Marie La Prise En Mains

Après avoir déjeuné et pris une douche pendant laquelle son Maître la laisse tranquille, elle rejoint Henri au salon. Elle est toujours nue. C'est à ce moment là que la sonnette retentie.
- Va ouvrir 
- SVP Maître pas dans cette tenue.
- Viens-lui dit il en l’attrapant par le collier qu’il lui a remis.
- Il ouvre la porte et s’exclame. Bonsoir Jean-Luc comment vas-tu ?
- Bien répond le nouveau venu qui dévisage Marie qui est rouge comme une pivoine.
- entres nous allons boire un verre !

Les 2 hommes s’installent dans le canapé et Monsieur Henri interpelle Marie : « sers nous nous à boire salope ! » Marie sursaute sous cette insulte publique mais se dirige néanmoins vers le petit bar. Elle sait qu’en se penchant elle va offrir une vue imprenable sur son sexe. Elle fait mine de se tourner mais immédiatement son Maître l'interpelle « je t'interdit de plier les jambes quand tu te penches ».

Revenue à côté du canapé et ayant sur ordre remis les mains derrière la tête, elle entend les deux hommes commenter son anatomie, les raisons de sa présence et le détail de ce qu'elle a déjà subit.

- Si tu comptes lui faire faire la pute, je serai volontiers client ! Et régulièrement si ce n'est pas trop cher...
- Ne t’inquiètes pas, il y aura moyen de s'arranger.
Soudain leur invité s'exclame « elle me fait bander, je vais essayer sa bouche ».
- à genoux salope lui dit alors son maître
Et c'est ainsi que le dénommé Jean Luc commence une longue séance de baise pendant laquelle il lui impose presque tout à part la sodomie. Pendant ce temps son Maître la photographie sans être avare de commentaires salaces. C'est alors qu'elle est à califourchon sur leur invité que brutalement, elle joui longuement. Cela arrive de manière soudaine alors que l'ami de son maître est en train de lui tordre les tétons. Elle crie son plaisir. Incapable de participer tellement sa jouissance a été importante, elle n'est plus ensuite qu'une poupée de chiffon.

Pour finir leur invité lui inonde le visage avec une énorme quantité de sperme qu'elle n'eut pas l'autorisation d'enlever avant qu'il n'ai totalement séché ce qui ne fut le cas qu'après le déjeuner.

Leur invité enfin parti Monsieur Henri la fait installer debout devant elle :
- bien maintenant il est temps que je t'explique complétement les règles de notre relation. Tout d'abord je veux ta docilité totale comme je te l'ai déjà dit. Je veux te voir régulièrement et ce n'est pas à toi de décider quand. Je verrai avec ton mari mais tu n'as pas l'autorisation d'aborder ce sujet avec lui. Je peux te dire que je veux te voir une fois tous les 15j minimum mais que tu va revenir dès la semaine prochaine pour que tu t'habitues au départ à de la régularité. Tu arrivera vendredi soir afin que j'ai le temps de profiter de toi jusqu'au dimanche en fin d'après midi. Je veux te parler au téléphone une fois tous les 2 jours. Tu t'isolera et tu m'appellera à une heure convenue. Somme nous d'accord ?

Marie est affolée à cette déclaration car elle réalise que ce qu'elle concevait comme une relation certes régulière est en train de prendre une dimension qu'elle n'a pas prévu. Une dimension qui va empiéter sur son petit train train quotidien. En même temps elle a joui d'une manière qui ne lui est pas arrivé depuis longtemps. Elle se demande aussi qu'elles seront les conséquences sur son couple. Elle est en tout à la fois révoltée et en même temps elle sent ce frisson de l'interdit qui l'a fait fantasmer et qui l'a poussé accepter ce fantasme qui n'était au départ que celui de son mari.

- Je ne sais pas … Je … je … il faut que je réfléchisse dit elle à moitié suppliante.

- C'est tout réfléchit. Tu ne veux pas que des photos de ton séjour ici trainent sur internet ?

Marie devient blanche de peur devant cette menace et réalise brutalement qu'elle n'en en fait plus le choix.

La sonnette de la porte la dispense de répondre. C'est Michel. Il a les traits un peu tirés car il n'a pas dû beaucoup dormir.

- Bonjour, ma pute est prometteuse, je te l'avais dit Michel. Bien je ne vous retiens pas. Comme je l'ai dit à Marie, je l'attends vendredi soir prochain. N'est ce pas Marie ?
Alors Marie comme un défi à son mari :
- oui Maître avec une petite voix tout en sentant au fond d'elle même qu'elle se jette dans l'inconnu qui l'avait si souvent fait fantasmer.
- Allez filez maintenant j'ai à faire.
- Vous deviez me remettre quelques photos lui dit Michel ?
- Fais en sorte que ma soumise soit à l'heure et nous verrons cela la semaine prochaine.

Marie a a peine le temps de se rhabiller qu'elle est avec son mari sur le perron.

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