Le Père De Mon Meilleur Ami

En bon petit provincial, je n'étais jamais allé à Paris. Et comme j'ai dû aller à la fac de médecine, il a bien fallu que je me décide. Le seul problème, c'est que je n'avais pas trop le temps ni l'argent de me trouver un appartement. Heureusement, un très bon ami de lycée qui habitait à Paris et allait à la même fac que moi m'a dit que je pouvais dormir chez lui. Je passais donc mon temps soit à la fac soit chez lui, avec sa mère et son petit frère car ses parents sont divorcés.

Mon pote en question, qui s'appelait Gaëtan, passait sa vie avec sa copine, je n'arrêtais pas de lui dire qu'il aurait mieux fait de bosser pour réussir les concours de fin d'année. Il savait bien que dans le fond, moi, ce que j'aimais, c'était les mecs, mais il s'en moquait.

A part lui, il n'y avait pas beaucoup de monde au courant, je n'étais pas encore très à l'aise avec mes émotions, et je n'avais pas envie de voir changer le regard des autres. C'était presque une des seules personnes à être au courant. C'est sans doute pour ça que j'appréciais autant sa compagnie, je pouvais enfin parler librement.

Enfin bref, quelques semaines seulement après la rentrée, un samedi, j'étais tout seul chez lui. Il était chez Claire, sa copine, sa mère était partie faire des courses je crois, et son petit frère qui était au lycée avait cours le samedi matin.

Je profite de l'occasion et je commence à chercher quelques petites vidéos sympa et à me tripoter. Mon téléphone sonne, je regarde : c'était Claire. Je ne comprenais pas trop pourquoi elle m'appelait et à vrai dire, je laissais sonner ; j'étais déjà bien occupé. Elle me rappelle une seconde fois, mais la sonnerie est recouverte par les grognements du mec dans la vidéo, bel africain bien monté en train de besogner sans vergogne sa pauvre proie qui criait de jouissance. Une minute plus tard à peine, mon téléphone vibre : un nouveau message vocal. Je décide d'écouter ma messagerie, et baisse un petit peu le son de mon porno, tout en continuant à m'astiquer pour ne pas perdre le rythme.


"Salut, c'est Claire, Gaëtan m'a dit... Enfin bref, j'en ai parlé à une copine de la fac, et on pense que tu devrais t'assumer... enfin auprès des autres... faire ton coming-out quoi !" Et là, noir total dans mon esprit. J'entends vaguement les grognements et les gémissements en fond sonore et je me sens défaillir. Je n'ai même pas le temps de fermer mon ordinateur, je suis saisi d'une violente nausée, et je cours vers les toilettes pour vomir, en larmes.

J'ai à peine le temps de remonter mon pantalon et mon caleçon. Je me précipite dans le couloir le pantalon à moitié baissé, la vue brouillée par les larmes qui montent, je cours sans regarder et sans penser à rien. Et là je rentre dans quelque chose, ou plutôt dans quelqu'un. Sous le choc, je n'ai même pas le temps de comprendre ce qui m'arrive, encore moins d'avoir honte. Je finis par reprendre mon souffle et je vois un homme, la cinquantaine, en costard, qui me sourit avec tendresse et m'annonce : "Tu dois être Louis ?"

Je ne comprends pas sur le coup. La seule chose qui parvient à mon cerveau, c'est un énorme sentiment de honte. Il me dit encore : "je suis André, le père de Gaëtan. Je suis venu chercher mes fils pour le week-end". Bêtement, je n'arrive pas à m'arrêter de pleurer. Il me regarde, en me souriant, et me prend dans ses bras. Oubliant tout sentiment de culpabilité, je me mets à pleurer blotti contre lui, et mes larmes mouillent sa chemise. Il sent bon. Je lève la tête et le regarde. Je n'avais même pas vu à quel point il était beau. Et grand. Très masculin. Mâchoire carrée, les cheveux courts grisonnants, un sourire ravageur qui n'a pas l'air de le quitter, quelques rides sur le front mais un air tendre, viril et sexy.

Ce n'est qu'à ce moment-là que je me rends compte que j'ai le cul à moitié à l'air et que mon érection ne s'est pas encore arrêtée. Comble de l'humiliation, mon sexe à moitié dur se frotte contre sa jambe depuis une bonne minute, et je ne m'en étais même pas aperçu.
Je suis incapable de prononcer un mot, je bredouille quelque chose d'inaudible et remonte mon pantalon. "Ne t'en fais pas va. On le fait tous".

Il me gratifie d'un sourire encore plus prononcé et commence à m'ébouriffer les cheveux. "Par contre, moi généralement, ça ne me met pas dans un tel état". L'espace d'un instant, j'avais presque oublié le message de Claire. Je me remets à pleurer et à gémir de plus belle, il m'enlace tendrement et me dit "viens dans le salon, on pourra en discuter calmement si tu veux". J'ai honte, la seule chose dont j'ai envie c'est que tout ça finisse, mais en même temps sa présence me rassure, et puis de toute façon, je n'arrive pas à réfléchir logiquement, alors je le suis. Il s'assoit sur le canapé, et je reste debout, je le regarde ahuri.

"Allez, viens, assieds-toi" ! Il me tire et m'entraîne, je m'assois à côté de lui, il m'entoure de son bras et je pose ma tête contre son torse, sur la chemise encore humide et tachée de mes larmes.

"Alors, que se passe-t-il ?", me demande-t-il en me caressant les cheveux du dos de sa main. Je n'ose même pas le regarder. Surtout, je me sens bien blotti contre lui. Je commence à bredouiller, je toussote sous le coup de l'émotion, et je lui explique dans les grandes lignes, en m'arrêtant toutes les trois secondes pour pleurer à nouveau. "Allons, ce n'est pas si grave", me dit-il. Il place sa main sous mon menton, la soulève de sorte que je le regarde dans les yeux, et de l'autre main, sèche mes larmes avec la manche de sa chemise qui dépasse de sa veste.

"Il n'est pas très malin mon fils, hein ? Il ne pensait sûrement pas à mal. Et puis, c'est vrai, un jour ou l'autre, il faudra bien que tu t'assumes, non ? Tu devrais te réjouir d'avoir des gens pour te soutenir !".

Il m'agace. Bien sûr, je suppose qu'il doit défendre son fils. Mais je suis tellement sous le choc, et lui a l'air de trouver ça tellement facile, que je lui en veux.

"Qu'est-ce que vous en savez, de ce qui est le mieux hein ? Rien ! Tout est fini.
.."

Il pose sur moi un regard attendri, sèche mes dernières larmes avec sa manche et me dit, très calmement.

"C'est vrai, je ne suis pas toi, je ne peux pas tout comprendre. Mais j'en sais quelque chose, moi, de cette situation. Tu ne crois pas que c'est plus facile à annoncer quand on est jeune est libre, plutôt que marié et père de deux s ?"

Il me faut une seconde pour comprendre, et je me sens comme le plus gros abruti du monde. Je bredouille que je suis désolé, que je ne savais pas, et il reprend, toujours de sa voix douce et posée : "ce n'est rien, je ne regrette rien. J'ai de beaux s, mais le divorce a été difficile, et tout aurait peut-être été plus facile si je m'étais rendu compte de tout ça un peu plus tard..." Il fait une pause et reprend : "C'est malin, ma chemise est toute mouillée, je ne vais quand même pas me présenter comme ça devant Gaëtan et son frère, je les vois tellement peu." Il se lève, enlève sa veste, et je ne comprends que lorsqu'il commence à déboutonner sa chemise. Je viens de lui dire que j'aimais les hommes et il me fait un strip-tease ? En même temps, je ne peux pas me plaindre. Je n'ai jamais vu un aussi beau corps. Pectoraux saillants, assez musclé, et je vois ses abdos quand il se met à rire en me regardant le mater. Un peu poilu aussi, mais je trouve ça viril et incroyablement beau. Un vrai et bel homme. "T'inquiète pas va, remets-toi, j'ai dû laisser quelques affaires ici je vais chercher une autre chemise". Il entre dans la chambre de la mère de Gaëtan et revient quelques instants plus tard, toujours torse-nu, une chemise à la main. Je ne sais pas pourquoi mais je me remets à pleurer, ça fait beaucoup d'émotions d'un coup. "Ah, bah je vais peut-être attendre un peu avant de la mettre celle-là !"

Il pose la chemise pliée sur la table basse et se rassoit, toujours torse-nu sur le canapé du salon à côté de moi. Il passe de nouveau son bras autour de mon épaule et me presse... contre son torse ! Je ne sais pas s'il comprend dans quel état ça me met.
Je sens ses poils contre ma joue, son odeur virile de cuir et de bois, ses abdos juste en dessous de mes yeux, et cette ligne de poils qui descend jusqu'à sa ceinture et en dessous... Mon érection repart de plus belle. Elle s'intensifie encore quand il se remet à me caresser les cheveux en me chuchotant à l'oreille des mots réconfortants. Mais qu'est-ce qu'il fait ?! Je suis incroyablement excité, je vois peu à peu mon sexe qui se dessine à travers mon jean. Ma respiration s'accélère, j'ai peur qu'il ne s'en aperçoive, j'ai un peu honte, et en même temps je suis terriblement excité. Je suis recroquevillé, la joue droite posée sur son torse et la main fermée sur le haut de son ventre, avec une érection comme je n'en ai jamais eue, à pleurnicher contre le corps incroyable du père de mon meilleur pote ! Quand je lève la tête vers lui, je le vois les yeux rivés sur mon jean. Et merde ! Je suis grillé. Je repose la tête sur son torse comme si de rien était. Mais il y a bien quelque chose. Son coeur tambourine contre mon oreille, et mon regard se fixe sur son pantalon, où je vois son chibre se dessiner contre le tissu du pantalon de son costume, qui ne laisse pas grand-chose à l'imagination. Il est assez long mais surtout très large, son gland sur sa jambe ressemble au chapeau d'un champignon. Je n'ai jamais vu quelque chose d'aussi sexy. Surtout, je n'ai jamais vu de sexe en vrai autre que le mien, bien que grâce à Internet j'ai l'impression d'avoir vu toutes les bites possibles et imaginables. Et pourtant, j'ai l'impression de n'avoir jamais rien vu de tel. Je le regarde de nouveau, il est tout rouge.

"Désolé, je ne peux pas le contrôler, c'est le fait d'avoir un beau garçon blotti contre moi..." Je le fais taire en l'embrassant, du bout des lèvres, mais il me repousse. "Je ne pense pas que ce soit une bonne idée. Je te trouve très attirant mais..." je ne le laisse pas finir sa phrase et l'embrasse de plus belle. Cette fois il ne se débat plus. Sa barbe de trois jours me frotte un peu ce que je trouve très agréable. Il entrouvre sa bouche et je sens son haleine chaude. Nos langues s'entrechoquent, et je suis incapable de penser que je suis en train d'embrasser goulument le père de Gaëtan, que je connais depuis le lycée. Je passe une jambe au-dessus de son torse et vient m'assoir sur lui tout en l'embrassant. Il me lèche, me mordille les lèvres, met ses deux mains sur ma mâchoire et m'embrasse avec force. Surtout, je sens son sexe tout dur sous moi. Je commence à me frotter et il pousse un râle de plaisir. "Aah, non arrête". Mais je ne le laisse pas décider, j'en ai tellement envie. Je quitte enfin sa bouche et me met à l'embrasser dans le cou. ll pousse de longs "hmmmm" de satisfaction. Je l'embrasse, le lèche, mordille la peau de son torse et vient enfin m'attarder sur l'un de ses tétons, gros et violacés, que je me mets à aspirer avec gourmandise en gémissant. Je sens sa respiration et son coeur qui bat, je suis incroyablement excité, et ne peut cesser avec gourmandise de tourner ma langue autour de son mamelon, en plaçant une main sur son autre pectoral tellement saillant et dur.

Pas en reste, il passe une main dans mon cou, et l'autre continue d'ébouriffer et de caresser mes cheveux, je me sens soumis mais il est tellement plein de tendresse que je n'y vois rien de dégradant. Je descends encore et embrasse ses abdominaux poilus, je les lèche et sent mon sexe durcir encore contre mon pantalon. D’une main, je caresse son chibre énorme à travers le tissu et lorsque je lève les yeux, je vois une goutte qui a taché le pantalon. Je n'en peux plus, je défais sa ceinture, me laisse tomber par terre, à genoux, devant lui, et commence à frotter mon visage contre son pantalon. Je le baisse enfin, et je sens son sexe tendu à travers le boxer. Je le lèche de tout le long à travers le boxer, et je le vois fermer les yeux et gronder de plaisir, une main toujours en train de me caresser les cheveux. Je tire sur l'élastique du boxer avec les dents et libère enfin son sexe qui se dresse devant moi. Je sens la bonne odeur de mâle. J'effleure son gland du bout de la langue pour lécher le méat qui a déjà commencé à perler, j'avale. Il me regarde avec gourmandise. J'enfourne d'un coup son sexe dans ma bouche et je l'entends pousser un râle de plaisir. Je lèche sa bite de haut en bas, je sens sa respiration me confirmer qu'il aime, mais il me repousse " arrête, c'est trop bon, ne me fais pas jouir tout de suite".

Il se lève, me soulève et se remet à m'embrasser goulûment. Quel homme ! Quelle virilité ! Je caresse son corps si masculin, il pétrit mes fesses de ses deux mains expertes et je sens son haleine chaude dans ma gorge, sa salive se mélanger à la mienne. Il retire mon t-shirt, et tout en continuant de m'embrasser, me tripote les tétons avec ses deux pouces. Son sexe tout dur se frotte à mon bas-ventre - il est quand même beaucoup plus grand que moi - et je sens son gland brûlant contre moi, et ses testicules contre mon nombril qui s'agitent. Il me pousse sur le canapé, et me retire mon jean et mon caleçon d'un coup, en un mouvement, si bien qu'à part mes chaussettes, je me tiens nu devant lui, offert. Il descend directement sur mon sexe, mais au lieu de l'enfourner directement comme je l'ai fait. Il me fait attendre. C'est insupportable et délicieux à la fois. Il titille mon gland du bout de sa langue, passe ses lèvre sur mes testicules, en gobe un et me fixe avec gourmandise. Il est si adulte, si mûr, et il me dévisage comme si j'étais une sucette dont il ne pouvait pas se passer. Je suis au septième ciel. Il m'embrasse de nouveau, puis se place au-dessus de mon sexe, dominant, et crache dessus. Quelle extase ! Dès lors, il plonge sur ma bite et l'engloutit, toute humide, commence un va-et-vient facilité par cette lubrification. Quel pompeur extraordinaire. Il joue avec mes couilles d'une main, me caresse en m'effleurant à peine ainsi que l'entrejambe et la prostate, pendant qu'il prend mon sexe dans sa bouche de côté, et l'humidifie encore à grosse lampée. Je suis au sommet de l'excitation. Et merde, je suis sur le point de jouir. Ma respiration s'accélère, ma vue se brouille : je murmure : "arrête je vais jouir".

Il libère mon sexe mais se remet à gober mes testicules de plus belles. C'est incroyable. Je n'ai vraiment pas l'impression que l'excitation descend. Et quand il se remet à lécher mes testicules, puis remonte sa langue le long de mon sexe dans une lampée délicieuse, je décharge tout ce que j'ai, une demi-douzaine de jets blancs directement sur mon ventre et mon torse en hurlant de plaisir. Il me regarde et sourit en coin, il se met à lécher mon torse rempli de sperme, en remontant et je vois le sperme entrer et sortir de sa bouche, couler au coin de ses lèvres, il semble ne jamais en avoir assez. Puis il m'embrasse, et nous partageons cette semence dans nos bouches épuisées qui nous lie, car, dès que sa bouche s'écarte de la mienne des filets de sperme gluants nous relient encore.

Je vois le sperme blanchâtre couler le long de son menton, et je suis de nouveau excité. Je saute sur lui, l'allonge par terre, frotte mes fesses nues contre son sexe. Je m'apprête à le sucer de nouveau, je m'attarde sur son corps sur lequel du sperme a dégouliné et je me mets à lécher ma propre semence prisonnière de ses poils. Il caresse mes fesses, les écarte, puis fait passer son index le long de ma raie. Aussitôt, mon érection repart. Au moment de remettre son sexe dans ma bouche, il me dit "j'ai envie de te pénétrer". N'y tenant plus, j'abandonne son chibre et le laisse m'enlacer, on roule par terre en s'embrassant.

Puis je m'allonge sur le ventre, fesses offertes, et j'attends qu'il prenne ce qui lui est dû. Il me fait me redresser sur mes genoux, mes fesses s'ouvrent et je sens sa langue qui lèche ma raie, s'attarde sur ma rondelle et s'enfonce dans mon anus. Il grogne de bonheur. Je ne sais pas ce qui m'excite le plus entre la chaude sensation de sa langue sur mon anus ou ses grognements de plaisir. Il enfonce son majeur délicatement et je crie. Il plaque sa main contre ma bouche et me murmure doucement à l'oreille. "pas trop fort, la voisine a l'ouïe fine". Mais je suis incapable de me retenir. Aussi laisse-t-il sa main contre ma bouche et je me sens soumis, prisonnier, et heureux. Il alterne doigtage et séance de langue, jusqu'à enfoncer au plus profond de mon anus son index et majeur en même temps. Je mords sa main tellement je suis pris par la surprise. "Tu aimes ça hein ?" me dit-il. La douleur devient extrêmement agréable, et n'en pouvant plus, je déclare dans un râle : "prends-moi". Il commence par frotter son sexe contre ma raie, mais comme il voit que je n'en peux plus, il a pitié et enfonce lentement son sexe en moi, m'arrachant un cri de bonheur. Il pose ses mains sur mes hanches, puis me caresse le dos tandis qu'il commence son va-et-vient, et je me sens en levrette comme une chienne ce qui est loin de me déplaire. Il m'enserre, m'enlace de ses bras et me relève tout en me pénétrant de plus en plus fort et de plus en plus vite. Nous sommes donc tous les deux à genoux, je tourne la tête et on s'embrasse. D'une main il me caresse le torse et de l'autre il commence à me branler au rythme de la pénétration.

Il se retire, sans doute pour changer de position, mais je ne le laisse pas faire, je prends son chibre directement dans la bouche et commence à le pomper avec ardeur. C'en est trop, je suis trop excité. "Arrête" me dit-il, "tu vas me faire jouir". Je le regarde avec un air de défi en continuant de le pomper avec ardeur et je l'entends suffoquer et gémir, sur le point de jouir. Son premier jet envahit ma gorge, et sous le coup de la surprise, je sors son sexe de ma bouche. Quatre autres jets emplissent mon visage de son sperme, tandis que ma bouche pleine laisse déborder un peu de son liquide le long de mes lèvres. Il se met alors à me branler et il n'en faut pas plus pour que je jouisse de nouveau sur mon torse. Il m'enlace, lèche mon visage plein de son sperme, on s'embrasse, nos liquides salivaires et nos jouissances se mélangent, j'ai l'impression que l'on ne forme plus qu'un. On reste quelques minutes enlacés, torse contre torse si bien que j'étale mon sperme contre son corps de rêve, prisonnier de sa bouche chaude pendant qu'il caresse lentement mes jambes, mes fesses et mon dos.

On n’a pas eu besoin de se dire un mot de plus. On se comprenait si bien. Il m'a traîné jusqu'à la douche, je l'ai savonné partout avec grand plaisir et nous avons joui à nouveau en nous lavant. On s'est rhabillé, et tandis que nous prenions quelque chose à boire Gaëtan est rentré en même temps que sa mère qui était allée chercher son petit frère au lycée. "Je vois que les présentations ont déjà été faites" dit-elle à mon encontre. Il me regarde et sourit. Ah ça oui !

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