Arès, Dieu Grec

Arès : ce nom faisait trembler les Grecs. D’un coté il n’avait pas tord. Il avait une sale réputation, surtout à cause de ses relations. Sa tante, Aphrodite, l’appréciait beaucoup : ils avaient une relation secrète connue seulement en secret par le patron, oui, celui d’en haut Zeus lui-même qui en secret favorisait leurs amours. A cette lointaine époque la pilule n’existait pas. La seule façon agréable de ne pas er était de pratiquer ce qui se fait parfois, rarement, encore : la sodomie. Mais, le hasard, l’envie de changer un peu font que deux s naissent : Démos (la terreur, pas celle de la fin du XVIII° siècle pendant notre révolution) et le plus connu encore, quoique de sexe différent : Phobos, oui l’épouvante.
En plus Arès dirigeait la section action psychologique-guerre de l’Olympe. Il portait toujours un uniforme camouflé, un béret vert et une arme dans un baudrier.
En réalité, il n’était jamais en guerre, il envoyait les autres à sa place : nous gagnerons parce que nous sommes les plus fort : allez combattre et f…moi la paix. Arès s’entourait de cantinières soit disant pour le nourrir et le faire boire : mon œil. Il aimait flemmarder au lit avec des camarades de jeu plutôt bien équipée coté poitrine, bien disposée coté bas ventre. Si l’anus n’était pas droit, pas d’importance, il avait des formules magiques (venant de son chef) pour le redresser. (D’où l’expression chiez droit, chiez dans le trou).
Arès aimait passer des nuits remplies de stupre. Plus d’amis venait à son hôtel particulier (celui en bas d’Olympe, en sortant à droite, pas celui avec plein d’étoiles). Ses amies les nymphes venaient nombreuses, sachant qu’elles ne manqueraient pas de membres masculins (certaines en avaient assez de se faire des gouzy gouzy entre elles). Sa tante honorait ses soirées : Aphrodite, malgré sa réputation était une sacrée bambocheuse : elle aimait surtout les étreintes à quatre rien que pour elle. On murmure que c’est elle qui serait à l’origine des doubles pénétrations, ce qui ne m’étonnerait qu’à moitié.

D’ailleurs allez un jour voir la Vénus de Milo, non pas à Milo, au Louvre. C’est une erreur de traduction qui la fait passer pour ce qu’elle n’est pas : il s’agit bien d’Aphrodite. Si elle n’a pas de bras c’est à cause des habitudes masturbatoires qu’elle avait.
Bref, Arès baisait aussi l’Aphrodite devant les autres dieux ou pas. Quand par sa fonction il devait passer des troupes en revue, c’était le branle bas de combat dans les unités des paras de l’époque (oui, je sais les paras n’existaient pas encore, disons leurs ancêtres) Ils devaient se présenter en rang, alignés, toujours nus évidement. Des fois quand sa tante (oui Aphrodite) l’accompagnait, il arrivait qu’elle soit attirée par une paire de roubignoles. Passant la revue, elle inspectait aussi les armes. Essayer, mesdames d’inspecter un sexe d’homme nu : il bandera. C’est ce qui arrivait. Arès, prenait mal de genre de revue. Il venait derrière le soldat qui connaissait la consigne : donner son cul. Ainsi penché un peu en avant pour tenir compte de la différence de taille (Arès ne mesurait 1 m 60), il se laissait enculer, sachant que devant la déesse lui prendrait la queue dans la main pour lui faire ce qu’à l’époque on appelait chatouilles. Le sperme récolté permettait, vu sa quantité, à nourrir des ilotes (vous savez les imbéciles du coin).
En temps de paix, c'est-à-dire la plus part du temps, Arès n’avait rien de particulier à faire. Seul assis sur son nuage personnel, nu, il se masturbait longuement : un dieu pouvait le faire longtemps, selon son désir comme quand il baisait une mortelle, il la faisait jouir sans fin, allant jusqu’à les faire s’évanouir.
C’était la belle vie à Olympe, jusqu’au jour ou du coté de Bethléem, en est venu. Un rideau est tombé sur ses braves dieux. Certaines mortelles les regrettent encore.

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