Ne Refusez Jamais Le Calendrier Des Pompiers ....

Il est bientôt vingt heure un vendredi soir de décembre, j’en ai mare de faire du porte a porte pour distribuer les calendriers des pompiers dont je suis capitaine
Enfin voilà ma dernière maison, mais si j’ai bonne mémoire, cet été nous avons fait une intervention ici même ?
Je souviens très bien de cette jeune femme qui en chahutant dans le jardin avec son mari était tombée sur un piquet, elle s’était perforée la cuisse tout prés de l’aine, très prés du sexe d’où mon souvenir ? Je sonne au portillon

- Bonsoir, c’est les pompiers pour le calendrier 2014
- Entrez je vous ouvre

Je traverse la cour un homme en robe de chambre m’ouvre la porte

- Excusez la tenue mais à cette heure ci nous nous habillons décontractés, chérie ? vient, c’est les pompier, ça ne te rappelle rien ?

La jeune femme entre dans le salon, elle aussi en robe de chambre, j’imagine qu’elle est nue en dessous …

- Haaaaa, bonsoir monsieur … mais … c’est vous qui êtes venus pour mon accident au mois de juillet ?
- Effectivement, je vous reconnais aussi, ça va mieux ?
- Vous avez bien cinq minutes, nous allons fêter ça ! Quelle histoire !
- N’empêche que vous avez eue de la chance, à quelques centimètres et votre artère fémorale y passait et vous aussi !
- Donc j’étais perdue ?
- A cet endroit, si prés de l’aine impossible de faire un garrot
- Mylène se souvient très bien de cet épisode car vous étiez le premier homme, a part moi, a lui enlever sa petite culotte !
- C’était un short, mais la culotte est venue avec, de toute façon elle était imbibée de sang
- Je vois que ça vous a quand même marqué monsieur !
- Pompier sans doute, mais homme surement !
- J’étais quasiment nue devant vous
- Et ce n’est pas tout, raconte a monsieur !
- Alain voyons !
- Quoi ? je vais le raconter pour toi … Mylène m’avais confié qu’une fois allongée dans votre fourgon qui partait pour les urgences vous lui compressiez la plaie avec une compresse
- Sinon elle perdait tout son sang,
- Mais en même temps vous lui caressiez le pubis avec le dos de votre autre main
- Ce n’était qu’un geste d’apaisement, votre femme était si livide
- Mylène ne l’a pas interprété ainsi … elle m’a dis qu’elle sentait venir un orgasme mais le fourgon est arrivé une minute trop tôt aux urgences
- C’est vrai ? j’en suis confus ! excusez mon audace
- Surtout pas !
- Vous avez gardé une cicatrice ?
- A peine visible, montre là a monsieur Mylène
- Ça me gêne … mais j’avais promis que si je vous rencontrais je vous remercierais à ma façon
- Considérez que c’est fait madame !
- Je veux que vous embrassiez ma cicatrice, cela fait partie de notre imagination
- Oui, car suite a cela nous avons fantasmés sur ce qui aurait put arriver entre vous deux dans votre fourgon …

Mylène va s’allonger sur le canapé et ouvre sa robe de chambre en même temps que ses cuisses, la femme porte un string immaculé

- Regardez de plus prés sa cicatrice …

Je me sens obligé de m’exécuter ….

Je me penche, une légère trace rose indique encore l’endroit de la blessure, au moment ou je vais me retirer Mylène pèse sur ma tête, me bouche se retrouve collée a son aine

- Embrasse ma cicatrice beau pompier

Mes lèvres s’entrouvrent ma langue lèche délicatement l’endroit indiqué, situé si prés de le la vulve que l’odeur intime de la femme envahi mes narines

- Lèche moi j’ai le feu au ventre …
- Vous êtes pompier ? elle à le feu ! faites ce qu’elle vous demande, je vais à la cuisine ….

Une fois seuls je perds pied, ma langue dévie sur la partie étroite du string ou une auréole se forme a vue d’œil, ses cuisses se resserrent sur mes oreilles, ses doigts viennent écarter sa culotte

- Je veux ta langue dans ma fente….

Cette fois finit l’hésitation, ma langue se fraie un passage entre les lèvres imprégnées de mouille, coincé par les cuisses je lape comme je peux, voyant que je manque d’aisance les genoux s’ouvrent et remontent très haut, mes doigts viennent a la rescousse, j’enfonce l’index et le majeur dans son vagin détrempé, ainsi ma langue peux aspirer a loisir le clitoris rose qui pointe
Mylène mugit de bonheur, le mari n’est pas loin car j’entends souffler très fort…. Il vient pétrir les seins se sa femme, sa verge bandée est sortie du pantalon

- Chéri ! je vais jouir …
- Lâche prise mon amour notre fantasme se réalise exactement avec l’homme que nous voulions
- HAAAAAAAAAaaaaaaaaaaaaaaaa je jooouiiiiiiiiiiiiiis

Un flot de jus acre jaillit j’essaie de boire un maximum, les cuisses cessent de trembler je me relève une goutte de mouille au nez et le front couvert de sueur

- Vous avez chaud ! Vous devriez quitter votre veste … et le reste …..
- Je vais plutôt vous laisser vous retrouver…
- Et l’incendie que vous avez provoqué ? qui va l’éteindre ? vous avez une lance adaptée à ce cas non ?
- Vous voulez que je fasse l’amour à votre femme ?
- La baiser sera suffisant ! nous allons nous occuper de Mylène tous les deux ça vous va ?
- Dépêchez-vous les hommes j’ai très envie !

La jeune femme gigote sur le canapé comme un gamin qui fait un caprice, devant tant de désir je cède, mes vêtements gisent sur le carrelage, elle fixe avec gourmandise ma verge tendue et tend la main afin que je m’approche d’elle

- Une telle lance devrait pouvoir circoncire ton incendie chérie !
- Je vais le sucer …

Aussitôt ma queue est avalée, mes bourses pétries, Mylène suce à merveille, je donne quelques petits coups de reins afin d’entrer le maximum dans cette bouche ouatée, sa langue fait des ravages sur mon frein je vais bientôt décharger dans sa gorge, inutile de chercher à me retirer, la femme sentant mes contractions serre mon manche a deux mains, elle déglutit péniblement les rasades qui fusent a quatre reprises, un surplus coule aux commissures de ses lèvres, ravie de son exploit elle lève les yeux vers moi en souriant

- Je ne suis pas complètement éteinte …
- Chérie ? je suggère que ton sauveur s’assoit sur une chaise et que tu le chevauche de dos, ainsi je peux m’occuper de tes seins et pourquoi ne pas me faire sucer en même temps ?
- Pas mal comme suggestion

Bien calé sur ma chaise, la queue a la verticale, Mylène vient sur moi, la chatte ouverte pas deux doigts elle se laisse descendre sur mon mat en gloussant de joie, son mari regarde en se masturbant la chatte s’éclater, une fois calée sur mes genoux elle ondule du bassin, ma queue se vrille dans son ventre, la tête baissée pour avaler le membre turgescent de son mari, notre trio se met en mouvement je donne de petits coups pour perforer au mieux la vulve qui suinte sur mes bourses
Ça ressemble a une levrette fainéante, la femme en position inconfortable d’un jockey est transformée en une mécanique bien huile dont deux pistons bien lubrifiés vont et viennent en elle, je la maintiens par les hanches et règle la cadence et la profondeur de pénétration aussi bien dans son vagin que dans sa bouche
L’homme ouvre la bouche béat de bienêtre, les yeux lui sortent de la tête, il n’imaginait surement pas faire baiser sa femme ce soir, ma positon me permet de voir les lèvres charnues vaginale lécher ma bitte a chaque mouvements en produisant un chuintement mouillé

- Chérie c’est merveilleux, nous en avons tellement parlés et ça arrive sans l’avoir prémédité ….
Hoouuuuuuuaaaaaaaaa je vais décharger ….. hooooooooooooooooooooooo !
- HUUUUUUMMMMMMM c’est boonnnnnnnnnnnnnnn,

Dans le feu de l’action je libère tout le jus de mes couilles en maintenant solidement Mylène sur mon ventre

- CHERIIIIIIIIII !!!!!!!! Sa lance se met en action ! Le pompier asperge de sperme le foyer incandescent de ma chatte
- Tu as le feu au cul salope ! je vais te baiser aussi !

Mylène s’est relevée un torrent de jus s’écoule entre ses cuisses elle s’accroche au cou de son mari qui l’enlace amoureusement, ils semblent avoir oubliés ma présence, je m’habille en silence et quitte la maison sur la pointe des pieds, alors qu’ils sont accouplés a même le sol

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