Héphaistos
Héphaïstos, quand il est né, il était tellement laid quHéra, sa mère pourtant, le jetait par la fenêtre avec leau du bain. Bon départ pour commencer une vie, même pour un dieu de lOlympe. Heureusement pour lui Thétis, (oui celle de la justice) et sa sur soccupent de lui. Tant quil était ado, tout allait bien, plus tard, il avait des envies quil narrivait pas à exprimer. Les deux surs voulaient lui acheter une poupée gonflable, mais ce genre de substitut détait pas en fabrique à lépoque.
En grandissant il put se faire un métier : il était un dieu forgeron. (Je sais cest bizarre, mais la mythologie que je connais, (jai la première édition en V.O.) le décris ainsi, elle donne ses principaux clients : Zeus pour la foudre, le bouclier dAthéna (ça vous en bouche un coin !)Etc. Joubliais le principal, il fournissait Eros en flèches, particulièrement utilisées pour les amours physiques (il en vole encore). En règlement de ce quil lui devait Zeus lui donne la belle Aphrodite pour épouse.
Les mariages daffaires sont rarement heureux. Dès la première nuit passée, Sa belle femme cherche un moins moche ailleurs. Comprenez cette pauvre déesse obligée de cohabiter avec un monstrueux dieu ? Elle file avec le maître de guerre : Arès. Et notre pauvre dieu dans tout ça : il reste seul dans sa grande maison chauffée, avec eau courante à tous les étages, avec WC style japonais qui vous essuie les fesses, pour ne pas le dire le trou duc avec un jet deau tiède, le sèche ensuite pour vous le rendre comme un sou neuf, cheminée à gaz dans les pièces principales. Bref tout confort presque moderne.
Héphaïstos vivait seul chez lui, vers lEtna. Son seul délassement était sa queue. Il laimait bien sa bite qui bandait souvent. Il la cajolait avec de bonnes caresses montantes ou descendantes le long de cette colonne. Il avait même bricolé un machin, un truc pour la câliner davantage. Après une foules dessais il la passait sous un jet deau tiède, la lavais avant de laisser le jet agir.
Donc notre dieu, habile de ses mains pense un jour (oui ça lui arrive de remuer son neurone) il pense donc quune femme, même rêvée lui plairait bien. Il fait une maquette au 1/27° (comme les petits trains, sauf que les trains nexistaient pas encore). Pas mal disait-il en regardant luvre. Cest dit, je la fait. Au milieu de son atelier sous le volcan, il trouve le matériel, le temps surtout avec le travail fou quil a, de bricoler ce modèle unique que lui envient ensuite les autres confrères les dieux dOlympe.
De ses mains rugueuses, cagneuses, il sort un modèle unique la belle Pandore. Cétait un modèle amélioré de la FEMME. Dapparence normale, elle avait surtout un certains appétit pour les éteintes sexuelles. Elle ne changeait pas beaucoup des autres femmes de lépoque, mis à part son insatiabilité pour les étreintes de son forgeron de dieu. Alors là, elle dépassait tout ce qui existait. Dès le premier jour, en attendant la nuit de noce, elle était allongée sur le lit, nue, cétait de toute façon la mode de lépoque, mais les jambes ouvertes, à la recherche de son berlingot. Elle ignorait encore les détails de son coffre. Mais avec la dextérité qui caractérise les femmes en général et elle en particulier elle trouvait vite des petits endroits charmants où poser ses doigts. Par simple curiosité elle se touchait là dedans ce qui semblait curieux, agréable, mouillée même (cest amusant de trouver entre des cuisses un endroit mouillé, et pourquoi et je ne sais pas ce que cest et je fouille). A force de chercher le pourquoi, elle trouve la solution ou plutôt le résultat. (Cest bien de trouver le résultat avant de poser le problème).
Pandore trouve que cest bizarre de sentir cette bonne sensation entre ses jambes.
Pandore cherche des jeux à faire avec ce truc. Cest sans trop savoir quelle le prend, en jouant à cache cache dans son petit trou. Après un aie, compréhensible, elle accepte le jeu. Elle remue autour du machin. Cest bizarre leffet que ça fait. Cest même amusant quand la chose crache dans son petit derrière. Et pourquoi je nessaierais pas avec le trou que jai devant. Et vlan, elle a ce bout de macaroni (oui, je sais à lépoque le macaroni nexistait pas encore, et alors, la description poétique ne compte plus) dans son environnement bas. Cest meilleur que par lautre coté. Notre dieu enfin trouve un modèle de femme normal. Un modèle que beaucoup dhommes voudraient. Il na plus besoin de son installation : il jouit dans un corps chaud, aimable, animé.
Bien sur, pour faire marcher les affaires de son mari de dieu, elle se permet de légères infidélités qui rapportent toujours du boulot à latelier (bisness is bisness).
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