Série « Les Voisins » Épisode 3 : Après La Boulangère Gérard Baise Sa Fille Mais Pas Que. Partie 2/2
Mercredi 10 mars 10 heures
Je mappelle Gérard, je viens vous raconter la suite de mon histoire de cul avec mes voisines de la boulangerie. Si six mois après mon mariage, javais trompé Liliane, en baisant Martine la vendeuse de pain pour me vider les couilles, avec ma patronne ce nétait pas le cas, tout était différent. Avec Christiane, ce nétait pas uniquement pour le sexe, même si ce que nous faisions ensemble était de prendre beaucoup de plaisir. Je ne lui avais jamais demandé de me faire une fellation, elle le faisait naturellement avec beaucoup de douceur pour son plaisir et le mien. Ce fut la même chose pour la sodomie, ce fut elle qui en avait pris linitiative et mavait décidé de la prendre par derrière, elle ne lavait jamais fait avant mais désirait me faire ce plaisir. Après quelques tentatives, elle fut comblée davoir essayé car elle jouissait différemment mais puissamment.
Nous faisions lamour avec beaucoup de tendresse et daffection. Du mardi au samedi, nous passions deux heures de pur bonheur. Ne risquant plus de la mettre enceinte, je ne mettais pas de capote pour notre plus grande joie. En attendant, Christiane revivait, elle avait enfin un visage radieux et un sourire naturel. Elle mattendait avec impatience dès que je revenais de ma tournée. Nous étions heureux de nous retrouver seuls dans son bureau quelle avait aménagé en y plaçant un clic clac. Nous étions amoureux et nous avions vécu deux années merveilleuses. Nous étions tristes et désolés de nous quitter le samedi sachant que nous ne pourrions pas nous revoir pendant deux jours.
Et ma femme me direz-vous, elle se contentait du dimanche après-midi, elle était bien contente que je ne sois plus autant après elle, au début ça lui suffisait amplement. Dès que javais connu le plaisir dêtre dans les bras de ma boulangère, jassouvissais mes pulsions sexuelles de mâle dominant avec Liliane. Javais commencé à la baiser sauvagement mais le pire fut quelle en redemanda.
Pendant les dix premiers mois, rien nétait venu perturber la relation amoureuse que jentretenais avec la boulangère. Pourtant ayant délaissé Liliane, celle-ci se doutant de mon infidélité avait commencé à changer. Elle rentrait de plus en plus tard du travail les mercredis et ne me demandait plus de la baiser en semaine. Javais donc pensé quelle me trompait à son tour, je ne pouvais pas lui en vouloir car de mon côté, je navais pas envie de me séparer de Christiane. Avec elle je vivais le parfait amour, néanmoins notre couple commença à battre de laile un an et demi après, lorsque Liliane commença à sortir certains samedis soir, soi-disant avec des copines. Nous avions pourtant limpression de nous aimer, nous ne nous disputions que rarement. Seulement à partir de là, nous navions que des rapports sexuels sauvages qui nous contentaient tous les deux.
Lors de mes tournées, les dimanches étant une journée de folie, javais pour maider la fille des patrons, âgée à cette époque, de 16 ans. Pendant les deux premières années, tout sétait bien passé, Sylvie était une adolescente super sympa, nous étions devenus assez complices et nous nous amusions beaucoup en nous moquant de certains clients lorsque nous étions sur la route. Bien entendu, tout ne se passa pas comme je lavais espéré. En vieillissant, javais tapé dans lil de la jeune Sylvie qui, à presque dix-neuf ans, commençait à faire tout pour maguicher. Jessayais de résister à ses avances, je ne voulais pas perdre Christiane.
Ces dimanches-là, à larrière de la camionnette, lorsque nous étions sur les places des villages, comme nous étions un peu trop à létroit, toutes les occasions étaient bonnes pour elle, pour frotter contre moi son cul ou son pubis.
Deux mois plus tard, en me regardant avec son sourire provocateur, elle navait pas cessé de me toucher ce matin-là. Puis pendant que je fermais le panneau latéral sur la place du dernier village de la tournée, jétais penché vers lavant les bras tendus sur les poignées, elle passa derrière moi et se plaqua contre mes fesses, passant ses deux bras autour de ma taille et une de ses mains se posa sur mon bas ventre en tâtant mon sexe. Après toutes ses allusions et les attouchements quelle mavait prodigués pendant la dernière vente, jétais bel et bien encore en érection. Ayant les deux mains prises, je navais pu lui retirer les siennes : « Arrête Sylvie ! Que fais-tu bon dieu ? » lui dis-je en élevant la voix : « Ne me dis pas que tu naimes pas, tu bandes comme un cerf. » Me répondit-elle en riant, sans aucune gêne.
Javais eu envie de la disputer mais en la regardant me sourire, je métais mis à rigoler avec elle, croyant quelle mavait fait une blague, enfin javais peine à le croire mais cétait ce quelle mavait certifié. Ayant fini notre tournée, au moment du retour à la boulangerie, sur la route elle posa sa main sur ma cuisse, cette petite salope avait de la suite dans les idées et dit de but en blanc : « Dis-moi Gérard, tas une grosse queue. » Je dois avouer que je fus très surpris par ses propos, elle commençait à être très vulgaire :
Arrête de fabuler Sylvie tu dérailles complètement.
Non ! Je lai plaqué pour toi, jaimerais que tu me fasses jouir.
Sil te plait Sylvie arrête ! Tu veux bien.
Je lui enlevai la main de ma cuisse gentiment, déçue elle ne me parla plus jusquau moment où elle me demanda de marrêter le long de la route sur un parking le long du bois : « Jai envie de pisser, Gérard ! Je ne peux plus me retenir, je vais faire dans ma culotte. » Elle était descendue à toute vitesse et était partie faire ses besoins derrière un bosquet. Soulagé quelle ninsiste plus, jen avais profité pour descendre fumer. En revenant Sylvie me lança un regard qui en disait long, elle me sourit en me fixant dans les yeux et monta dans la camionnette mais au lieu de sassoir sur le siège, elle passa directement à larrière. Javais fini ma cigarette, voulant reprendre le volant pour rentrer, je lui demandai de venir sassoir sur le siège passager mais elle refusa catégoriquement en me disant :
Ma mère ne doit pas sennuyer avec toi. Tu crois que je ne vous ai jamais vu en revenant du lycée tous les vendredis.
Non ! Quest-ce que tu dis, ce nest pas ça.
Ne me dit pas le contraire, je vous regarde, tu la sautes sur le clic clac de son bureau. Viens sinon je le dis à mon père.
Elle ne bluffait pas, elle rajouta : « Jai envie den profiter aussi. » Je vis dans sa main sa petite culotte quelle avait enlevée. Je navais pas pu mempêcher de penser avec ma queue. Il faut dire que la petite garce était parvenue à me faire bander plusieurs fois et je commis donc ce jour-là, lirréparable. Dès que je lavais rejoint à larrière de la camionnette, elle vint se plaquer contre moi pour membrasser. Je navais pas pu la repousser, je ne pouvais pas y échapper et cela nétait pas pour me déplaire. Elle continua à prendre les initiatives, tout en membrassant, elle baissa mon pantalon et me suça comme une morte de faim.
Sa petite main entourant la base de ma queue, lautre emprisonnant mes bourses quelle malaxait avec soin, son visage coulissait le long de ma verge turgescente puis la ressortait de sa bouche avant de recommencer.
Sans même sessuyer le visage, elle me demanda alors de la lécher et de la doigter. Je lavais empoignée sous les bras et lavais mise assise, son cul sur létal, avant denfouir ma tête entre ses jambes. Mes doigts la fouillaient et ma langue sactivait sur son clitoris, elle mouillait comme une folle. Je mamusais aussi sur sa petite rondelle encore vierge de ce côté-là. Mon cunnilingus dut lui plaire car après seulement quelques minutes, elle jouit elle aussi, sur ma bouche. Elle redescendit de son perchoir et vint me sucer de nouveau.
Sylvie était douée, elle navait mis longtemps pour redonner vie à ma queue qui bandait de nouveau. Jenfilais un préservatif pendant quelle sauta sur létal et très vite je la pénétrais, la ramonant comme un forcené, je lui remplissais la chatte sans retenue pendant plus dune dizaine de minutes avant quelle ne jouisse une deuxième fois, inondant ses cuisses. Elle avait poussé des petits cris pendant toute la pénétration, elle aimait se faire baiser cette petite salope et moi je ne pensais quà la prendre comme une chienne.
Javais très envie de la punir en lui faisant mal au cul car je métais promis de lenculer. Je lattrapai et la fit descendre afin de la mettre à quatre pattes sur le sol, je lui avais écarté les cuisses avec force. Je me mis à genoux devant elle pour lui baiser la bouche en gorge profonde, cela fut pénible pour elle qui ne connaissait pas encore cette méthode. Elle était exténuée mais je nen avais pas encore fini. Je me mis derrière son cul, je poussai mon gland sur son petit trou avec mon pouce, sans délicatesse, puis dun seul coup de rein, je lui avais défoncé lanus :
Oh putain ! Tu fais mal ! Aie
Hurla-t-elle.
Je lenculais comme un sauvage, elle criait en permanence : « Oh putain ça fait mal ! » ou encore « Aie, aie, aie ». Puis une fois que son anus fut largement dilaté, je ressortais entièrement ma queue épaisse et lui giflais les fesses fortement, avant de me retrouver dans son fondement. Je lavais couchée sur le côté, je me mis derrière positionnés en petites cuillères. Ses petits cris changèrent de tonalité, ils se transformèrent en : « Oh putain oui ! » « Oh, oui ! Oh cest bon ! » Gémissait-elle tout en se frottant le clito. Je la sodomisais sans ménagement, je la pistonnai ainsi pendant plus dun quart-heure, avant quelle ne jouisse. Je nen pouvais plus, je retirai ma capote et jéjaculai enfin sur ses fesses.
Voilà comment je navais pu mempêcher de baiser la fille du boulanger. Lorsque nous étions rentrés avec quarante minutes de retard, sa mère trouva drôle, dautant plus que Sylvie avait des difficultés à marcher, elle avait vraiment mal au cul. Javais trouvé lexcuse dune panne, mais Christiane nétait pas née de la dernière pluie. Celle-ci qui voulait divorcer depuis un an était restée uniquement pour moi. Le mardi à 13 heures, lorsque jétais revenu de tournée, nous nous étions retrouvés dans son bureau comme dhabitude. Seulement ce ne fut pas pour faire lamour. Lorsque javais voulu lembrasser, elle me repoussa et me dit que tout était fini entre nous quelle savait ce que javais fait à sa fille.
Le lendemain matin, Henri mon patron mannonça que son épouse lavait quitté. Christiane était partie de son domicile dans laprès-midi et je ne lavais plus revue. Jétais abattu, lorsque Liliane me vit dans cet état le soir en rentrant du travail, elle avait compris que quelque chose sétait passé. Elle sassis à côté de moi sur le canapé et me questionna longuement, jétais tellement dépité que je navais pu lui cacher plus longtemps mon adultère avec Christiane sans lui parler de Martine et surtout pas de Sylvie. Liliane compatit, elle fut très gentille et très affectueuse avec moi, ce quelle nétait pas habituellement et mavoua quelle aussi mavait trompé :
Jai tout de suite su que tu avais quelquun lorsque tu as refusé de coucher avec moi la première fois. Pour me venger, je suis sortie avec un collègue mais désormais notre liaison est terminée. Je regrette mon chéri. Me dit-elle en membrassant.
Ce soir-là, nous avons fait lamour comme des fous, il y avait bien longtemps que nous navions pas baisé de la sorte. En quatre soirées, Liliane mavait fait presque oublier Christiane. Cependant, le chantage continua le dimanche suivant, Sylvie en voulait encore et était bien décidée de men faire voir de toutes les couleurs. Je ne voulais pas que ma femme soit mise au courant et surtout pas son père qui ne savait pas que je niquais sa femme et sa fille par-dessus le marché. Depuis, tous les dimanches, Sylvie passait à la casserole et nous revenions avec une trentaine de minutes en retard, à la boulangerie.
Dès le jeudi matin, Henri avait embauché une jeune vendeuse pour remplacer Christiane. Je fus très surpris de voir à la boutique, Nadine G, une voisine de quartier avec laquelle javais sympathisé. Cette femme divorcée de 36 ans dapparence coquine, se laissait courtiser facilement. Je la croisais souvent à la boulangerie où elle achetait son pain, lorsque je rentrais de tournée mais également dans les rues où nous habitions tous les deux, je me doutais bien quelle en pinçait pour moi, jétais même certain quil ne fallait pas grand-chose afin que je parvienne à mes fins.
Comme javais décidé de ne plus tromper Liliane, tout en restant courtois avec cette nouvelle vendeuse, jévitais toute approche. Cependant, Henri le patron avait vite oublié sa femme, après six mois, Nadine sétait empressée de la remplacer dans le lit du boulanger. Tout avait commencé, daprès le commis qui me raconta cette histoire, dès la semaine suivant son arrivée à la boulangerie. Il les avait vu baiser dans larrière-boutique et les après-midis, elle montait de temps en temps avec lui, faire la sieste. Le gros problème pour moi, fut que Nadine, une fois bien ancré auprès du vieux, voulut que je la rejoigne dans le bureau de Christiane qui était à présent, devenu le sien.
Chez-moi, Liliane était redevenue elle-même, la routine après six mois, sétait une nouvelle fois installée. Croyant quelle avait une chance avec moi, elle mavait quelques fois envoyé des signaux fort, cependant je trouvais toujours la bonne excuse dêtre fidèle à mon épouse pour refuser ces avances. Pendant toute la semaine, javais résisté mais ce jour-là, avec sa petite robe sexy, elle savança vers moi en remuant son cul. Ce fut plus fort que moi, je lavais saisi et je lavais poussé dans le bureau où je lavais culbutée comme une vraie pute.
Malheureusement, le samedi elle voulut remettre le couvert, mais je refusai une nouvelle fois. Elle me lança tout de même :
Liliane est cocue depuis bien longtemps, Martine, Christiane Sylvie et sans doute dautres, tu les as déjà oubliées ?
Ninsiste pas Nadine, jai fait une erreur hier mais je ne recommencerai plus.
Je naurais jamais pensé quelle ait dit cela comme une menace car elle avait peur quHenri le sache. Pourtant le dimanche, Sylvie sétait empalée sur mon engin, je la ramonais comme toutes les semaines, elle criait de plaisir, nous navions pas entendu une voiture se garer sur le fameux parking. Lorsque soudain mon patron, ayant été averti par Nadine, nous avait suivi. Par pudeur pour sa fille, il nouvrit pas la portière mais frappa du poing sur la carrosserie en criant : « Sylvie je tattends dans la bagnole. Toi Gérard, tes viré. »
Javais perdu mon emploi, mon patron avait raconté à ma femme, ce que je faisais avec sa fille. Liliane navait pas attendu, elle me quitta pour retrouver Guillaume avec lequel elle navait jamais rompu. Heureusement pour moi, la semaine suivante, jétais allé voir Christiane qui maccueillit les bras ouverts. Comme elle était la gérante dune petite superette, elle mavait embauché. Deux ans plus tard, après nos divorces respectifs, nous nous sommes remariés. À samedi prochain
Chères lectrices et chers lecteurs, merci de laisser vos commentaires, je compte sur vous. Si comme Gérard, vous avez envie de raconter vos histoires damour ou de sexe, contactez-moi par Email, avec votre collaboration, jécrirai votre propre récit. cyp.perruche@orange.fr
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