La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode N°235)
Suite de l'épisode N°232 - L'histoire de Thaïs et son Maître vénéré -
Thaïs avait fini par sombrer dans les bras de Morphée sur la descente de lit, telle la petite chienne quelle était pour son Maître Vénéré, dormant à la place dont elle avait toujours rêvé aux pieds de celui quelle reconnaissait comme étant une vraie chance dans sa vie de soumise en devenir. Elle sétait recroquevillée inconsciemment dans une position ftale, ne songeant même pas à revêtir le dessus de lit que son Maître avait laissé à sa disposition pour se couvrir. Elle était nue comme pendant les neuf mois de la gestation dans le ventre procréateur duquel elle était sortie en naissant à la vie. Au lieu du cordon ombilical qui la reliait au ventre nourricier, elle portait symboliquement la laisse que son Maître lui avait offerte et quIL avait lui-même accroché à sa ceinture, de laquelle pendait une laisse qui marquait la relation D/s qui la liait à son Maître Vénéré. De lui, elle recevait toute la nourriture spirituelle que son âme avait envie pour subvenir à ses besoins et de lui aussi, elle espérait sans cesse le nectar qui pourrait enfin étancher sa soif et combler les vides de son corps et de son cur
Le Marquis séveille doucement tandis que la clarté du jour commence à envahir la chambre à travers les épais rideaux. Sans le moindre bruit, Il se redresse et regarde à Ses pieds sa soumise profondément endormie. IL peut décider de la réveiller sans attendre car Sa virilité a déjà pointé en ce matin et Son désir de mâle cherche à se satisfaire au plus tôt. Et pourtant, IL choisit de prendre le temps de regarder et dadmirer celle qui dort à Ses pieds, au visage parfois si radieux et apaisé, et parfois si crispé et inquiet, quIL ne comprend pas toujours très bien à quoi peut rêver ou penser Sa soumise, qui passe aussi vite dun état à un autre, comme si elle était déchirée entre deux états extrêmes, qui bercent son sommeil et se jouent de sa vie en dualité.
- Thaïs, Ma petite chienne, approche de plus près, jai une surprise à te montrer !
IL pose Son pied à plat sur le corps de la belle endormie pour la secouer et la sortir de ses songes. Thaïs ressent la chaleur du pied de son Maître qui parcourt son corps dont la peau sest rafraîchie pendant la nuit. Elle sursaute quand elle sent la jambe du Marquis qui cherche à dérouler son corps et à se faire une petite place entre ses cuisses. Le Maître se penche sur le rebord du lit et tend le bras pour attr la main de la petite chienne qui est toujours allongée sur la descente de lit au pied du grand lit qui a servi de couche moelleuse et chaude au Marquis dEvans. IL la tire jusquà lui sous lépaisse couche de la couette blanche et la prend dans Ses bras pour la réchauffer et finir déveiller ses sens. Cest là quIL saperçoit que Thaïs a des larmes qui viennent de couler de ses yeux.
- Pourquoi pleures-tu Ma belle ? Lheure nest sûrement pas aux larmes, cest le matin, lheure est aux câlins avec entrain.
- Mon Maître Vénéré, cest que je viens de faire un horrible cauchemar. Puis-je Vous le raconter car il hante mon souvenir et je ne voudrais pas quil sagisse dun rêve prémonitoire (le Maître acquiesce dun signe de tête). Jétais dans un marais puant, si embourbé, et javais mis le pied dans un sable mouvant qui mavalait sans cesse. Plus jessayais de me débattre, plus je menfonçais et je me sentais perdue prête à succomber étouffée.
- Laisse tomber tes états dâme, Thaïs, tu sais bien à quel point, ils peuvent être néfastes pour toi. Jai déjà essayé de te prévenir mais tu ne mécoutes pas assez et tu manques de confiance en toi et surtout en Moi. Tu sais bien que Je ne laisserai jamais tomber la soumise que tu es devenue pour Moi et Jespère bien que tu ne renonceras jamais à ton Maître Vénéré, car notre histoire ne fait que commencer
Tu es glacée, laisse moi te réchauffer, il est temps de penser à autre chose de plus ré-jouissant et de bien, bien plus réel et excitant. Promets-moi doublier cela, tu vois bien que ce nétait quun cauchemar, la réalité est là, tu es à Mes côtés et je vais moccuper de toi, Ma Thaïs, Ma soumise, Je te le promets et puis Jai besoin de toi pour Mes affaires, as-tu déjà oublié pourquoi tu es venue me rejoindre ce Week-end. Mais avant de recevoir nos invités et de faire affaire avec eux, Jai à faire avec toi et avec tes orifices
Descends un peu plus bas, il y a une surprise qui tattend depuis trop longtemps à létage au dessous.
Le Maître pousse la tête de la soumise vers son bas-ventre où se trouve un pieu majestueusement dressé quelle découvre en se rapprochant, encore plus gros que ce quil était dans son souvenir. Mais dans le même temps, IL att les chevilles, lune après lautre de Sa soumise quIL ramène vers lui, lui faisant enjamber son corps pour quelle se retrouve en levrette inversée, lui offrant une vue imprenable sur le sexe et la croupe redressée de la chienne qui sétait très vite réchauffée.
Cest alors que le Maître att lun des godes quIL a pris soin de déposer sur la table de nuit à portée de mains, et quIL le trempe dans la caverne onctueuse de la femelle qui souvre encore plus laissant couler quelques gouttes de sa cyprine abondante sur la main et le torse de son amant. IL ne fait que quelques allers et venues au sein de la chatte si réceptive, pour se frayer aussi sec un chemin dans le plus petit sentier qui sépare les deux globes de ses fesses. Thaïs est si excitée quelle souvre encore plus et projette ses fesses en arrière pour sempaler elle-même sur le leurre en plastique qui lui pourfend le cul, tandis que le sexe bien réel de son Maître est en train de la baiser sauvagement dans la bouche et quelle sent quIL va se répandre bientôt en elle, tandis que les coups saccélèrent et se font plus sauvages.
- Tu ne jouis pas Thaïs ! Tu as bien compris, je ne ten ai pas donné lautorisation !
- Non Maître, je sais que Vous ne mavez rien autorisé, dit-elle tandis quelle reprend son souffle entre deux assauts de son Maître.
- Dailleurs, je ne veux pas que tu jouisses de cette fellation et de ma pénétration, jai dautres exigences pour toi, envie de te faire vivre autre chose ce matin. Ne me déçois pas ! Ne jouis pas et retiens toi. Jai dit.
Le Maître pour bien marquer son emprise donne aussi sec deux fessées bien appuyées sur la chienne quIL travaille dans son fondement tout en même temps quIL lui baise la bouche et quIL vient de laisser la trace rouge de ses deux grandes mains dominatrices sur chacune des fesses de la soumise. Thaïs ne sait comment faire pour résister, elle tente de se concentrer juste sur le plaisir de son Maître qui la laboure des deux côtés à la fois, et elle sent enfin la Semence de son amant se répandre au fond de sa gorge, un nectar chaud et puissant qui jaillit longuement et abondamment, allant presque jusquà l car IL lui faudra plusieurs déglutitions pour pouvoir à nouveau retrouver la possibilité douvrir la bouche et dy faire pénétrer assez dair pour lui laisser reprendre son souffle.
- Ah, cest bon de jouir en toi, bonne chienne ! Tu mas vraiment vidé ce matin, as-tu conscience de la dose que tu mas fait gicler, ajoute-tIl tandis quIl dégage peu à peu son sexe de la bouche de la chienne qui lavait conduit jusquau plaisir extrême.
Thaïs ne sait ce quelle doit faire tandis que son Maître reprend Ses forces, allongé et bras inertes, ayant fermé les yeux quelques secondes pour prolonger le plaisir dont Il a pu jouir. Elle nose bouger pour ne pas rompre cet instant quelle sait sublime, quand le corps sapaise dans le bien-être après la montée en puissance. Elle est heureuse davoir été source de plaisirs pour son Maître Vénéré. Elle se met soudain à repenser au cauchemar au sortir duquel elle sest réveillée quelques minutes plus tôt, ne sachant plus très bien si ce nest pas en ce moment quelle est en train de rêver et si ce nest pas dans quelques instants quelle va à nouveau se réveiller pour sapercevoir que la réalité était autre et quelle a juste imaginé avoir pu trouver un Maître Vénéré aux pieds duquel elle aurait la chance de pouvoir trouver enfin le bonheur pour la soumise quelle cherchait à devenir. Mais Thaïs na pas le temps de se laisser reprendre dans ses songes perturbateurs, le Maître sest levé du lit et Il se tient debout, droit, si grand et de Sa voix lourde et imposante, Il scande :
- Aux pieds de ton Maître, chienne !
Tu sais bien que ta place est ici et seulement ici !
Qui es-tu ?
- Je suis lesclave-soumise Thaïs de mon Maître Vénéré, le Marquis dEvans ;
- En es-tu certaine ?
- Oui, Maître. Et sil marrivait un jour de loublier ou den douter, sil vous plait, mon Maître, ne loubliez pas, Vous, surtout.
- A qui appartiens-tu ?
- Tant que Vous maccepterez comme soumise, je Vous appartiens corps, esprit et âme. Je suis toute à Vous, avec tout ce que je suis, le bon de moi et le moins bon aussi, avec ma force de caractère et toute ma fragilité intérieure.
- En es-tu certaine ?
- Oui, Maître, jen suis certaine. Je Vous appartiens de toute éternité et pour toujours, que Vous vouliez ou non de moi et que Vous me reconnaissiez ou non comme Votre soumise MDE. Je porte Vos initiales autour de mon cou et la marque de Votre pouvoir sur moi gravée de manière invisible au plus profond de mon âme, là où personne ne peut leffacer, car une marque au fer rouge na que peu de prise sur un corps que lon peut écorcher vif, seul ce qui sinscrit dans linvisible du cur et de lâme que Vous avez su atteindre et ébranler est marqué à vie comme marque de Votre possession authentique
Et la soumise ajoute dune petite voix tandis quelle se penche pour déposer sur les pieds de son Maître Vénéré un baiser humble et respectueux
- Mais je nai, mon Maître Vénéré, que moi à Vous offrir, et non pas une autre. Et cest tout moi, que je voulais et croyais devoir Vous offrir, car je suis entière et ne sait pas retenir une partie de moi qui ne se livrerait pas avec le reste, et je ne sais pas plus me partager sans me consumer.
Le Maître ne peut que se trouver attendri car Thaïs est vraiment particulière, authentique et bien plus sensible que toutes les soumises qui se sont jetés à Ses pieds. Faisant confiance à son intuition, Il sait quIl entraînera loin Sa soumise Thaïs pour peu quIl sache la comprendre et lentendre.
- Mets-toi à quatre pattes, je vais te faire goûter à quelque chose de nouveau pour toi. Cest une jouissance dune autre nature que je veux te faire découvrir. La femme en toi apprécie déjà les plaisirs charnels de toutes sortes et la femme fontaine que tu es depuis des années coule déjà abondamment dans les orgasmes qui chavirent son corps, mais la soumise que tu nes pas encore ne sait rien ou si peu de la joie dêtre sous le joug de son dominant, totalement à sa merci et du réel plaisir de la présence dun Vrai Maître à Ses côtés.
Thaïs redresse sa tête qui est encore posée au sol devant les pieds de son Maître et se met à quatre pattes comme son Maître vient de lexiger. Elle garde la tête baissée, les yeux fermés et ne dit mot. Elle sent la laisse se tendre et se laisse conduire sans savoir où Il lentraîne à sa suite. La chambre est gigantesque, on pourrait presque y construire un appartement de deux ou trois pièces. Le plafond est composé dimmenses poutres en bois dorigine. La pièce a presque deux étages de haut, et à une hauteur déjà conséquente, il y a deux poutres majestueuses qui traversent de part en part la grande pièce. Sûrement dans des temps anciens, le château a eu dautres utilisations et dautres séparations de niveau. Ces deux poutres maîtresses sont restées telle une ossature mise à nue par des transformations de structure. Elles se trouvent à plus de deux mètres de haut et le Marquis a tout de suite eu lidée de sen servir pour y faire suspendre les cordes quIl avait fait livrer dans le carton afin de samuser un peu avec Sa soumise et lui faire découvrir toutes ces belles choses auxquelles Il veut linitier pour quelle devienne une soumise accomplie qui se pliera à tous Ses désirs pervers ou non.
Après lui avoir fait faire quelques pas pour la positionner au bon endroit, le Marquis dEvans prend un foulard noir quIl noue sur les yeux de Thaïs, lenfermant dans la nuit des sensations décuplées et laissant la belle ignorante de tout de ce que son Maître manigance. Il retourne dans le salon de la suite et récupère tout le matériel dont Il a besoin pour entraver la soumise, la voulant totalement à Sa merci, encore plus mise à nue dans sa fragilité. Il jette par-dessus chacune des deux poutres une corde et se trouve donc avec quatre brins qui pendent à sa portée. Il redresse Thaïs qui ne layant pas senti sursaute tandis quIl passe Sa main sous son bras pour la faire se lever. La soumise sent son cur qui se met à battre, elle comprend bien que ce qui va se passer et qui encore fait partie dun monde inconnu delle. Le marquis attache chacune de ses mains à lun des brins de la corde pour linstant toujours sans tension. Thaïs commence à trembler mais elle nose toujours pas parler. Elle croyait bien quIl lui dirait avant ce quIl allait lui faire subir, mais le silence de son Maître lui parait si pesant en cet instant. Thaïs laisse son Maître tendre les cordes qui ont pour effet détirer ses bras en croix. Le Maître récupère les deux autres brins quIl attache aussi sec aux pieds de la soumise qui se trouve ainsi écartelée en croix, les muscles étirés en X entre les deux poutres. Sous son bandeau, elle ferme ses yeux et se sent si vulnérable, mais en train doublier les chaînes de son passé et de renaître en ce jour, librement entravée par celui à Qui elle sest offerte...
(A suivre
)
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