Lucas
Nous allons quelques fois dîner chez Laura ou lon croise son fils Lucas. Il a 31 ans, belle stature, bucheron de métier. Un regard gris vert sur un teint bronzé, souriant, un sens de lhumour malin, des doigts fins et un vrai sourire honnête et enjôleur. Si lors de nos premiers diners il disparaissait à notre arrivée il reste depuis pour partager la soirée. La dernière fois il a posé pas mal de questions sur la peinture et mon inspiration et avec un sourire il a voulu connaitre quel était le modèle de mes nus. Cest JF qui a répondu en linvitant à visiter mon atelier « viens et tu comprendras
». A la fin de la soirée juste avant de partir JF lance à nouveau « a bientôt donc ? ». Un peu plus tard, je nai pas eu besoin de répondre à sa question « il te plait non ? ».
Nous voici donc trois jours après dans mon atelier JF, Lucas et moi. Je parle de mes peintures, des paysages, des chevaux et cest Lucas qui ose « Alors ces nus, le modèle je pense que cest toi ». Cest JF qui répond « en fait je prend des photos et ensuite Muriel sen inspire pour ses tableaux. » « Tiens, regarde » et il ouvre mon ordi sur les photos du portrait encore dans latelier et de quelques autres photos. Cest moi qui montre alors les photos et le résultat de mes pinceaux. « Eh bien félicitation au photographe au modèle et à lartiste » Lucas lâche sa phrase avec une faiblesse dans la voix et une respiration profonde.
JF continue « je suis certain que Lucas apprécierait de comparer avec loriginal » latmosphère devient cristalline. « Muriel dégrafe quelques boutons que Lucas voit le réalisme de ton travail, la réalité, la photo et la peinture ». En baissant le regard je défais lentement fébrilement un, deux, puis trois boutons. Mon chemisier ouvert laisse apparaitre ma poitrine libre. Lucas avale sa salive, regard figé sur mes seins. « Pose tes mains Lucas, tu verras que la peau a le satin du tableau ». Il fait un pas et délicatement, timidement, du bout des doigts, il touche mon sein droit sans le prendre.
JF sapproche, me tourne légèrement sur le coté et dit « vérifie Lucas la courbe des reins est aussi douce » La main reste sur mon sein mais cette fois lenveloppe et le palpe discrètement alors que lautre main glisse vers le haut de mes fesses. JF séloigne discrètement vers le fond de latelier et Lucas ose faire glisser mon chemisier au sol. La lumière diminue, la pénombre sinstalle alors que Lucas toujours a mon coté caresse cette fois vraiment mes seins, me pelote même et que son autre main glisse sous lélastique de la jupe vers ma culotte. Il est tout proche de moi je sens son souffle dans mon cou et la vigueur raidie de sa virilité sur le haut de ma cuisse. Je me laisse faire en ondulant discrètement, ma hanche se porte avec fermeté sur le bas ventre de Lucas puis je méloigne et reviens. Il fait glisser la jupe avec la culotte sur le chemisier au sol. Nue je suis, il embrasse mon épaule puis ses mains dessinent tout mon corps. Il dépose un baiser dans ma nuque, sur lépaule puis sur chacun de mes seins alors que ses doigts en effleurements découvrent tout de ma peau. Un petit cri quand son majeur glisse sur ma fente humide, un raidissement, un tremblement pour un encore. Encore il y aura. Je le laisse me découvrir et vérifier ma nudité alors quil est encore habillé.
Puis je laide à quitter son teeshirt pour sentir sa peau contre la mienne. Il menlace de dos et parcoure, de ses mains, mes seins, mon ventre, mes cuisses, et glisse sur mon sillon en imprimant son doigt sur mes lèvres qui souvrent, sur mon clito brulant déjà. Il retire ceinture, pantalon et boxer pour laisser libre sa queue tendue qui vient se raidir en force entre mes fesses. Il plaque mon ventre et mime les vas et vient de la pénétration qui sannonce. Les caresses se multiplient, cette fois nos corps senlacent. Je masturbe le membre avec envie quand il fouille au cur de mes lèvres.
Il se retire sans véritablement débander, je me redresse et sens déjà entre mes cuisses sécouler le trop plein de son énergie. La réalité apparait, Lucas prend conscience quil vient de me faire lamour devant mon mari. JF dit « alors lartiste te plait on dirait ?... » Lucas, troublé, gêné, tente fébrilement de remettre ses vêtement alors que le sexe raide a bien du mal à trouver sa place. Cest moi qui mapproche cette fois pour linviter à reprendre la partie puisquil semble disposer des atouts nécessaires
Je glisse mes doigts sur ses muscles de bucheron, jencourage le membre, je crispe ses fesses fermes.
Je me relève, le sexe de Lucas sort de moi, il débande cette fois. Echange de regards souriants complices avec JF, on sait déjà notre suite dans le confort de notre chambre
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