La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode N°237)
Mary au Château -
Malgré la neige, en ce troisième mercredi de novembre, il y avait un véritable climat festif dans la capitale du Beaujolais, à Beaujeu, lors de la fameuse soirée des Sarmentelles afin de marquer larrivée du Beaujolais Nouveau 2013, officiellement mis sur le marché dès le lendemain, le troisième jeudi comme lexige la tradition !... Le Marquis dEvans savait exactement qui il y trouverai, puisque Sa Soumise Mary MDE devait se rendre à cette soirée dansante. Elle était arrivée laprès-midi même de sa Savoie pour en théorie, et avec son mari, acheter du vin chez ses amis viticulteurs mais dans sa tête une seule motivation comptait pour venir dans cette région viticole, la rencontre avec son Maître Vénéré. Le bal avait démarré déjà depuis plus dune heure que Mary cherchait, de ses yeux attentifs, la présence de son Maître. La foule nombreuse à danser sur limmense parquet de la salle des fêtes empêchait à la belle de voir tout le monde tandis quavec son mari et ses amis viticulteurs elle dégustait à la grande buvette, un verre de Brouilly.
Mary regarde les personnes danser, et elle se voit déjà danser avec son Maître
Elle narrête pas de jeter des coups d'il un peu de partout, des fois quelle lapercevait
Mais, non, ses espoirs tombent peu à peu, elle ne le voit pas
Viendra-t-Il, se dit-elle ?. Il est vrai quIl ne lui avait rien promis, elle sétait simplement contentée de linformer de sa venue ici
. Ses pensées sont soudainement interrompues lorsque un ami vigneron lui proposa de danser une valse. Elle ne peut refuser ne serait-ce par pure amitié mais son cavalier du moment se montra un piètre danseur bien maladroit, et quand la musique sinterrompit, son ami lui proposant une autre valse commencée par lorchestre, elle sentit à ce moment-là une large main se poser sur son épaule et en se retournant elle entendit une voix calme quelle reconnaît de suite :
- Madame, accepteriez-vous cette danse avec Moi ?
Son Maître était là à quelques centimètres derrière elle et Il lui sourit largement.
Pour Mary qui restait encore émue de surprise et un peu déstabilisée, essayant de cacher au mieux son émotion devant les autres. Bien sûr elle est entre rêve et réalité, mais par lunique regard de son Maître, elle sais que c'est bien Lui, émerveillée par Son physique, Sa prestance. Oui elle ne rêve donc pas, cest bien la réalité, elle danse avec Lui. Ils font une ou deux danses, Son Maître ne dit rien, juste Il lui sourit, la fixant de Son regard Dominateur. Il lui effleure discrètement le dos de Sa large main, oui discrètement aussi sur ses hanches. Elle se laisse faire elle a trop envie de lui appartenir en réel. Mary lui sourit. Puis à peine la danse terminée, Le Marquis dEvans lui dit dun ton toujours aussi calme et laconique :
- Walter nous attend dehors.
- Nous ?...Maître
?
- Oui nous, depuis que je sais ta venue à Beaujeu, je prévoie ta venue dans Mon château pour quelques jours jusquà la fin de la semaine, peux-tu vis-à-vis de ton mari ?
- Maître, moi-même je ne vous cache pas que j'y songeais aussi à venir en Votre demeure, cest pour cela que jai préparé mon mari à cette éventualité, lui disant que lOffice du Tourisme mavait conseillé les chambres dhôtes de la région et plus particulièrement celles de votre domaine. Cest pour cela que jai réservé en téléphonant cette après-midi auprès de votre secrétariat pour 4 nuits dans une de Vos propriétés située en cur du village. Nous y avons déjà installé nos bagages.
- Oui je sais, jai consulté, il ny a pas plus dune heure, le listing des réservations et jy ai vu ton nom.
- Mais, Maître, comment pourrais-je aller maintenant en Votre Château ?
- Tu vas aller voir ton mari, et lui dire que par le plus grand des hasards, le propriétaire de la chambre dhôte ta invité à danser et après avoir papoté avec moi, et ayant de la place, je vous propose de venir tous les deux loger au château, pour le même prix car le confort sera bien meilleur et que je ferai aller chercher vos bagages
nous verrons bien sa réaction
- Bien Maître, je vais lui en parler de suite, dit Mary le cur battant, tout en se pressant en direction de la buvette
Le Marquis dEvans voyait Mary en pleine discussion avec son mari et quand celui-ci sapprocha, traversant la piste de danse visiblement un peu éméché, mais aucune agressivité ne laissait paraître, bien au contraire le vin avait lair de le rendre radieux et cest dans un large sourire jovial et déjà avec une main tendue quil arriva suivit de sa femme, près du Noble :
- Bonsoir Monsieur, Mary ma expliqué votre proposition, vous parlez dune formidable coïncidence ! Je vous en remercie infiniment, on mavait dit que dans le Beaujolais laccueil était fort mais là, ça dépasse mes espérances ! Merci à vous !
Loger dans un château, le rêve pour tout touriste !!!
Mais Mary veut aller se reposer en votre demeure alors puis-je vous demander de bien vouloir lemmener dans votre château car
oui
heu
voila, je suis avec les copains et jaimerais bien encore profiter de la buv
heu
leur compagnie !
mais comment trouverais-je le château, si je veux my rendre, afin de vous y rejoindre dici une heure ou deux ?
- Bonsoir Monsieur, répondit le Marquis, Ne vous en faites pas, vous appellerez sur le portable de votre femme, mon chauffeur viendra vous chercher et ainsi vous pourrez déguster le Beaujolais Nouveau sans crainte de prendre le volant. Vous laisserez ainsi votre voiture au parking, là où elle est. Cela vous convient-il ?
- Oui mais cest parfait
Merci cher Monsieur, merci beaucoup ! .
- Marquis dEvans, Monsieur le Marquis Edouard dEvans
, répondit le Noble en saluant dun sourire.
Le mari de Mary ne tarda à vite retrouver la bande de joyeux lurons qui commençait à chanter à la buvette. Mary prit sa veste et son sac. Arrivée à la voiture, Le Marquis dEvans présenta Walter à Mary. Celui-ci dit bonsoir poliment tout en lui souriant. Mary aperçut dans ses yeux une grande admiration envers son patron.
La rolls démarra. Mary sans dire mot et afin de faire une surprise à son Maître Vénéré sortit sans attendre de son sac à main son collier de chienne. Le Marquis assis à ses côtés, prit le collier dune main tandis que lautre commençait déjà à lui caresser la cuisse avant de claquer du doigt en lui disant laconiquement :
- Ecarte les jambes, chienne
Mary neu aucune difficulté à faire cela, sa robe ample lui permettait décarter largement ses cuisses. Mary qui bien entendu ne portait pas de culotte ce jour-ci dévoila ainsi un sexe lisse sans aucune pilosité et déjà fort trempé dexcitation. Le Maître mit le collier au cou de Sa soumise doucement sans précipitation en la fixant droit dans les yeux :
- Tu es désormais Ma soumise chienne en réel et soit heureuse de lêtre.
- Merci Maître, il y a si longtemps que jattendais ce moment, dit Mary en baissant la tête en signe de profonde reconnaissance
Puis Il embrassa la belle fougueusement, les langues se trouvèrent. Il passait avec tendresse une main dans ses cheveux tandis que lautre sinsinuait tout doucement entre ses cuisses. Elle sentit de suite les doigts baladeurs du Maître lui caressant son clito de chienne, passant Ses doigts sur les lèvres si humides. Le Marquis enfila deux doigts dans sa chatte et commençait à les faire aller et venir avec une régularité de métronome. Mary en gémissait de plaisir mais elle savait quelle devait supporter toute montée de plaisir sans avoir droit à la jouissance tant que son Maître ne laurait pas autorisée à avoir un orgasme.
(A suivre
)
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