous le souhaitons. Mon père y va en premier, ma mère en second et moi en troisième.
Ils nous prêtent jogging et tee-shirt en guise de pyjama. Moi qui ai l'habitude de dormir en sous-vêtement, je risque avoir un peu chaud. Au pire des cas, je me changerais en cachette une fois les lumières éteintes. Il est presque minuit, mes parents vont se coucher, mes yeux commencent à pétiller de fatigue, et Romain décide de prendre sa douche. La pièce est noire, seul le bruit de l'eau coupe le silence. Puis au bout de quelque temps, le bruit s'arrête, la porte s'ouvre et se referme. Le jeune homme vient me souhaiter bonne nuit, et part dans sa chambre. Je prends alors la décision de me mettre en petite tenue, la chaleur est suffocante, je n'ai pas du tout l'habitude. Mais rien n'y fait, je vais demander à Romain s'il a une bouteille d'eau pour me tenir compagnie pour la nuit. Délicatement, je passe la tête dans l'ouverture de la porte et en chuchotant demande à mon hôte s'il est possible de boire de l'eau fraîche. Celui-ci valide ma réponse, il allume sa lampe de chevet, puis se lève.
Lui aussi est en sous-vêtement visiblement, je ne suis pas seule à avoir chaud. Il m'accompagne à la cuisine et me sert un grand verre d'eau. Il m'indique par la même occasion, qu'il possède un ventilateur dans sa cave et qu'il va le mettre à ma disposition afin que je sois le plus à l'aise possible. Seulement, lui aussi à chaud et m'invite à le rejoindre dans sa chambre. En tout bien tout honneur me dit-il. J'accepte sa proposition. L'air frais est très agréable.
Romain éteint la lumière, me fait la bise et nous nous tournons le dos pour commencer notre nuit.
Mais au bout de quelques minutes, un grincement de bois se fait entendre à l'étage, quelques gémissements sont à peine audibles. Je n'y crois pas mes parents font l'amour chez un inconnu.
Je trouve cette situation malsaine. Je commence à tourner en rond dans le lit, ce qui réveille mon compagnon du soir. Il me demande ce qu'il se passe, je lui dis de faire en sorte que le silence soit complet pour écouter les bruits venant de l'étage. Je lui demande si ça ne le dérange pas, et il me répond que non. Chacun à le droit de se faire plaisir, je lui fais remarquer qu'il est quand même chez lui et que ce n'est pas respectable de faire ce genre de chose.
Visiblement, d'un esprit tranquille et libre, Romain me fait une bise sur la joue et me conseille de me rendormir, car la route sera longue demain. La lumière s'éteint à nouveau, et je ne sais pas pourquoi, mais je me colle contre le dos de mon compagnon, un peu à la manière d'un couple classique. Celui-ci cherche ma main, mais ses essais sont infructueux, un léger contact avec mes fesses me fait frissonner, j'ai l'impression que mon cœur bat la chamade et qui va sortir de ma poitrine. Il insiste et finit par attr ma main qu'il colle contre son torse. J'ai réellement la sensation d'être en couple avec lui. S'en suit un jeu de caresse et de papouille, puis par excès de confiance ma main descend de plus en plus vers son sexe. Dans le passé, il m'est déjà arrivé de faire une fellation à un petit copain du lycée, mais je ne suis jamais allé plus loin. Et je compte me préserver le plus que je peux, malgré l'envie de connaître des sensations qui paraissent intenses et magiques. Je continue mon petit jeu avec mes doigts, Romain se retourne, puis m'embrasse. Je réponds à son invitation et l'imite en jouant avec nos langues. Ses mains parcourent mon corps, il me touche les seins et ma fente à travers le tissu.
Je lui signale que je suis encore vierge et que je ne suis pas prête à passer le cap, mais par contre, je suis capable de lui procurer du plaisir autrement. Je lui fais des bisous, en partant du cou, puis en continuant en direction de sa poitrine, puis descend de plus en plus vers son caleçon que je fais glisser avec mes doigts. Je touche son sexe qui est d'une taille correcte.
Je le masturbe, puis rapidement l'envie de le prendre en bouche arrive. Je fais quelques allers-retours, puis descends jusqu'à ses bourses. Je le reprends entre mes lèvres, fait des va-et-vient jusqu'à qu'il éjacule dans ma bouche. Plusieurs jets viennent tapisser mon palais qui n'en demander pas tant. Après avoir repris les esprits, je vais me rincer avec l'eau du lavabo. Je suis beaucoup plus détendue et m'endors à côté de Romain qui sera mon premier aventurier dans cette nouvelle vie d'étudiante.