Martine
Martine venait de fêter ses 60 ans. Très préoccupée par son look, elle ne faisait pas son âge ; toujours habillée élégamment, légèrement maquillée, mais sans excès, on lui donnait facilement 6 ou 7 ans de moins. Elle était divorcée depuis 4 ans, son mari étant parti avec une « jeunette » de 40 ans, soudainement, sans quelle nait vu rien venir : une fille qui était sa secrétaire et qui avait vu en Michel (son mari sappelait Michel) un confort financier. Martine était retraitée depuis maintenant 2 ans de lEducation Nationale, elle avait été professeur de français et navait pas de soucis financiers. Ce qui lui manquait le plus, cétait le sexe, car avec son mari, ils faisaient très souvent lamour et elle aimait ça.
Ce soir, Martine était en manque, elle navait pas eu beaucoup daventures depuis son célibat, une fois avec un homme de son âge : elle lavait connu chez des amis communs et il lui avait fait la cour toute la soirée. Lorsquil lui avait demandé sil pouvait la reconduire, elle avait accepté et elle lui avait proposé un dernier verre chez elle pour le remercier. Assis dans le canapé, il était devenu très entreprenant et ils avaient fait lamour, mais elle avait été déçue, il avait pris très rapidement son plaisir et navait pas du tout pensé à la faire jouir, elle avait dû se caresser après son départ pour apaiser son envie. Ceci lavait refroidie et quand elle ressentait le besoin de jouir, elle prenait le sextoy quelle sétait acheté et se satisfaisait rapidement.
Trois mois auparavant, au cours dun repas danciens collègues, elle avait retrouvé Pierre, qui avait fait toute sa carrière avec elle dans le même lycée. Lui était professeur de sport, et cétait un bel homme, de 3 ans son aîné, qui était resté célibataire toute sa vie et qui accumulait les conquêtes féminines. Il avait déjà essayé de la draguer à plusieurs reprises, mais mariée, Martine était sérieuse et ne voulait pas tromper son mari, même si parfois, elle se serait bien laissé aller.
- Tu sais que je suis là, lui avait-il dit. Maintenant, tu nas plus à avoir peur de tromper ton mari, puisquil est parti.
- Mais je suis une vieille femme maintenant.
- Arrête de dire des conneries, tu es belle, désirable !
- Toujours aussi charmeur, hein !
- Pour linstant, tu es gentil mais, à mon âge, jai un peu peur. Je vais réfléchir à ta proposition et si je change davis, je te fais signe.
La soirée sétait terminée comme ça, mais avant de se quitter Pierre lui avait redit quil comptait sur elle, et quil attendait son coup de fil.
Depuis, elle navait pas osé lappeler. Parfois elle décrochait le téléphone, commençait à faire le numéro puis raccrochait avant la fin. Mais ce soir, elle était vraiment excitée et il lui fallait un sexe dhomme. Elle prit son portable et composa le numéro de Pierre. Elle entendit la sonnerie à lautre bout, il nétait pas sur la messagerie. Après 10 secondes, on décrocha :
- Oui !
- Pierre, cest Martine, je ne te dérange pas ?
- Bien sûr que non, voyons !
- Tu sais, tu mavais dit que si je changeais davis je pouvais tappeler.
- Oui, tu as bien fait ! Ça ne va pas ?
- Non, non, ça va mais
comment dire
jai envie de
- Tu as envie quon fasse lamour ? Cest ça ?
- Euh ! Oui
enfin
- Et bien, naies pas honte, cest naturel. Tu veux que je vienne ou tu viens chez moi.
- Chez moi, si tu veux.
- Pas de problème, jarrive, je serai là dans un quart dheure environ.
- A tout de suite alors !
Elle appuya sur la touche rouge pour raccrocher. Elle se dit aussitôt, quelle avait dû faire une bêtise, mais elle se voyait mal le rappeler pour annuler.
Elle alla prendre une douche et décida de mettre une robe très échancrée qui laissait voir le haut de sa poitrine. Elle se regarda dans la glace et se trouva très présentable.
Elle venait juste de se préparer, quand la sonnerie de la porte dentrée retentit. Elle alla ouvrir et Pierre était devant elle. Elle le trouva très en forme et le fit entrer. Elle lembrassa sur la joue, cest ce quils faisaient tous les matins quand ils travaillaient ensemble, il lui rendit son baiser de la même façon.
- Tu veux boire un verre ?
- Pourquoi pas.
- Que veux-tu ? Whisky, vin cuit, jus de fruit ?
- Un petit whisky, si tu veux.
Elle sortit deux verres de la table de salon et servit deux whiskys, elle nen buvait que rarement, mais ce soir, elle en avait besoin pour se donner du courage. Elle rejoignit Pierre sur le canapé et ils trinquèrent.
- Jespère que je ne te choque pas ? lança-t-elle à Pierre.
- Pourquoi veux-tu que je sois choqué, nous sommes deux adultes et à notre âge, il faut profiter de la vie au maximum.
Pierre passa son bras derrière les épaules de Martine et lattira vers lui. Il posa doucement ses lèvres dans son cou et lui donna un sage bisou. Depuis plus de trois ans quelle était seule, Martine avait oublié le bonheur de recevoir ce genre de baiser et elle frissonna de plaisir. Pierre releva la tête et approcha sa bouche de celle de sa compagne. Dans un premier temps, ses lèvres se posèrent juste sur les siennes, puis comme il sentit quelle entrouvrait la bouche, il introduisit sa langue et chercha celle de Martine. Ils échangèrent un long baiser et elle le lui rendit.
Très rapidement la main de Pierre se posa sur la poitrine de Martine. Ses doigts experts évaluaient le volume des seins à travers le tissu de la robe. Il sentit la dentelle du soutien-gorge et tout en continuant à la caresser il plongea son nez dans léchancrure de la robe et respira le parfum de Martine.
Pierre se leva, et débarrassa Martine de sa robe, il la regarda en sous-vêtements.
- Tu es encore très belle, tu sais !
- Viens dans la chambre.
Elle lui prit la main, et lemmena dans sa chambre. Elle sallongea sur le lit, et avant de venir la retrouver, il se déshabilla, ne gardant que son slip. Martine le regardait à son tour.
- Toi aussi, tu es encore très beau.
- Merci.
Il sallongea à ses côtés et se tourna vers elle pour lembrasser. Cette fois le baiser était très voluptueux et saccompagnait de caresses de plus en plus osées. Pierre défit lagrafe du soutien-gorge et dénuda la poitrine de Martine, il sarrêta deux secondes pour contempler ces deux globes encore très fermes, puis se mit à sucer les tétons durcis lun après lautre. Pendant ce temps, il introduisit une main sous lélastique de sa culotte et trouva un sexe complètement épilé. Martine qui avait pris de lassurance chercha le sexe de Pierre, avec sa main et commença à le caresser. Très vite, leurs derniers vêtements rejoignirent le sol. Martine écartait ses cuisses en grand afin que les doigts de Pierre puissent la fouiller, elle sentait déjà le plaisir monter. Pierre qui voyait que le plaisir de Martine était imminent, se redressa et vint lui lécher doucement le clitoris. Martine se contorsionna afin de faciliter la caresse buccale de Pierre. Elle ne fut pas longue à se cambrer, et elle jouit très fort en accompagnant sa jouissance de longs gémissements.
Quel bonheur de retrouver un sexe qui la fouille ! de le sentir encore gonfler en elle ! Elle vit son deuxième orgasme arriver, il fut bien plus fort que le premier et son vagin était inondé de sa liqueur, mais elle narrêta pas de monter et descendre sur ce pieu de chair qui lui donnait tant de plaisir. Bientôt, un troisième orgasme la surprit et cest ce moment que choisit Pierre pour laccompagner dans le plaisir et éjaculer abondamment en elle.
Elle se leva et se précipita sur le sexe de Pierre afin de le nettoyer avec sa bouche. Elle avait oublié le goût du sperme mélangé avec ses secrétions, mais elle en était si friande du temps de son mari, quelle retrouva le bonheur de ce nectar.
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