Leslie La32

Leslie LA32 – Laure, le journal intime – Le loup et le petit chaperon rouge

Rentrée chez moi, j’ai pris une douche, n’ayant qu’une idée, me coucher et dormir…
En me couchant je me suis mise à penser au rendez-vous avec Louis, la semaine prochaine, et ce qu’il allait me réserver pour cette occasion, mais la fatigue l’emporta et je m’endormis rapidement…

Les deux jours suivants, samedi et dimanche, je suis restée tranquillement chez moi, pour me reposer et aussi pour me brancher sur internet et me changer les idées.
J’ai bien sur tété faire un petit tour, dès le samedi sur les sites de rencontres, histoires de voir et pourquoi pas découvrir une petite annonce, sortant de l’ordinaire.
Donc samedi, me voilà assise devant mon ordinateur, et peu de temps après je commence le surf à la recherche de l’annonce attrayante, les sites défilent les uns après les autres et ne trouvant pas mon bonheur je commence à désespérer de l’inventivité des mecs en matière d’annonce, ce que je découvre m’attriste car elles sont plus lourdes et banales les unes que les autres…
Ce n’est qu’en fin d’après-midi, au détour d’un site, que je tombe sur la perle des annonces, celle qui vous fait monter l’adrénaline dans tout le corps et vous fait mouiller le string.
« Jeune et grand méchant loup de vingt ans, très viril, cherche petit chaperon rouge déluré sans tabous. »

L’annonce me parle et me fais frémir, jouer l’ingénu petit chaperon rouge avec un jeune homme très viril, je suis partante, alors je réponds ;
« Sans mère-grand et sans panier, un petit chaperon rouge irait bien au bois rencontrer le grand méchant loup ! »
Un instant après, je reçois une réponse, le grand méchant loup est en ligne :
« Envie de rencontrer le grand méchant loup ? »
« Pourquoi pas ! »
« Libre, ce soir ? »
« Oui ! »
Et à cet instant tout va très vite, la conversation se porte rapidement sur la description de chacun de nous, et pour appuyer ses dires, il me dit :
« Bien membré comme tu peux le constater sur la photo, très loup à l’affût de petite ingénue, je peux te faire vivre le conte de Perrault, si c’est ce que tu cherches dis-le… »
Je découvre effectivement une photo de mon loup assoiffé de jeunes ingénues, remarquant de suite à quel point il est bien membré, même si sur la photo son sexe est au repos, et de plus son corps est couvert de poils, un vrais loup-garou…
Je m’empresse de répondre :
« Rien que le fait de te voir sur la photo m’excite terriblement, je suis partante.

»
Sa réponse ne se fait pas attendre :
« Je te promets une soirée d’enfer ! Habilles-toi en tenue de petit chaperon rouge et je t’attends à vingt et une heure au feu tricolore en face du musée national des arts et des traditions populaires au bois de Boulogne. »
Sans réfléchir je réponds :
« J’y serais ! »
« Parfait, j’ai hâte de te retrouver ! »

Heureuse d’avoir ce rendez-vous, j’éteins mon PC et vais me préparer, il est dix-huit heures et j’ai trois heures avant de rencontrer le grand méchant loup.
Un bon bain parfumé, maquillage et parfum, je suis dans ma chambre pour m’habiller et me faire le plus ressemblante au petit chaperon rouge, mais dans une tenue moderne et la plus excitante.
Alors je décide de mettre mes cuissardes à talons aiguilles rouges vernies et ma longue cape rouge à capuche pour un effet des plus saisissant. Me regardant dans la glace, je fais vraiment impression, et je décide de rester nue dessous…

Juste le temps de prendre ma voiture et de me rendre au rendez-vous, il est vingt heures, quand je range ma voiture dans l’avenue du Mahatma Gandhi, en face du musée.
Je descends de ma voiture et après l’avoir fermé, je me rends vers le feu tricolore, l’endroit est désert et pour ne pas trop attiré l’attention des voitures qui passent et passer pour une prostituée, je rentre quelque peu dans le sous-bois pour être dissimulée par les arbres en bordure de la route.
A peine deux minutes plus tard, j’entends une voix derrière moi, me dire :
- Viens dans le sous-bois, je suis ton loup et je t’attends !
Je me retourne et distingue une forme tapis dans le bois, alors je me dirige vers elle et constate que c’est mon grand méchant loup qui est là…
En m’approchant de lui, je joue le jeu en disant :
- Ohhh, comme tu as de grands yeux !
- C’est pour mieux te voir, dit-il.
- Ohhh, comme tu as une belle bouche !
- C’est pour mieux t’embrasser.
Je suis près de lui et ma main se plaque aussitôt sur son pantalon en cuir, et je dis :
- Ohhh, comme tu as un gros sexe !
- C’est pour mieux te faire jouir…
Je suis excitée comme une folle et je ne peux m’empêcher d’ouvrir son pantalon pour découvrir son membre qui est nu sous le cuir, il ne porte pas de slip. Je m’agenouille et commence à le sucer, mais il me relève en disant :
- Allons petite affamée, c’est à moi de te manger…
Il se rajuste et me prenant par la main, il me conduit vers sa voiture et me fait monter dedans, puis après s’être installé il démarre.

Je suis assise dans sa voiture en direction de sa tanière, il conduit sans faire quoique ce soit, se réservant certainement pour les instants futurs.
Après une vingtaine de minutes, nous voilà au pied de son immeuble, après s’être garé nous rentrons dans l’immeuble et dans l’ascenseur, puis sur le palier de son appartement.
J’entre à la suite de futur amant et me conduit dans le salon, il me prend alors dans ses bars et m’embrasse à pleine bouche, je me baisse aussitôt, ne lui laissant pas le temps d’ouvrir ma cape et me découvrir nue dessous et m’agenouille à ses pieds.
Son pantalon de cuir se retrouve rapidement sur ses chevilles, et j’ai son sexe devant moi. Je saisis de ma main droite son membre qui m’est offert, pendant que ma main gauche se pose sur ses couilles et commence à les caresser, après quelques mouvements de la main son membre prend à nouveau de la vigueur, j’ouvre la bouche et enfourne son sexe dans ma bouche, je suce avidement pendant plusieurs minutes, en faisant jouer ma langue autour de ce membre qui n’en finit pas de grossir, mais avant de perdre le contrôle de la situation, il me relève, puis se recule et ouvre ma cape et me regarde.
La cape ouverte, je suis complètement nue devant lui, seulement parée de mes cuissardes.
- Toi, dit-il, tu n’es pas le petit chaperon rouge, mais une jolie salope !
- Non, dis-je, je le suis et tu es le grand méchant loup qui vas manger le vilain petit chaperon rouge.
- Oui, je vais te manger et tu vas pleurer de bonheur…

Il m’entraine dans le salon et là, il me fait mettre une jambe sur le bord de la table basse et vient se placer entre mes jambes en disant :
- Je vais te manger maintenant !
C’est alors que je sens sa langue se poser sur ma vulve, sensation exquise ! Il me lèche la fente et je commence à frémir, sa langue entre en moi et je sens peu après ses dents mordiller mes grandes lèvres, me faisant soupirer. Longtemps il me mange le minou me tirant des gémissements de plaisirs, je me sens fondre et ruisseler de jouissance.
Puis il se relève et se place derrière moi, je n’ai pas changé de position, je me sens offerte, ouverte. Il se plaque contre moi et je sens sa queue sur mon cul, il joue un moment dans ma raie, puis frotte son membre sur ma vulve et son membre entre en moi, naturellement tellement que je dois être humide et je sens son membre commencer sa progression, son sexe est énorme et je le sens entrer en moi millimètre par millimètre.
Ma respiration s’accélère, je me sens remplie de ce membre qui bute au fond de moi, mais le plaisir m’envahit et je crie de bonheur, alors il accélère ses mouvements, il mord mes épaules tout en me possédant, fermement et à bon rythme. Je peux sentir son membre sur l’intérieur de mon intimité, et m’ouvrir un peu plus à chaque pénétration, le plaisir m’emporte et l’orgasme me surprend, me faisant pousser quelques cris de plaisir, que mon amant accueille à chaque fois par un mouvement plus vif au fond de moi.
Soudain, il se retire et s’assoit sur le canapé et me fait signe de m’asseoir sur lui, face à lui. Alors, je m’exécute et m’empale sur son membre, de ses grands yeux il me dévore et sa bouche mange mes seins offerts à sa convoitise.
Cette position est infernal, je monte et descends sur son gros membre, tentant de le faire craquer et se répandre en moi, mais le loup est endurant et ne jouira pas de suite, alors il m’oblige à quitter cette position et m’emmène dans sa chambre.

Sitôt dans la chambre, je tente de me jeter sur ce si beau membre pour le prendre entre mes lèvres et en profiter un peu, mais il m’en empêche et me fait mettre à quatre pattes sur le lit.
Puis, il se place derrière moi, m’écarte les jambes et m’appuie légèrement sur le dos pour me faire cambrer encore plus. J’ai le visage posé sur la couette du lit, offerte, le cul complètement relevé, lui donnant une vue indécente sur mon petit trou.
Je sens alors un liquide sur mon petit trou, il vient de faire couler un peu de lubrifiant dessus et je sens le liquide couler le long de mes cuisses et, aussitôt, sans me laisser le temps de me dérober, je sens son gland se poser sur mon anus brûlant.
Il m’écarte encore un peu les jambes et commence à forcer l’entrée. Il a un peu de mal car son membre est gros, mais il parvient à forcer la barrière et commence un mouvement de va-et-vient entre mes reins.
Je sens parfaitement son sexe en moi et le plaisir est immense. Parfois, il sort complètement de mon cul pour y revenir d’un geste brusque, m’arrachant à chaque fois un cri de douleur et de plaisir mélangés. Il accélère encore ses mouvements, me labourant totalement le cul.
Je sens ma rondelle se dilater sous les assauts et je me laisse emporter par la jouissance, n’essayant même pas de contrôler mes hurlements.
J’ignore combien de temps il m’a enculé, j’ai perdu toute notion du temps, longtemps certainement, laissant qu’un trou béant lorsqu’il s’est retiré de mon anus, sans avoir jouit, juste en disant :
- Ce n’est qu’un début !

Il m’allonge sur le dos, s’agenouille à côté de moi en se branlant et présente son membre à mes lèvres, en disant :
- Suce petit effrontée !
Je le suce avec plaisir, espérant le faire jouir au fond de ma gorge, mais rien n’y fait, et j’ai même l’impression que sa queue est encore plus grosse…
Toujours sur le dos, il relève mes jambes, écarte mes cuisses et m’enfonce deux doigts dans ma rondelle, comme, pour vérifier que je suis toujours accueillante, puis se place entre mes jambes et plaque son gland sur ma rosette.
Il fait très doucement entrer son gland dans mon œillet encore entrouvert de sa précédente sodomie, en me disant :
- Tu es mon enculé de petit chaperon rouge et je vais te faire hurler jusqu’à implorer que mère-grand vienne te chercher !
Je ferme les yeux et me concentre sur mon plaisir sentant son membre pénétrer en moi et quand je les ouvre à nouveau, ce n’est que pour sentir et constater que sa queue est entièrement en moi, car je sens son gland au fond de mes entrailles et je sens ma rondelle dilatée.
Alors il se met à me limer, d’abord très lentement, puis en accélérant légèrement ses mouvements, le plaisir monte dans mes reins, son membre me remplit totalement le cul et je m’inonde de plaisir en laissant échapper ma jouissance de ma vulve, je suis une vraie fontaine.
- Ohhh, une femme fontaine, dit-il, le petit chaperon rouge est une jouisseuse.
Puis, après un long, je sens son membre se raidir et frémir et je reçois sa jouissance au fond de mon cul, de puissants jets de sperme envahissent mon antre secret et l’entends râler de plaisir.
Quelques minutes pour reprendre mes esprits et je me retrouve dans le salon à prendre un verre avec mon loup du soir, nous buvons et discutons un peu…
Le jour commence à se lever quand il me ramène à ma voiture et alors que je sors de sa voiture, je l’entends me dire :
- A bientôt peut-être… Si jamais l’idée de vivre un nouveau conte te prenait, fais-moi signe, je me prénomme Hugues !
- Moi c’est Laure, dis-je.
Et je ferme la portière, puis me dirige vers ma voiture. Sur le chemin du retour je me dis que ça valait le coup de faire le petit chaperon rouge…

Le mercredi soir, avec deux de ses amis nous avons joués au trois petits cochons, eux étaient les petits cochons, mais n’avaient pas la queue en tire-bouchons, mais de sacrés braquemarts, quant à moi je n’étais pas le grand méchant loup, mais une belle salope, mais c’est une autre histoire…

A suivre…