La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode N°1457)
chienne Kajira (devenue chienne Cataleya) au Château (suite de l'épisode N°1456)
- et Je veux pouvoir aussi profiter de tes trois orifices qui Mappartiennent entièrement, Ma catin...
Sur Ses Mots, je me réveillais complètement, surtout quand le Maitre pris possession de ma chatte qui juste à Ses mots été devenue trempée. Le Noble me prit la chatte et en même temps Il me branlait le clito, double sensation pour moi et ce fut un pur moment de bonheur et dexcitation pour moi. Je sentais au fur et à mesure des coups de butoir de Maitre et aux stimulations de mon clitoris de chienne mon plaisir monter encore plus haut et fort. Cela faisait déjà 15 jours que je navais pas pu jouir et je savais par expérience que lorgasme qui allait en résulter, allait être puissant, voir atomique. Je me retenais encore et encore mais cela devenais de plus en plus difficile, mais en même temps, je narrivais pas à le laisser sortir quand au bout de 15 longues minutes nen pouvant plus, je lâchais donc une jouissance phénoménale laissant exprimer mes cris forts orgasmiques qui résonnaient dans le château. Et je fus parcourue par des spasmes jouissifs dans des râles gutturaux, tremblante de mille plaisirs. Je me laissais donc aller à la jouissance comme une vulgaire chienne en chaleur. Une fois finie Maitre me mit en levrette et mencula dabord doucement puis une fois entré jusqu'à la garde, Il me donna de puissants et virils coups de reins dans ma cavité anale, tout en me claquant le cul dune volée de fessées bruyantes et cinglantes qui méchauffaient la peau rougie...
Jadorais ce moment où la douleur se transforme en plaisir et où je pouvais me laisser aller sous Sa dominance et sous Sa protection. Je me laissais donc totalement aller et je ne pus mempêcher de gémir de plus en plus, sentant de nouveau un nouvel orgasme poindre le bout de son nez. Mais je me retins encore plus pour satisfaire le Châtelain ne sachant pas si je pouvais jouir encore ou si je devais attendre Son autorisation.
- Cest bien Ma belle putain, tu arrives de mieux en mieux à te retenir. Que cest bon pour Le Maitre de te prendre ton joli petit cul desclave salope et de le fesser avec envie... Et cela quand Je le veux, ou Je le veux et comme Je le veux
Attention Ma salope
Maintenant, Ma chienne, jouis, cest une Exigence !
Je me laissai donc aller et submerger par le violent orgasme qui prit possession de tout mon corps en trans et dans des cris bestiaux irradiée de petites décharges électriques remontant sur toute mon échine, pendant que Maitre accentuai Ses coups de reins puissants pour me faire monter encore plus haut dans ma jouissance anale, vaginale et mentale... Une fois redescendue de mon orgasme, le Châtelain me présenta Sa verge toujours bien dressée et dure devant ma bouche de pute et je la pris avec avidité donc pour Lui appliquer la meilleure fellation possible comme Il les aime... Je pris mon temps ne sachant pas sIl voulait que je me dépêchais ou pas, ne me layant pas précisé avant. Alors, je Le léchais sur toute la hampe, Le suçais sur toute la longueur, mattardant sur Son gland violacé, faisant le tour de celui-ci avec le bout de ma langue, et je le tétais en laspirant tout en lengloutissant au fond de ma bouche par de savoureux va-et-vient cadencés, rythmés
Je me donnais, comme toujours, à 200% pour Lui donner entière satisfaction avec un de mes orifices. Il me saisit par les cheveux pour mieux me baiser ma bouche chaude, humide et accueillante comme un simple trou, comme sil sagissait de mon vagin et quIl le prenait à Son allure.
Et je savourais aussi ce moment où Il mimposait Son allure, Sa cadence et ce sont ces moments-là où je me sens moi-même et qui me conforte dans la vie que je souhaite vivre. Cest au travers de Ses différentes épreuves et exigences quun jour, je lespère plus que tout, je posséderai peut-être Ses Initiales MDE à mon nom desclave et cest ce que je désire le plus au monde, même si je sais que le chemin sera long et difficile... Au bout de 15 à 20 minutes de fellation où le Noble mimpose Son rythme quIl finit par se déverser dans ma bouche dans un long jet de sperme chaud me remplissant la bouche et la gorge avant de mordonner davaler et de le nettoyer de toutes mes sécrétions et de Son divin nectar.
- Maintenant Ma belle esclave, debout contre le mur, dos à Moi, jambes largement écartées, mains élevées et posées contre le mur et cambre bien tes reins, ton cul face à Moi
Je vais prendre du plaisir à travailler ton corps qui reste Ma propriété, avant de te laisser divaguer à tes occupations. Oui ton corps de putain est Ma possession la plus absolue
Je vais marquer, Ma chienne, ce corps pour te rappeler à qui tu appartiens pour le reste de ta vie. Tu es Ma propriété la plus totale, alors montre-toi en digne. Exécution !
Je me levais et vins me placer comme exigé par Maitre contre le mur dos face à Lui et je sentis dabord Ses mains qui se baladaient sur mon corps de chienne ce qui mexcitait beaucoup, Il caressa chaque partie de mon corps pour marquer Sa possession. Il commença par les épaules, puis mon dos, mes reins, mes fesses, ma raie anale et passa Sa main par dessous pour accéder à mon sexe.
- Très bien. Ta peau rougie et marquée est exactement comme je le voulais. Et tu as étais parfaite Ma belle. Mais malheureusement, je dois en rester là pour le moment avec toi car jai à faire et toi aussi. Prends soin de toi Ma belle salope.
Le Noble me dit cela en déposant un baiser à la fois Dominant et tendre sur mes lèvres et Il repartit avec une de Ses voitures, en loccurrence une de Ses magnifiques Ferrari et son réputée rouge vermillon, en direction de Son Château
30 minutes minutes plus tard, jétais prête et habillée quand les ouvriers arrivèrent pour la pose des nouvelles hautes fenêtres. Cela prit toute la matinée et ce nest que vers 10h45 que je pus quitter mon petit château pour retrouver le Grand, celui de Maitre. Une fois arrivée dans lespace réservé aux esclaves, je me dévêtis et je passais mon collier noir ébène que le Châtelain avec fait sur mesure pour moi. Je me dirigeais ensuite à quatre pattes vers le bureau de Monsieur Walter mais il ny est pas.
- Tiens vlà la pute de Cataleya ! Que viens-tu faire ici, salope ? A cette heure, ce nest pas le moment de manger ?
- Bonjour Madame Marie, je cherche Monsieur Walter pour savoir quoi faire au Château.
- Tu nas pas à savoir où est Walter, ni à savoir quoi faire au Château, espèce de curieuse qui na pas à prendre des initiatives. Tu dois juste obéir à ce qui test exigé et cest tout, me répondit-elle dun ton sévère et très autoritaire. - Et puis tu mas dérangé, tu ne vois pas que je suis en train de punir ce sale chien
Tu vas donc rester avec moi pour le moment jusquà que Walter rentre ici et vienne te chercher
Pour le moment, rends-toi utile, sale fainéante
Va toccuper de corriger les fautes de ce chien qui a trop salé la soupe
Et bouge-toi le cul, espèce de faignasse
- Oui Madame Marie, répondis-je craintive tout en baissant la tête, soumise à sa grande sévérité et autorité.
Jallais donc près de la grande marmite posée sur une des nombreuses gazinières électriques, rectifier lassaisonnement de la soupe en rajoutant dautres légumes afin de rééquilibrer le salage et pour quelle soit au gout de Marie. Une fois finie, et comme Walter ne revenait pas, Madame Marie mordonna de venir avec elle, finir de préparer le plat du jour, un ragout de gibier de chevreuil avec la viande abattue dans la grande forêt du Château. Cela nous prit une bonne partie de la matinée sous ses directives toutes aussi sévères. Je ne compte plus les gifles reçues et les brimades quelle ma infligées sadiquement à chaque fois je ne faisais pas comme elle le voulait. Une fois finie, Madame Marie me dit :
- Et maintenant, la chienne passe sous ma jupe, me faire jouir avec ta langue de pute et uniquement avec ta langue, salope
et dépêche-toi.
Je mexécutais donc et commençais à la lécher avec vigueur et envie pour ne pas être sanctionnée car les punitions de Marie sont toujours de difficiles épreuves, tellement elle est perverse, sadique et sévère. Et assez rapidement, sous mes coups de langue habiles par des mois de dressage, je parvins à la faire jouir sans trop de difficulté
Je sentis sa mouille couler sur mon visage ave abondance
Alors que je pensais recevoir, au minimum, une félicitation ou un simple geste de contentement de sa part signifiant une sorte de remerciement, elle me cracha dessus sur le visage en me tirant les cheveux en arrière, empoignant ma tignasse en me regardant droit dans les yeux de son air sadique, elle me dit sur un ton presque méprisant :
- Sale pute
Va mettre la table pour le repas du Maître et ne traîne pas, sale chienne de rue
Au bout de trente minutes, le repas était servi à Maitre, puis vient le tour des esclaves de manger notre pâté protéinée dans nos gamelles respectives. Une fois que jeus terminé, Monsieur Walter arriva et me fit le suivre dans son bureau pour me pluger le cul avec un plug assez conséquent.
- Tu vas toccuper de la chambre du Maitre. Tu la nettoies de fond en comble et quil ne reste pas la moindre trace de poussière et de saleté sinon cest sans aucune hésitation que je te la ferais lécher. Ensuite tu iras dans la chambre de Maitre Maxence pour quil se serve de toi comme il se doit. Il sagit de la chambre attenante au bureau du Maître. Compris la chienne ?
- Oui Monsieur Walter.
Je me dirigeais vers la chambre de Maitre avec le matériel nécessaire pour tout nettoyer. Une fois arrivée je me mis au travail pour tout nettoyer, sans rien oublier car il men cuirait si joubliais quelque chose. Quand jeus terminé je me dirigeais vers le placard à balais pour tout ranger et je me rendis vers la chambre qui se situe juste à coté du bureau de Maitre. Je toquais et cest Maitre Maxence qui ouvrit la porte et me fit minstaller à genoux face à lui...
(A suivre
)
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