Leslie La 30
Leslie LA30 Laure, le journal intime - Rencontre
Vous le savez, je suis sexuellement libre et malgré mon jeune-âge, jai déjà eu mon lot dexpériences, avec des femmes ou des hommes, mais dès le début de mes aventures je nai rien caché à ma mère, elle est au courant que jaime le sexe, tout comme elle dailleurs et bien quelle me comprenne et ne me fait aucun reproches, je ne me sens aussi libre que je le voudrais.
Il avait été convenu quà ma majorité, je minstallerais chez mon oncle, un grand et bel appartement quil me réservait, dailleurs jy vis toujours avec Leslie, et la promesse a été tenu, et me voilà installée depuis deux semaines chez moi. Enfin libre, libre dinvité et de recevoir qui je veux, surfer sur internet quand je veux et sortir jusquau bout de la nuit quand jen ai envie ?
La belle vie, mais la condition est de réussir mes études, mon oncle est là pour veiller, mais avouez que ce nest pas courant, pour une fille faisant ses études, à dix-huit ans dêtre chez soi.
Mais ce nouveau statut nexplique pas davoir des aventures à chaque occasion et continuellement chercher le bon coup et pourquoi pas lexceptionnel, je ne vais pas ramener nimporte qui à la maison.
Mon oncle, homme dexpérience, qui connait ma vie, me disait à ce propos :
- Moins ten ramène, moins tu seras emmerder !
Néanmoins jétais libre, installée chez mon oncle, pouvant vivre ma vie, et faire à peu-près ce que je désirais.
Le soir, je surfais régulièrement sur internet, à la recherche de lannonce qui retiendrait mon attention, je savais que je pouvais trouver des femmes et ces rencontres étaient sans trop de risques, mais pour les hommes il fallait faire attention et surtout ne pas tomber sur un désaxée et avoir à le regretter.
Un jour, je suis tombée sur un monsieur qui me contacte, le courant passe et jaccroche dans léchange cybernétique.
Mon annonce sur mon profil était ainsi rédigée :
« Jeune fille, très libre, désire parfaire ses connaissances.
Vous comprenez que sur un site de rencontres, mon annonce était suffisamment explicite, dailleurs javais beaucoup de réponses en tout genre, dhommes comme de femmes voulant plus jouer avec moi et profiter de ma jeunesse que de me séduire et accrocher mon attention.
Je refusais toutes les propositions qui ne me convenaient pas et qui laissaient le doute et la suspicion sur leurs intentions réelles, mais là je fus séduite par la franchise et la simplicité du message.
« La cinquantaine bien tassée, veuf, mais joyeux, charmant juste ce quil faut, ayant une bonne situation, aimerait rendre une jeune fille heureuse et retrouver sa jeunesse près delle en lui prodiguant les conseils dusage. Ce, dans lélégance et la subtilité. Un brin de culture sera de mise, le respect mutuel sera obligatoire. Contactez-moi, si intéressée
»
Il avait signé et ajouter ses horaires de connexion.
En lisant cette réponse, je me suis dit quil fallait que je prenne contact, jai vérifié ses horaires de connexion et je me suis aperçue quà cet instant il devait être en ligne, sans perdre de temps je lui ai envoyé :
« Intéressée, contact effectué
»
Deux minutes plus tard, javais une réponse :
« Bonsoir, serais-je lélu ? »
Et la conversation via les messages cybernétique sest établie.
« Il se pourrait que oui, mais pourriez-vous men dire un peu plus ? »
« Seul dans la vie, je recherche limpossible
»
« Sauriez-vous me faire vivre cet impossible ? »
« Possible, si je vous plais. »
Et des photos de lui sont jointes au message, je prends le temps de les regarder pour me faire une idée de son physique et prendre la décision de continuer ou den rester là.
Pour son âge, il nest pas mal du tout, un physique entretenu, svelte et un charme fou
Un autre message tombe pendant que je regarde les photos.
« Et vous comment êtes-vous ? »
Il doit vouloir des photos de moi, alors je lui envoi trois de moi, une sage, une autre coquine et une autre un peu osée, en fait la dernière me présente en lingerie qui ne cache que lessentiel de mon intimité.
La réponse ne se fait pas attendre.
« Vous êtes superbe, et si jeune, je crois rêver »
Léchange de messages continu, et japprends quil habite en proche banlieue à lOuest de Paris, Saint-Cloud, dans une grande maison avec un parc, facile daccès, idéal pour me recevoir, être tranquilles et ne pas être dérangés, si toutefois nous nous entendons sur la suite à donner à notre échange de message, car certainement pris dun doute il menvoie un message très explicite.
« Je garde lespoir que vous nêtes pas une allumeuse et que vous êtes sérieuse. »
« Rassurez-vous, je le suis, sérieuse ! »
« Bien, il nous reste dons de fixer un rendez-vous pour que vous veniez me retrouver. »
« Dites-moi quand et je serais là ! »
« Au fait, Laure, vous acceptez tout en amour ?
Ah, le vicieux, on y est et je le vois venir, sodomie, jen passe et des meilleures, je nai pas tout essayé, mais je ne suis pas prête à tout.
« Je nai pas vraiment de tabous, du moment quil ny a pas de violence et beaucoup de respect. »
« Je le disais dans mon annonce et en plus je suis un être très doux. »
« Daccord, cest le minimum, dans le cas contraire je pars aussitôt. »
« Cela va de soi. »
« Bon, que diriez-vous pour vendredi soir ? »
« Cela est parfait. »
« Alors à vendredi, vingt heures. »
Et il se déconnecte, après mavoir envoyé un baiser
Vendredi, vingt heures, me voilà donc à lheure dite devant cette grande maison bourgeoise, un peu en retrait de la rue au fond dun grand parc arboré, lendroit est charmant.
Mon hôte maccueille avec galanterie, osant même un baisemain respectueux, en accord avec les traditions, un bon début dans le respect et la galanterie, nous nous installons sur la terrasse et moffre une boisson, je prends un coca avec un peu de gin.
Puis la conversation sengage dans une discussion anodine, il se veut et se fait séducteur :
- Je vous trouve ravissante, Laure, encore plus belle que sur les photos et vous avez une très jolie robe et vous êtes maquillée avec goût.
Il faut dire que jai fait fort ce soir, perchée sur des escarpins à talons aiguilles, avec une jupe courte fendue sur le côté, porte-jarretelles et bas coutures, poitrine nue sous un corsage quasi transparent et un petit string fendu et maquillée juste ce quil faut.
Je le remercie de tant dattentions et du compliment en croisant lentement les jambes devant lui pour me dévoiler un peu, ma jupe souvre sur mes jarretelles et peut-être à t-il aperçu mon string.
Louis, me sourit et en connaisseur je vois que rien ne lui a échappé de mon manège, et il me demande simplement :
- Croyez-vous que je vais être à la hauteur de vos attentes ?
- Oui, je lespère, sinon je ne serais pas là, dis-je.
- Alors pourriez-vous me dire si vous êtes sensuelle et si les bouts de vos seins sont sensibles.
Je lui réponds par laffirmatif et il continue :
- Plutôt clitoridienne ou vaginale ?
- Les deux.
- Aimez-vous les longues caresses ou les pénétrations profondes et puissantes ?
Et là jose être provocatrice.
- Vous navez quà messayer, et vous verrez !
Satisfait, il mentraîne dans le living et pose un baiser sur ma bouche, puis se recule en disant :
- Laissez-moi vous regarder Laure et faites-moi plaisir, effeuillée vous devant moi ?
Un petit strip pour le mettre en forme, langoureux et sensuel, pourquoi pas.
Mais, alors que je commence mon strip-tease, il me dit :
- Non, pas comme ça, soyez naturelle, Laure, offrez-vous sans manières.
- Bien, Monsieur, je vais suivre vos conseils.
- Cest bien Laure, vous comprenez, à lécoute sans être docile, rebelle et pas soumise.
Il vient de saisir une baguette et je frémis en pensant au pire, alors je lui dis :
- Si vous me faites mal, je men vais, jai horreur de la violence.
Mais, il ne me frappe pas et devant mon regard inquiet, il se veut rassurant et me dit :
- Ne vous en faites pas, Laure, je nai encore jamais frappé personne et la badine cest pour bien autre chose
Je me retrouve devant lui, avec juste mes chaussures et mon string fendu, mon porte-jarretelles et mes bas, alors il dit :
- Et ça, vous les gardez pour dormir ? Vous dormez comment la nuit ?
- Entièrement nue
- Eh bien, mettez-vous entièrement nue.
Il tourne autour de moi et de sa badine il caresse mes hanches, puis mes seins et enfin mon sexe, me faisant frémir à chaque contact, et il ajoute :
- Le plaisir ne vient pas que de la pénétration, je vais vous montrez quavec cette simple baguette je peux vous faire jouir
Et du bout de sa baguette il caresse le bout de mes seins les faisant durcir.
- Vous avez de beaux seins, dit-il, et sensibles par ce que je vois.
Pendant que jenlève mes bas et le porte-jarretelles, il utilise le bout de sa baguette pour titiller mes tétons, le contact les fait sériger un peu plus, puis il vient derrière moi et, toujours avec la badine, me caresse les cuisses afin que je les écarte légèrement.
Le bout glisse le long de ma raie et il me dit ;
- Et ce petit string, vous décidez-vous à lenlever ?
Je mexécute et sitôt enlevé, il passe devant moi et de même sur ma vulve, la caressant du bout de sa baguette, je frémis et sens que je commence à mouiller, et je lentends me demander :
- Quel est le plus gros sexe que vous ayez eu en vous ?
- Je ne sais pas, je nai pas mesuré.
- Mais vous vous souvenez de cette personne ? Et des circonstances ?
- Oui, cétait un inconnu sur la plage.
- Et vous avez bien joui ?
- Oui, mais je jouis toujours bien en général.
- Mais plus que dhabitude ?
- Je nai que le souvenir davoir été bien possédée et bien remplie.
- Vous aimeriez quun sexe énorme vous pénètre ?
- Vous savez, la grosseur ne fait pas tout.
- Je sais, mais cela y contribue et répondez-moi, Laure, aimeriez-vous quun sexe énorme vous pénètre ?
- Toutes les femmes aimeraient que leurs hommes soient plus gros, plus vigoureux et plus performants, elles aimeraient les sentir en elles.
- Mais vous, Laure, aimeriez-vous sentir en vous un sexe surdimensionné ?
- Pourquoi ne pas essayer.
A suivre
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