Couple D'Amis

Nous revenons avec Paul d’une partie de pêche. La journée a été fructueuse avec toutes les truites que nous ramenons. Durant le retour, en voiture nous bavardions de cul. Nous faisions chacun les listes des aptitudes de baise de nos compagnes.
Je disais que la mienne, Adeline aimait se faire mettre partout après que je lui ai appris tout ce qu’elle savait. Pour lui, André c’était à peu de choses près la même chose. En plus elle aimait baiser des filles. Nous bavardions en nous excitant à tel point que je le voyais bander.
- Branles toi si tu en a envie.
- Merci.
Sans autre forme de procès, il sort sa bite bien grosse : ce n’est pas la première fois que je la vois dans cet état. Sa main est vite sur la queue : il se branle à fond. La route sinueuse ne me permet pas de tout voir, surtout sa jouissance qu’il fait dans un kleenex. Il est soulager, suffisamment pour le raconter encore ses baises : cette fois c’est moi qui bande. Nous sommes près de la maison, aussi je patiente un peu. Dans mon esprit je vais me branler dans les chiottes en arrivant.
Les deux femmes sont réunies, elles sont même trop réunies. Le mienne, Adeline est assise au bord du divan, sa culotte par terre, les jambes bien ouvertes offertes à la bouche de la femme d’André, Emilie. Je bandais avant, je bande encore plus. Je vois qu’André se masse la bite : il bande lui aussi. Pour lui ce n’est pas la première fois qu’il voit sa femme se conduire en lesbienne. Pour moi c’est une surprise de voir Emilie lécher ma femme. En plus elle y prend beaucoup de plaisir. En regardant mieux je m’aperçois qu’Emilie est presque nue.
André sais ce qu’il faut faire dans ces cas là, il s’approche de sa femme pour lui caresser la poitrine. Il la pelote d’un drôle de façon en la pinçant avant de mettre une main là où elle a déjà la sienne, sur le clitoris. Il la branle un peu pour la faire jouir. Elle le fait sans s’arrêter une seule seconde de lécher le con de mon épouse que j’embrasse sur la bouche.

Elle entre sa langue dans ma bouche pour bien profiter du cunnilingus féminin. J’arrive à la déshabiller totalement sans trop déranger ce que lui fait sa compagne. Maintenant je vois en détail la langue d’Emilie lécher ce con.
Je sors ma bite pour la donner à sucer. Là je sais que ma femme excelle dans la fellation. Sa langue caresse le gland avant de le prendre à pleine bouche. Entre sa langue et sa joue ma bite se régale de sentir les picotements de l’orgasme en préparation. Je voudrais retenir mon sperme, je n’y arrive pas. Pourtant je sens qu’elle jouit sous la caresse particulière que lui donne Emilie.
Il n’empêche que malgré ma jouissance j’ai envie de baiser la femme de mon copain, comme je sens qu’il voudrait baiser la mienne. Dans l’explosion des spermes et des cyprines c’est normal, je n’ai rien contre le fait qu’il baise ma femme. Je sais qu’il accepte que je prenne la sienne, sauf que je veux son cul et pas sa chatte.
Je me dévêts, suivi d’André. Il met sa femme toute nue : j’ai encore plus envie d’elle. Le problème est simple, les hommes bandent les femmes sont ou mouillées de plaisir ou sur le point de jouir. Je prends les initiatives, je fais installer les filles en levrette sur le divan, les visages très près, nous montons derrière elles. Je vois qu’André a déjà sa bite à moitié dans le con d‘Adeline. Moi je ne chipote pas : je voulais l’anus de sa femme. Ma bite en prête à l’enculer.
Je m’enfonce lentement pour mieux profiter du cul. Elle me laisse entrer facilement dans son fondement. Les secousses de la sodomie font que les bouches des deux femmes sont presque jointes. Elles n’hésitent pas à s’embrasser.
Ce n’est pas fait pour nous calmer tant elles que nous. Je sens qu’Emilie serre souvent son sphincter pour mieux me sentir dans ses fesses. Elle se fait du bien et m’en donne. André a raison c’est une bonne baiseuse. Pour lui donner plus de plaisir je passe une main sous elle, entre ses cuisses pour chercher son petit bouton. Il bande son clitoris, je le trouve sans trop chercher. Je la branle en l’enculant. Elle se laisse aller au plaisir :
- Oui, encule-moi encore.
- Tu veux que je continue à te branler ?
- Oui, n’arrête pas, encore. Baise-moi après dans le con.
Je la fait jouir, sans que je parte, ce que je craignais. Je change simplement d’endroit. Je me trouve dans un trou encore plus chaud, plus mouillé. Je la tiens par les hanches pour mieux la baiser. Si tout à l’heure elle accompagnait mes mouvements, maintenant elle les précède.
Je regarde comment baise ma femme : c’est pour moi la première fois que je la vois baiser un autre homme. Tout doit aller parfaitement bien : elle soupir beaucoup comme quand je suis dans son ventre. Elle manifeste en criant ses orgasmes. Je vois qu’André lui caresse longuement les seins. Je vois son visage, lui aussi prend son plaisir.
Nous jouissons pratiquement ensemble, laissant nos femmes sans bite. Elles s’en consolent facilement. Entrainées par Emilie, Adeline se couche sur le dos, les jambes ouvertes. Emilie vient sur elle, lui donne son sexe sur la bouche, prend le sien dans sa bouche. Les câlins linguaux commencent. Adeline est nouvelle dans ce genre d’exercice et pourtant elle semble bien se débrouiller. Sucer une chatte n’est pas difficile surtout quand elle est déjà bien mouillée.
Les doigts servent surtout à entrer dans les culs. Je remarque leurs seins écrasés entre les deux corps féminins. Elles sont parties pour une bonne partie de baise. Je me trompe quand je vois Emilie se relever.
Adeline écarte encore plus les cuisses pour les voir même remontées sur sa poitrine. D’une seule main Emilie ouvre le sexe de ma femme, entre un à un ses doigts avant de les mettre tous. Elle reste ainsi un instant pendant qu’Adeline geint comme si elle avait mal. Sans tenir compte de ce que fait ma femmes, son amante entre totalement la main, le poignet, pousse encore jusqu’à son mi avant bras. Maintenant elle la fiste. Pour une première fois, c’est une réussite. Si Adeline s’exprime c’est par des : Oui, Oui, Encore, C’est bon, oui. Je jouis.
Malgré les jouissances son amante ne cesse pas. Elle arrive à la faire presque tomber dans le cirage. Quand elle arrête cette caresse, ma femme souffle un grand coup :
- Que c’était bon.
Puis, s’adressant à moi :
- Tu as vu comment elle m’a fait ? Tu me le feras aussi.
Bonne découverte et pour elle et pour moi