Leslie La31
Leslie LA31 Laure, le journal intime Rencontre, suite et fin
A cet instant, je me dis quil soit être monté comme un âne et quil me prépare psychologiquement à des pénétrations hors normes.
- Me faites confiance, Laure ?
- Oui, Louis, jai confiance en vous.
- Alors passons dans la pièce dà côté.
Il ouvre la porte et sefface pour me laisser passer.
Ce nest pas vraiment une chambre, on dirait plutôt une salle de gymnastique, mais je ne vois pas dappareils dentrainement mais des machines un peu étranges et en regardant de plus près, je commence à comprendre, ce sont des espèces de machines pour le plaisir.
Cela me fait bizarre dêtre là, avec Louis, dans une salle spécialement dédiée au plaisir et la jouissance des corps et je me demande, pour nen navoir jamais vue si cela fait mal
Louis a compris mes inquiétudes et mes interrogations au sujet de ces engins, alors il vient à mon secours en me disant :
- Ne vous en faites pas, Laure, je ne veux que votre plaisir, rien dautre. Vous pouvez partir et arrêtez quand cela vous plaira, cest la base de la confiance, mais vous avez confiance en moi, Laure ?
- Oui, dis-je dune petite voix.
Il memmène près dune table, comme une table dexamen, mais basse et me dit :
- Allongez-vous sur cette table et posez les pieds dans les étriers.
Il vient près de moi, prend un de mes poignets et lattache à la table avec un bracelet de cuir et fait la même chose de lautre côté. La jeune fille que je suis, attachée de la sorte, mes mains maintenant immobiles dans les bracelets, commence à flipper,
Machinalement, je veux me dégager, mais je ne peux et Louis me dit :
- Allons, ma chère Laure, vous ne me faites plus confiance ? Je vous entrave simplement pour que vous soyez seulement dans votre plaisir et que vous ne puissiez bouger dans tous les sens quand votre plaisir cous gagnera t envahira votre corps, mais vous pouvez à tous moments me dire darrêter et je vous écouterais.
Je le regarde dans les yeux, coupée entre le désir de continuer et de savoir et celui darrêter et de menfuir, juste un instant, après il sera trop tard.
Mais il na pas lair dun sadique, ni dun pervers, alors je lui dis :
- Non, allez-y, je suis prête, attachez-moi.
Jai presque envie de dire darrêter, rien que pour tester son honnêteté, mais à présent, dans le désir de savoir, je dois lui faire confiance.
Maintenant il mattache les pieds avec dautres bracelets dans les étriers, puis les cuisses aux montants des étriers avec de larges bracelets prévus à cet effet, je suis maintenant immobilisée sur cette table les cuisses grandes ouvertes, offerte sans pouvoir faire un geste.
Je regrette presque, mais je sens ma vulve shumidifiée dans lattente de ce qui va se passer maintenant
Je sens que la séance va bientôt commencer, je suis stressée, quand je le vois venir vers moi et mappliquer un liquide entre mes cuisses, certainement du gel lubrifiant, cest froid, et je comprends quil est en train de me lubrifier en abondance toutes mes parties intimes. Puis je sens un gode qui senfonce en moi et lubrifiée comme je suis, ça senfonce comme dans du beurre et je le sens à peine.
Puis jentends le cliquetis dune machine que lon vient de démarrer et le gode qui se met à aller et venir en moi, pas très vite, mais assez profond.
Au bout dun certain temps, Louis revient vers moi et me demande :
- Alors, chère Laure, ce nest pas trop douloureux ?
- Pour le moment ça va, je nai pas trop à me plaindre.
Alors pour la première fois, il use de ses mains sur mon corps, de lune il me pince les tétons, créant en moi une étrange douleur qui me vrille les seins et se répercute dans mon bouton qui sérige de plaisir et de lautre il agace mon clito maintenant érigé, visible et offert à ses doigts.
Je commence à être sérieusement stimulée, sinon excitée. À ce rythme-là, je vais jouir très vite, mes seins et mon clito agacés, plus le gode qui me ramone inlassablement je ne vais pas tenir très longtemps
Louis tourne un bouton, et la cadence du gode en moi augmente, Louis continue ses caresses sur mes tétons et mon clito, je sens que je vais jouir très vite.
Mais soudain tout sarrête, me laissant dans un sentiment de frustration, louis se détache de moi et la machine à empaler cesse ses mouvements en moi.
Louis me regarde et me demande :
- Désirez-vous continuer, allez plus loin, ou cessez lexpérience ?
Dans un souffle je lui réponds :
- Continuez, faites-moi jouir !
Il change de gode et il rebranche la machine. Vitesse très réduite, mais lengin est de taille. Je le sens bien, il me laboure le vagin. Il est fort, imposant et toujours infatigable. Les minutes sécoulent, Louis a repris ses attouchements et le plaisir revient, des spasmes de plaisir me traversent la poitrine et mon sexe est en feu.
Le rythme saccélère encore un peu, et encore un peu plus, je suis hors de moi, mon corps est arc-bouté, cette jouissance qui monte, je vais mévanouir de jouissance !
Je crie, je hurle, je me débats, je jouis de tout mon être, je suis défoncée par cette machine infernale, infatigable, continuant sa cadence infernale, à laquelle sajoutent les caresses de Louis sur mon clito et mes seins maintenant tuméfiés.
Je ne suis plus que jouissance, des jouissances infernales qui se succèdent les unes après les autres, jai envie que ça sarrête, je nen peux plus, je vais dire darrêter, mais soudain à nouveau tout sarrête, me laissant dans lorgasme qui ne redescend pas.
Je ne suis plus quune douleur et quand Louis pose son doigt sur mon clitoris, je ne peux que hurler en marquant, le corps traversé par une décharge électrique.
- Chère Laure, me dit Louis, lorgasme vient du fait de labandon dans la confiance, nêtes-vous pas daccord ?
Je comprends soudain quil ma attaché juste pour que je ne puisse me dérober et que je me laisse aller jusquau bout, afin de ne pas me couper de mon plaisir au moment de perdre pied.
- Mais voyez-vous maintenant, je vais vous faire vivre limpossible, comme vous le souhaitiez !
Je nen crois pas mes oreilles, Louis est fou, je nen peux déjà plus et il veut memmener encore plus loin, il retire alors le piston-gode, je dois être béante, ouverte comme jamais.
Puis la machine redémarre et je sens un truc énorme glisser entre mes cuisses, trop gros, ça ne va pas passer, je me mords les lèvres et contre toute attente, ça rentre en moi, mon vagin va exploser mon vagin et, le pire, cest que ça bouge lentement
Ce pal démesuré me transperce et me ramone, cest horrible, jai limpression dêtre fendue en deux, mais la douleur ne dure que quelques secondes. La crème chauffante fait son effet et jai limpression que je vais déjà jouir.
Il suffirait dun rien, dune petite vibration ou dun attouchement, mais le va-et-vient est imperturbable, mais quand le doigt de Louis se pose sur mon clitoris, je jouis presque instantanément.
Le rythme saccélère encore, je ne suis plus quun trou énorme pourfendu de toutes parts par un mandrin surdimensionné, je vais supplier darrêter, mais je crie, je hurle, je jouis et je pars dans lextase.
Ohhh, non, cela recommence déjà, cest insupportable, je jouis encore, je suis à fleur de peau, je crie, je me débats emportée par lorgasme qui me terrasse.
- Ohhh, non, non, cest trop fort, je nen peux plus, dis-je dans un grognement
Je deviens folle emportée par le plaisir, je jouis, encore et encore, je vais mourir de jouissance et je perds conscience.
Quand je reviens à moi, toutes les machines sont arrêtées et il règne un silence dans la salle, je me sens courbaturée de partout, déchirée et tuméfiée de partout, par la jouissance qui ma terrassé une bonne vingtaine de fois.
- Vous avez été parfaite, me complimente Louis.
Le compliment me fait plaisir, mais dans létat ou je suis-je ne suis pas certaine de lapprécier à sa juste valeur.
Il me détache, en regardant mon intimité encore ouverte, jai du mal à me redresser car je suis fourbue, le gode qui vient de me transpercer est véritablement énorme et je suis stupéfaite de lavoir accepté en moi.
Jessaie de me mettre debout mais je titube un peu, Louis maide un peu, il me faut du temps pour me réhabi, redescendre car je suis tellement groggy que je ne me suis même pas aperçue que javais le plug anal en moi.
Ce nest quau bout de quelques pas que je lai senti et voulant le retirer Louis ma dit :
Gardez-le encore, vous allez reprendre des forces et ainsi vous serez prête pour lapothéose !
Je me retourne, effarée, je le regarde et je lui fais non, de la tête.
- Non, pour moi cest fini, je nen peux plus, jarrête là !
- Attendez, douce Laure, vous ne pouvez partir ainsi.
- Je nen peux plus !
- Allons, venez, vous changerez peut-être davis
Jen doute, mis en attendant il me ramène sur la terrasse, lui toujours habillé et moi entièrement nue, il me sert à boire et nous mangeons quelques toasts, une impression dirréalité flotte en moi. Dire que linstant davant jétais en pleine jouissance sous leffet dune machine infernale et que là, à cet instant je me prélassais sur la terrasse, nue, revenant à la vie.
Mais soudain, Louis me dit :
- Et si maintenant nous passions dans la chambre ?
- Je nai pas trop envie, jai le sexe cassé, il va me falloir plusieurs jours pour men remettre, jai envie de refuser, mais Louis me charme à nouveau et je finis par le suivre.
Une fois dans la chambre, il me dispose sur le lit à quatre pattes, il fait particulièrement sombre dans cette pièce et je vois presque rien, mais je lentends se déshabiller derrière moi en me disant :
- Restez ainsi, offerte, concentrée sur votre seul plaisir, dans un abandon total pour en profiter au maximum et ne refusez pas le plaisir
Je le sens qui sapproche et pose ses mains sur mes fesses, un doux contact qui me fait frémir, puis je sens quil me retire le plug anal en me disant :
- Vous voilà prête et offerte dans labandon total qui va vous menez à lapothéose finale.
Il me caresse les seins, joue encore avec mes tétons les pinçant et les tordant, puis il me branle le clitoris et je feule comme une chienne en chaleur.
Puis après de longs préliminaires, je sens quelque chose senfoncer entre mes fesses, dans mon petit trou entrouvert, un membre de belles dimensions si jen juge par la difficulté de sintroduire en moi, malgré le passage du plug anal, car depuis mon anneau a eu le temps de se refermer.
Le gland passe enfin, mélectrisant et réveillant mon corps et il me sodomise à son rythme. Après la fureur de lempalement, cest plutôt agréable, ça dure un bon moment, je me surprends à jouir du cul et à son tour, il jouit en moi. Je sens les spasmes de son sexe dans mes fesses, ensuite il se retire et je lentends se rhabiller, cest fini, je nai rien vu mais jai bien sentie.
Je récupère mes habits au salon et me rhabille et je lentends me demander :
- Que diriez-vous de passer le week-end chez moi, demain nous pourrions faire une ballade ?
- Il faut que je me repose un peu, que diriez-vous de vendredi prochain ?
- Comme vous voulez, alors à la semaine prochaine
A suivre
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